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Tim Hortons lance un beigne spécial ce week-end seulement et les fonds iront à une bonne cause!

Depuis le début de la pandémie, la population entière se trouve à être privée ou limitée de contacts sociaux. En effet, on a tous dû rester confinés, mais les gens présentant des besoins spéciaux sont parmi les plus touchés par ce phénomène.

Afin de contribuer à la cause de l’inclusion des personnes aux besoins particuliers, la populaire chaîne Tim Hortons s’est associée une fois de plus à Olympiques spéciaux Canada pour créer un beigne coloré. Du 28 au 30 janvier, vous pourrez vous procurer le beigne #ChoisirDInclure, dont la totalité des ventes ira directement à l’organisme qui soutient les athlètes canadiens présentant des déficiences intellectuelles.

La pâtisserie en question a l’air complètement alléchante; elle consiste en un anneau de gâteau au chocolat nappé d’un fondant blanc, de vermicelles et le beigne est garni d’une onctueuse crème fouettée. C’est donc le munchies parfait à déguster en fin de semaine!

Ce partenariat entre Tim Hortons et Olympiques spéciaux Canada est bien plus qu’une simple alliance; les fonds amassés serviront à aider plus de 41 000 athlètes ayant une déficience intellectuelle à reprendre le sport de façon sécuritaire dans le contexte de pandémie dans lequel nous vivons.

Comme l’explique la chef de la direction d’Olympiques spéciaux Canada Sharon Bollenbach: « Les personnes vivant avec une déficience intellectuelle sont touchées par la pandémie de façon disproportionnée. L’accès limité aux activités physiques et sociales joue un rôle important dans les défis auxquels fait face notre collectivité. L’achat de chaque beigne Choisir d’inclure change les choses, et nous espérons que les Canadiens participeront à cette initiative. »

C’est donc un geste significatif que de contribuer à la cause en achetant ce beigne alléchant dans les Tim Hortons du Canada du 28 au 30 janvier prochain. En effet, vous contribuerez à l’inclusion de milliers de sportifs qui désirent reprendre leur discipline et un train de vie plus normal.

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Le retour des vacances en pandémie: une semaine haute en émotion pour les petits

Aujourd’hui est un grand jour. Pour plusieurs parents d’ici et d’ailleurs, c’est le retour en classe et/ou en milieu de garde. Je ne dirai pas « tant attendu », dans les circonstances, puisque cette situation unique est remplie d’ambivalence et de tergiversations. Plusieurs enverront leurs enfants avec appréhension. D’autres avec satisfaction. Et certains les garderont encore quelques jours additionnels à la maison. Il n’y a pas de bon ou de mauvais choix.

Après la tempête hivernale de lundi, au tour de nos émotions d’être en tourbillon. Je n’élaborerai pas sur l’aspect politique de la chose, mais si je puis me permettre un seul commentaire – ce que j’oserai faire, à l’encre de mon cœur de mère-, c’est qu’il importe de bécoter abondamment vos enfants ce soir, et tous ceux à venir, quoi qu’il vous en coûte.

Que ce soit au retour de l’école, alors qu’ils auront vécu une journée exigeante et pleine d’excitation. Que ce soit au coucher, alors qu’ils auront eu une autre rude journée de conciliation parent-maisonnée. Qu’il soit 16h, 20h ou au beau milieu de la nuit, lorsqu’ils seront éveillés par un trop-plein cérébral ou un cauchemar infernal. Accueillez leur pleine charge d’émotions. Sans bouclier, sans sablier. Soyez indulgents face aux exaspérations, à l’écoute inactive des consignes, faute de fatigue, et aux crises qui interrompent votre souper ou votre discussion avec votre douce moitié. Ils seront bouleversés par la nouveauté, les horloges bien serrées ou la météo qui les rendra captifs encore de l’écran ou de la maisonnée.

Câlinez vos grands et petits, en manque de contacts humains depuis des lustres, sans laisser paraître votre inquiétude, quant au lendemain. Serrez-les dans vos bras, sans craindre le virus ingrat. Respirez doucement le parfum de leur cou, tout en restant au parfum, en ce qui a trait aux éléments en fusion et implosion dans leur tout petit corps volcanique.

Vos chéris connaîtront une semaine complexe, saupoudrée de petits et grands moments de bonheur.

