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Potins

Fin du tournage de «Brain Freeze» avec Roy Dupuis

La pandémie avait stoppé les efforts pour terminer le film ce printemps.

Brain Freeze met en vedette Roy Dupuis, Iani Bédard, Marianne Fortier, Simon Olivier Fecteau, Anne-Élisabeth Bossé, Stéphane Crête, Claudia Ferri, Mylène Mackay Louis-Georges Girard, Mahée Paiement et Marie-Lyne Joncas dans les rôles principaux.

Le coronavirus arrivé chez nous à la mi-mars a compliqué les choses pour le cinéaste Julien Knafo.

« Terminer un film d’hiver en plein été avec un bébé qui a grandi de quatre mois et un adolescent qui, heureusement, n’a pas décidé de muer trop vite. Voici ce que nous avons fait grâce à une équipe et des comédiens courageux, extraordinaires et résolus. Comme diraient certains :  » c’est dans l’adversité que l’on devient plus fort » », explique le réalisateur.

Brain Freeze est l’histoire d’une multinationale sans morale qui veut modifier génétiquement son gazon d’un terrain de golf afin de rester ouvert à l’année. L’eau de l’Île-aux-Paons devient ainsi contaminée par un fertilisant « révolutionnaire » qui a l’avantage de faire fondre la neige, mais transforme ses habitants en mutants.

Maintenant que le tournage est complété, le travail de postproduction de Brain Freeze pourra commencer. La sortie du film est prévue pour l’hiver 2021.

Photo : Courtoisie

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Art de vivre

La pandémie a affecté la sociabilité de mon bébé

La pandémie qu’on vit actuellement est tragique pour bien des familles qui ont à vivre avec la perte d’un être cher ou encore des problèmes importants de santé. La gestion de la crise est aussi extrêmement difficile pour toutes les personnes travaillant dans les services essentiels. La COVID-19 s’immisce partout et ses répercussions vont nous suivre longtemps. Pour ma part, j’ai remarqué que le confinement et la distanciation sociale ont affecté la sociabilité de mon fils d’à peine un an.

Je vois le confinement de manière positive à plusieurs égards. Cela m’a permis de ralentir, de me concentrer sur les choses qui me font du bien. Nous avons renforcé les liens de notre cocon familial et avons travaillé sur la routine de notre coco. Toutefois, le déconfinement nous montre les impacts de son manque de sociabilisation durant plusieurs mois.

Nous avons été sages de notre côté et n’avons vu personne durant ce temps, mis à part ma mère, lors de deux journées de beau temps et à quelques mètres de distance. Ensuite, quand les règles se sont assouplies, nous n’avons pas permis tout de suite aux autres de prendre fiston dans leurs bras. Nous avons été prudents. Reste que là, il refuse que d’autres personnes le prennent dans leurs bras et fait une crise quand nous ne sommes plus dans son champ de vision. Je sais qu’il est au stade de développement où c’est difficile de s’éloigner de papa et maman, mais là, c’est quelque chose…

J’aurais voulu que mon fils ait au moins confiance en ses mamies et son papi. J’aurais voulu le partager davantage avec nos proches. J’aurais voulu pouvoir avoir plus confiance que ça aille bien quand je le laisse à quelqu’un d’autre. J’aurais voulu ne pas me sentir « poche » dans de nombreuses situations parce qu’il refuse d’aller vers les autres. Je me sens si impuissante.

La bonne nouvelle, c’est que ça s’améliore rapidement puisque mon fils était bien sociable dans les premiers mois de sa vie. Déjà, avec la présence d’un de ses parents, il va vers les autres, leur sourit ou leur fait une grimace. Je ne peux même pas m’imaginer le défi à surmonter avec un bébé ou un enfant qui avait déjà des problèmes de sociabilité. Ça nous brise le coeur de n’avoir aucun contrôle sur cette situation.

Je me demande bien quelles seront les répercussions sur le comportement de mon fils plus tard. Est-ce que les enfants d’aujourd’hui auront davantage peur des autres, d’après vous? Seront-ils plus anxieux et hésiteront-ils à s’ouvrir facilement à l’inconnu? Ou est-ce que nos enfants sont assez résilients pour passer à travers la crise sans séquelles?