Ils auront besoin de vos oreilles, pour entendre les récits de leur palpitante ou difficile journée. Ils auront besoin de vos yeux, pour superviser les devoirs, apprécier leurs œuvres d’art ou même pour constater de nouveaux tics nerveux. Ils auront besoin de votre voix, pour raconter une histoire tendre, le soir venu, ou chanter à tue-tête, pour détendre leur esprit trituré par l’immensité du changement. Ils auront, surtout, besoin de vos bras, pour apaiser leur être, sans dédain, sans presse, sans soucis à laisser transparaître. Pour calmer leurs pleurs d’épuisement, éteindre un feu de déception, guérir leur cœur écorché par l’isolement ou par un(e) ami(e) qui n’a plus d’intérêt, simplement.

Au final, quoiqu’il en coûte, rendez-vous disponibles, cette semaine. Au meilleur de vous-mêmes, malgré le stress, la charge mentale et tout ce qui préoccupe votre fonction cérébrale. Rendez-vous disponibles physiquement, certes, mais surtout, mentalement. Au diable le souper gastronomique. Prenez plutôt le temps d’être auprès d’eux, puisque ces moments de réconfort et d’excitation à partager consolideront votre relation et vous valoriseront mutuellement. Et quelle que soit la musique à laquelle vous ferez face cette semaine, allez-y un jour à la fois, à coup de bisous et de câlins généreux.

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Un petit mot pour ton anniversaire

(CHRONIQUE)

Chère Elza,

Ma grande fille. Il y a aujourd’hui exactement 2 ans que tu es née. Tu as fait de moi une maman pour la première fois, ta maman. Tes grands yeux bruns me regardaient remplis d’émerveillement et d’amour, tu me portes encore le même regard, mais tant d’autres choses ont changé. Tu es devenue une grande fille, indépendante, courageuse, douce et confiante. Ton sourire remplit de bonheur le cœur de tous ceux et celles qui te croisent. Je suis si fière quand je te vois acquérir une nouvelle compétence, comme dire un nouveau mot ou grimper un peu plus haut dans le module du parc, tu m’impressionnes chaque jour.

À l’occasion de ton deuxième anniversaire, je voudrais t’adresser cette lettre, tout d’abord pour t’exprimer mon amour, mais ensuite pour m’excuser. Je m’excuse que cette pandémie te vole tant de choses. Mon ange, voilà deux anniversaires que tu célèbres et voilà deux fois que tu les célèbres seule. Tu as, bien sûr, maman et papa avec toi, ainsi que ton petit frère qui s’est, cette année, ajouté à nous, mais je voudrais t’offrir tellement plus!

Je voudrais t’offrir les soirées pyjama chez grand-maman. Je voudrais que tu puisses courir dans les champs avec tes cousins. Je voudrais que tu puisses aller nourrir les poules de grand-papa. Je voudrais tellement plus pour toi. Je voudrais pouvoir t’amener à l’église le dimanche, rencontrer nos ami.e.s de longue date et jouer avec leurs enfants. Je voudrais que tu connaisses ton parrain qui t’aime tant et qui s’ennuie de toi. Je voudrais que tu connaisses les visages extérieurs, ailleurs que sur un petit écran de téléphone. Oh, ma fille, je voudrais tout ceci pour toi et plus encore. Je voudrais que tu ne connaisses jamais la peur d’être malade, l’angoisse qui est si forte qu’elle te serre le ventre. Je voudrais t’offrir une maman plus zen, moins angoissée. Oh chérie, si tu savais tout ce que je voudrais.

Malheureusement, la pandémie nous vole beaucoup de moments précieux. Elle nous vole tous ces moments importants, mais toi tu continues de grandir. Malgré le manque de contact extérieur, malgré le sentiment que la vie s’arrête, toi tu ne t’arrêtes pas. Tu grandis et tu grandis magnifiquement. Mon seul souhait, pour toi mon amour, c’est que ton troisième anniversaire soit différent. Je souhaite qu’il soit rempli d’ami.e.s, de famille, de rire et surtout, de câlins. Je te souhaite que bientôt cette période d’isolement soit une histoire du passé et que tu puisses te rendre au parc sans ton désinfectant pour les mains et sans ton masque. Je te souhaite de toucher le panier d’épicerie sans avoir peur de rapporter des maladies à la maison. Je te souhaite de prendre ta bicyclette pour aller jouer avec tes ami.e.s, sans distanciation, sans masques, sans peur. Oh, mon amour, si tu savais à quel point je te souhaite tout cela, chaque parcelle de mon corps prie pour que ce jour arrive.

Oui, cette période est difficile à vivre, mais je te fais une promesse aujourd’hui mon amour, je te promets que je continuerai à t’offrir tout ce dont je suis capable. Je ferai l’impossible pour toi et ton frère, tous les jours de ma vie, je soulèverai des montagnes pour vous. Pandémie ou pas, maladie ou pas, je ferai tout pour vous, car je vous aime plus que tout. L’amour est si fort parfois, qu’il est capable de l’impossible.

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Il y a un an, le confinement

Un an a passé déjà. Un an depuis que tout.e.s, grand.e.s et petit.e.s, ont été renvoyés à la maison pour y rester. Bang : confinement. 

C’était irréel. Les rues fantômes à l’heure de pointe. Les étalages vides dans les magasins. L’épicerie en ligne. Les files distancées à l’extérieur des grandes surfaces.

C’était du jamais vu. Le travail à distance, à la table de la cuisine. Les dossiers à revoir avec deux enfants sur les genoux. Les urgences qui pleuvaient à un rythme effréné. Les interrogations enfantines pendant un appel avec un supérieur. Les chicanes fraternelles pendant la réunion mensuelle. La concentration à temps partiel, l’oreille toujours à l’affût du moindre indice de bisbille.

C’était la solitude, les trous dans les habitudes. Les enfants désœuvrés à la maison. La cour arrière inaccessible, d’abord glacée, puis trempée. Le parc fermé. Les ami.e.s interdis, la famille aseptisée derrière l’écran. Les bricolages, les lectures, et surtout la marelle, tout le temps, parce que c’est tout ce qu’il y avait à faire dehors. Le jeu à retracer à la craie, inlassablement, après chaque averse. Mon Dieu qu’on a pu jouer à la marelle. Des heures et des heures de temps, entre mars et avril.

 
Crédit:Abby Haukongo/Pixabay
 

Puis, graduellement, la reprise. La réouverture des boutiques, des écoles, des garderies. Le retour des sports, des petits rassemblements. La fin du confinement.  Enfin, presque. Parce que pour nous, les parents, le confinement n’a jamais pris fin. Jamais totalement.

On ne sait jamais, en se levant le matin, si chacun ira à l’école ou au travail. Chaque jour, ça peut aller dans un sens comme dans l’autre. On réorganise mentalement nos échéances professionnelles au moindre reniflement de notre progéniture. On tressaillit au moindre raclement de gorge. « Combien de jours de vacances me reste-t-il, déjà? » « Peux-tu prendre congé, toi, chéri? » On sursaute en voyant le numéro de l’école sur l’afficheur; on angoisse quand on reçoit un courriel de la garderie. Notre tour viendra, c’est certain : on ne sait juste pas quand. Et si c’était aujourd’hui?

Bien sûr, les mesures sont nécessaires. Bien sûr, il n’y a pas que les parents qui sont épuisés. Mais reste que la pandémie nous a joué un tour : en normalisant le fait que les parents travaillent avec des enfants dans les bras, elle a fait oublier à tout.e.s que ce n’était pas une option viable à long terme. C’est rushant. Ça use. Ça souffle sur la poussière accumulée sur les souvenirs. Et on se rappelle.

C’était un accroc dans le temps. Le ciel gris, maussade, comme un printemps normal. Les pistes cyclables prises d’assaut, faute d’autre destination. Les arcs-en-ciel dans les fenêtres, l’optimisme naïf, l’espoir parce qu’on n’a pas le choix. Ça a l’air loin, mais on s’en souvient.

C’était il y a un an, mais c’est aujourd’hui en même temps.

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COVID-19: Deux chats montréalais ont été testés positifs!

Les premiers cas connus d’animaux qui ont été testés positifs à la Covid-19 se sont passés dans le grand Montréal. En effet, un chat a été diagnostiqué avec le virus en février dernier et a guéri depuis. Le second cas a été confirmé jeudi par la Dre Cécile Aenishaenslin, chercheuse et professeure à la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal. Alors qu’aucun symptôme n’a été reporté mis à part une grande diminution des forces physiques du chat, son équipe continue d’étudier la transmission du virus chez les chats. La docteure explique que la Covid-19 serait peu mortelle pour ces animaux.