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La CoVID-19 sourit aux milliardaires

Les cinq personnes les plus riches du monde ont vu leur valeur augmenter de 76 milliards de dollars en deux mois, une augmentation de 19%.

Selon les chiffres compilés par Tax Fairness et l’Institute for Policy Studies’ Program for Inequality et basés sur les données compilées par le magazine Forbes, entre le 18 mars et le 19 mai, la valeur des 600 personnes les plus riches du monde est passée de 2,9 à 3,3 trillions de dollars (US).

Des cinq personnes les plus riches du monde, c’est le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, qui profite le plus de la pandémie mondiale. Alors que les gens sont confinés à la maison et naviguent comme jamais sur Internet, ses revenus ont crû de 25 milliards en deux mois. Cela représente une hausse de 46,2% de sa richesse.

De son côté, l’homme le plus riche du monde, Jeff Bezos, profite de l’augmentation des ventes en ligne. 

Sa société Amazon lui a permis de s’enrichir de 34,6 milliards en deux mois. De son côté, cela représente une augmentation de sa valeur de 30,6%.

Elon Musk est un autre milliardaire qui voit sa fortune croître de façon exponentielle depuis le début de la pandémie. En deux mois, la fortune du patron de Tesla et SpaceX s’est appréciée de 48% pour atteindre les 36 milliards.

Ces chiffres impressionnants surviennent alors que le taux de chômage explose dans tous les pays du monde.

Photo : Cover Images

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Coronavirus: Rare message de la Reine Elizabeth

La monarque de 93 ans a enregistré ce message adressé aux gens de son pays et des pays du Commonwealth de son château de Windsor, alors que sévit la pandémie mondiale de la COVID-19.

L’événement est rarissime. Les précédents messages de ce type de la reine ont été réalisés en 1991, lors de la guerre du Golfe, en 1997, lors de la mort tragique de la Princesse Diana, en 2002 lors de la mort de la reine mère et en 2012 pour souligner son jubilé de diamant.

Le message de la reine sera transmis à la télévision, à la radio et sur les réseaux sociaux de la monarchie.

La crise du coronavirus vient de franchir le cap du million de personnes infectées dans le monde, alors que 204 pays sont aux prises avec la pandémie. 

Plus de 55 000 personnes ont perdu la vie. 

Heureusement, plus de 222 000 personnes en sont guéries.

Photo : Cover Images

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Coronavirus: De l’aide en ligne pour les expatriés

Alors que des millions de personnes se retrouvent loin de chez eux durant la crise de la COVID-19, le site Flatten the Curve (aplatir la courbe) tente de créer des liens virtuels entre ces personnes isolées et leurs familles.

Le site présente en temps réel l’état de la situation mondiale du coronavirus. Une carte interactive affiche l’évolution de la pandémie mondiale pour 250 pays dans le monde.

L’expatrié ou le voyageur qui veut en savoir plus sur un pays n’a qu’à y placer le curseur de sa souris pour voir apparaître les statistiques relatives à ce pays. Ainsi, il est facile de connaitre le nombre de personnes infectées, décédées, guéries ou encore porteuses du virus.

Plus intéressant pour les voyageurs et expatriés, en cliquant sur un pays, de nombreuses informations pertinentes y sont présentées. Ces personnes coupées des leurs, souvent abandonnées dans les circonstances par leur pays, y trouveront les mesures prises dans chaque pays et de nombreux numéros de téléphone et adresses internet pour recevoir de l’aide, et ce partout dans le monde.

Étant donné que chaque pays dans le monde a sa propre stratégie pour endiguer la COVID-19, les informations offertes dans le site Flatten the Curve sont fort pertinentes.

Photo : Capture d’écran

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Le coronavirus aurait frappé la Chine en novembre

Selon ce qu’affirme le South China Morning Post, la maladie qui s’est propagée au monde entier aurait été connue en Chine dès le 17 novembre, et non le 27 décembre comme l’affirmaient les autorités chinoises.

Selon les informations du quotidien qui a épluché les données du gouvernement, un homme de 55 ans serait ce premier patient atteint du COVID-19. Au total, la Chine aurait eu 266 patients atteints par la maladie en 2019.