Les chats ont dû être en quarantaine pendant un total de 7 jours, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus testés positifs. Ils ont certainement été infectés par leurs maîtres puisque ceux-ci ont été diagnostiqués avec le virus précédemment. D’ailleurs, le groupe de chercheuses recherche 40 familles québécoises qui ont la Covid-19 pour pouvoir étudier leur chat. Le virus chez cette espèce ressemble beaucoup à la sévérité de l’infection chez l’enfant, il n’est donc généralement pas grave et la retransmission du virus du chat vers l’humain n’est pas chose courante.

« On ne veut pas alerter la population. On ne veut pas que les gens aient peur ni pour leur animal ni pour leur propre santé et par exemple qu’ils prennent des décisions rapides et non fondées comme abandonner leur animal de compagnie », explique Cécile Aenishaenslin au Journal de Montréal.

De plus, certains chiens ont aussi été testés positifs au Canada, mais pas au Québec pour le moment.

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COVID-19: Les bars et les microbrasseries de ces régions pourront rouvrir leurs portes!

Suite au point de presse de M. Legault hier soir, nous avons appris que trois régions tombaient en zone jaune. La Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, la Côte-Nord et le Nord-du-Québec reçoivent donc le « go » pour tous les assouplissements supplémentaires qui s’appliquent au palier jaune.

Lors de leurs changements de zone le 26 mars prochain, il n’y aura plus de couvre-feu et les résidents pourront se rassembler dans leurs domiciles ou sur leurs terrains privés à coup de deux adresses à la fois. Les restaurants pourront permettre à des clients provenant de deux résidences privées différentes à s’asseoir à la même table et les lieux de culte pourront recevoir jusqu’à 250 personnes à la fois, sauf pour les funérailles et les mariages où la capacité maximale est de 50 personnes. Les clients qui se rendront dans les cinémas et les salles de spectacles pourront enlever leurs masques une fois assis. Le télétravail sera toujours recommandé, mais il ne sera plus obligatoire. Les travailleurs pourront donc retourner au bureau s’ils le souhaitent. Le port du masque ainsi que les mesures de protection (comme le respect du 2 mètres et le lavage des mains) resteront en vigueur.

Pour ce qui en est des bars et des microbrasseries… ILS POURRONT ENFIN ROUVRIR LEURS PORTES!!! On sait qu’on ne pourra pas s’y rendre vu que nous habitons à Montréal, mais cette nouvelle nous apporte tout de même un brin d’espoir pour que nos bars puissent nous accueillir à nouveau dans quelques semaines.

D’ailleurs, les assouplissements qui ont rapport aux activités sportives et récréatives ainsi que les lieux de loisirs ou touristiques seront annoncés prochainement.

Bonne nouvelle pour les habitants des zones jaunes! Continuons de faire attention pour y arriver, nous aussi!

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Le souvenir des anniversaires en pandémie

(CHRONIQUE)

On approche bientôt d’une année complète en pandémie. Donc, presque tout le monde a une anecdote à propos des anniversaires en confinement. Tristes? Ennuyants? Différents? Inventifs? Alors que celui de mon copain et le mien sont passés un peu sous le radar, ma fille a eu droit à un semblant de fête « normale ». On était en plein cœur de l’été, alors que les mesures étaient plus lousses, et elle a eu son petit party d’anniversaire.

Mais c’était tout de même différent. D’habitude, je mets vraiment « le paquet » pour faire de son anniversaire une journée très spéciale. Je me suis toujours beaucoup investie, parce que ça me fait tellement plaisir de voir les petites étoiles briller dans ses yeux. On invite la famille et les ami.e.s, on organise une grande chasse au trésor et on fabrique une tonne de décorations. Cette année, son anniversaire de 13 ans a été le plus simple de tous. L’ironie c’est que, malgré cela, il aura été le plus fêté en 2020 de toute notre famille. Ses petites cousines auront été moins chanceuses côté anniversaire.

Elles ont respectivement fêté leurs premier et quatrième anniversaires en début janvier et à une semaine d’intervalle. C’était en plein couvre-feu, avec toutes les restrictions qu’on connaît. Toute la famille était présente, sur vidéo, pour les voir sourire devant leur gâteau d’anniversaire. C’était beau et triste à la fois. On fait tellement d’efforts pour amener de la joie dans cette situation un peu déroutante. On met une couche de crémage sur notre solitude, notre résilience et notre désespoir. On tente tant bien que mal que faire du spécial pour chasser la tristesse quelques instants.

Je me suis demandé si cet anniversaire de 4 ans allait marquer ma nièce. Va-t-elle se souvenir qu’elle a tellement parlé des ami.e.s et de la famille qui ne sont pas venus, sauf sur un écran? Ou tout cela sera-t-il gommé dans son subconscient, tellement qu’elle ne se souviendra plus de la journée de ses 4 ans ? Je me rends compte que j’ai très peu de souvenirs de mes propres anniversaires avant un âge plus avancé. Pourtant, ils étaient soulignés chaque année avec un gâteau, un présent et toute ma famille autour de la table pendant que je soufflais mon âge en chandelles. Je me souviens que j’étais une enfant heureuse, confiante, aimée et aimante. J’ai perdu la trace exacte de ces moments, mais j’ai l’impression qu’ils ont été heureux, qu’ils ont bercé cet âge doux où je n’avais que peu de soucis.

Je me suis mise à réfléchir aux anniversaires que j’ai organisés pour ma fille. Je me suis revue à minuit, la veille de la fête, en train de finir de laver le plancher et de cacher les petits indices pour le lendemain. J’ai revu les guirlandes de fleurs en papier de soie, le gâteau arc-en-ciel, le barbecue avec ses 4 salades différentes. De quoi se souvient-elle exactement? Qu’a-t-elle gardé en mémoire, sinon l’impression que cette journée était magique? Et si j’avais mal saisi… Pourquoi s’investit-on autant?

Si on demande aux gens de nous raconter un souvenir de Noël ou d’anniversaire tiré de leur petite enfance, il en ressort une émotion, une odeur, une présence. Rarement un jouet ou tout le fla-fla autour. Je croyais à tort que les anniversaires de nos cocos sont si tristes en pandémie. Mais nous étions là. On s’est investis, « avec les moyens du bord » pour qu’il y ait quand même un peu d’étoiles dans leurs yeux. Et, au final, ils auront peut-être la même impression que ma fille lorsqu’elle parle de ses anniversaires. Il en ressortira de doux souvenirs, un peu flous, mais la certitude que durant cette journée, la famille était là, présente, aimante. Qu’elle faisait partie d’un groupe qui soulignait son importance et la joie de la savoir parmi eux/elles.

Je repense souvent à ce premier samedi soir de couvre-feu, alors que ma filleule soufflait sa première chandelle. Nous avons chanté si fort que le bébé a dansé devant son gâteau, le sourire aux gencives. Ce moment-là fait partie de mes petites bulles de joie, et comme un film, j’y repense parfois quand ma famille me manque un peu trop.

Comment avez-vous souligné l’anniversaire de votre enfant en pandémie? 

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COVID-19: Aide financière possible pour les parents lors de la relâche

Plusieurs aides financières ont été possibles depuis le début de la pandémie, comme la PCU, la PCRE et la PCMRE. Cette fois-ci, c’est au tour de la PCREPA (la Prestation canadienne de la relance économique pour proches aidants) d’aider certains parents pour la semaine de relâche qui arrive à grands pas au début du mois de mars.

La Prestation canadienne de la relance économique pour les proches aidants pourra aider un des deux parents d’un enfant de moins de 12 ans lors de la semaine de relâche. Si l’école ou le service de garde de l’enfant est fermé pendant la semaine et que les deux parents n’ont pas de congés payés par leur employeur pendant la semaine de relâche, la PCREPA pourra donner un certain montant d’argent à un des deux parents s’il ne peut pas travailler au moins 50% de sa semaine de travail.

La PCREPA permet de toucher 500 dollars pour la semaine, ce qui équivaut à environ 450$ après le prélèvement du montant de l’impôt.

Si vous avez besoin de cette aide financière, vous pouvez remplir votre demande pour la Prestation canadienne de la relance économique pour les proches aidants juste ici.

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Madonna fait fi de la pandémie et choque ses fans

La chanteuse Madonna ne s’empêche pas de voyager depuis trois semaines, ayant parcouru près de 19 000 km depuis cette période, au grand dam de ses fans.

La star de 62 ans a entrepris la visite de l’Afrique avec son partenaire, le danseur Ahlamalik Williams, 26 ans, et de ses enfants.

Alors que la grande majorité de la planète respecte un confinement strict, voire même un couvre-feu, Madonna semble vivre sur une autre planète. Elle ne se gêne pas pour partager sur les réseaux sociaux des clichés paradisiaques, ce qui suscite la désapprobation de nombre de ses admirateurs.

Le périple de Madonna s’est amorcé le 24 décembre lorsqu’elle a quitté en jet privé Los Angeles en compagnie de son petit ami et de ses enfants David Banda, 15 ans, Mercy James, 14 ans, et les jumeaux Estere et Stella, huit ans. Premier arrêt, Londres. Sur place, ils ont été rejoints par Rocco, 20 ans, qui vit dans la capitale anglaise.

Le groupe est reparti d’Angleterre le 28 décembre en direction de l’Égypte. Le 29 décembre, le clan s’est envolé en direction du Malawi. Au programme de la semaine passée dans ce pays, rencontre avec le président du pays, Lazarus Chakwera, et visite d’un hôpital que la chanteuse y a fait construire.

Le 6 janvier, le voyage prend cette fois la direction du Kenya. Madonna et ses invités seraient encore présents dans ce pays africain, où ils en ont profité pour faire des safaris.

Instagram_Madonna

Total de l’excursion à ce jour, 18 841 kilomètres. Et le groupe n’est toujours pas revenu à destination.

Selon une source du quotidien The Sun, tous les voyageurs seraient testés régulièrement à la Covid-19.

Ce n’est pas la première fois que Madonna suscite des critiques face à la pandémie. En mars dernier, lors de la première vague, la chanteuse soulignait que la crise était une «grande égalisatrice».

Ces propos avaient choqué, alors que des personnes perdaient la vie par milliers.

On ne connait pas les plans futurs du voyage de Madonna et de ses invités.

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Madonna fait fi de la pandémie et choque ses fans

La chanteuse Madonna ne s’empêche pas de voyager depuis trois semaines, ayant parcouru près de 19 000 km depuis cette période, au grand dam de ses fans.

La star de 62 ans a entrepris la visite de l’Afrique avec son partenaire, le danseur Ahlamalik Williams, 26 ans, et de ses enfants.

Alors que la grande majorité de la planète respecte un confinement strict, voire même un couvre-feu, Madonna semble vivre sur une autre planète. Elle ne se gêne pas pour partager sur les réseaux sociaux des clichés paradisiaques, ce qui suscite la désapprobation de nombre de ses admirateurs.

Le périple de Madonna s’est amorcé le 24 décembre lorsqu’elle a quitté en jet privé Los Angeles en compagnie de son petit ami et de ses enfants David Banda, 15 ans, Mercy James, 14 ans, et les jumeaux Estere et Stella, huit ans. Premier arrêt, Londres. Sur place, ils ont été rejoints par Rocco, 20 ans, qui vit dans la capitale anglaise.

Le groupe est reparti d’Angleterre le 28 décembre en direction de l’Égypte. Le 29 décembre, le clan s’est envolé en direction du Malawi. Au programme de la semaine passée dans ce pays, rencontre avec le président du pays, Lazarus Chakwera, et visite d’un hôpital que la chanteuse y a fait construire.

Le 6 janvier, le voyage prend cette fois la direction du Kenya. Madonna et ses invités seraient encore présents dans ce pays africain, où ils en ont profité pour faire des safaris.

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Total de l’excursion à ce jour, 18 841 kilomètres. Et le groupe n’est toujours pas revenu à destination.

Selon une source du quotidien The Sun, tous les voyageurs seraient testés régulièrement à la Covid-19.

Ce n’est pas la première fois que Madonna suscite des critiques face à la pandémie. En mars dernier, lors de la première vague, la chanteuse soulignait que la crise était une «grande égalisatrice».

Ces propos avaient choqué, alors que des personnes perdaient la vie par milliers.

On ne connait pas les plans futurs du voyage de Madonna et de ses invités.