Plusieurs de ces 266 cas seraient survenus avant que la Chine n’admette publiquement l’arrivée sur son territoire de ce nouveau virus potentiellement mortel. Dès le 17 novembre, les données chinoises indiquent que de 1 à 5 cas quotidiens de COVID-19 auraient été détectés dans ce pays.

Au total, selon le quotidien, 180 cas auraient été connus avant que les services médicaux de Chine ne soient avisés de l’arrivée du coronavirus, mettant ainsi en danger de nombreux médecins et infirmiers.

À ce jour, plus de 3 000 travailleurs de la santé ont été infectés en Chine par le COVID-19.

En date du 12 mars 2020, l’Organisation mondiale de la santé recense 125 048 cas de coronavirus dans le monde. 4 613 personnes en sont décédées.

Photo : Cover Images

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Un premier vaccin contre le coronavirus

Les scientifiques des firmes américaines Greffex du Texas et Aurora au Colorado ont annoncé au Houston Business Journal avoir développé un vaccin contre le virus mortel qui sévit en ce moment dans plusieurs pays du monde.

La patience est toutefois de mise, puisque le nouveau vaccin doit maintenant être testé sur des animaux, avant de pouvoir être administré à des humains.

Des chercheurs du monde entier travaillent également à créer un vaccin pour guérir du COVID-19.

En Chine, le ministère de science et de la technologie a annoncé aujourd’hui que des premiers tests cliniques avec un autre nouveau vaccin devrait s’amorcer à la fin avril.

Le pays travaillerait en ce moment sur cinq différentes approches pour développer un vaccin, selon le ministère.

Malgré toutes ces avancées et les efforts consentis, l’Organisation mondiale de la santé tempère les attentes. Elle souligne qu’il faudra au mieux un an, voire plus, avant qu’un vaccin puisse être utilisé.

L’épidémie de coronavirus COVID-19 a infecté, au 20 février, 75 748 personnes dans le monde. 2129 personnes en sont décédées selon l’Organisation mondiale de la santé.

Photo : Cover Images

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L’OMS s’inquiète grandement de la propagation de poliomyélite

C’est avec grande inquiétude que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) annonce un état d’urgence à grande échelle dans le dossier de la poliomyélite, qui semble prendre de plus en plus d’ampleur.

La poliomyélite, ou « polio », est une maladie ancienne qui reprend de la vigueur depuis quelque temps, notamment dans certains pays comme l’Afghanistan, la Guinée équatoriale, l’Éthiopie, l’Irak, Israël, la Somalie et le Nigeria.

Les « foyers potentiels de pandémie » se retrouveraient du côté du Pakistan, du Cameroun et de la Syrie, selon ce que rapporte Le Devoir.

« Si elle n’est pas contrôlée, la situation pourrait mettre en échec l’éradication globale d’une des maladies les plus graves que l’on puisse empêcher par la vaccination », explique l’OMS par voie de communiqué.

L’Organisation mondiale de la santé presse donc les autorités en place d’y aller de vastes campagnes de vaccination, notamment chez les voyageurs.

La « polio » avait pourtant perdu le combat depuis 1988, avec une baisse des cas de 99 %. L’OMS souhaite donc à tout prix éviter un retour de cette agressive maladie.

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L’obésité au Canada est un phénomène surévalué, selon Fraser

Le Devoir et La Presse rapportent des déclarations et observations étonnantes de la part de l’Institut Fraser, qui publie un rapport concernant l’obésité au Canada.

On mentionne d’abord que le fléau ne serait pas aussi alarmant que ce que l’on veut nous faire croire, à tout le moins depuis 2003. Fraser estime que la situation de l’obésité se serait stabilisée depuis quelques années, et que la promotion de ce que l’on appelle « l’épidémie d’obésité » serait grandement biaisée.

L’Institut Fraser va encore plus loin dans son raisonnement, ajoute La Presse, et accuse maintenant le gouvernement d’avoir des intentions cachées et d’utiliser la peur de l’obésité comme une arme personnelle.

Le rapport estime que le gouvernement « diabolise » et « freine la croissance » de certaines entreprises. « Les interventions des gouvernements imposent des coûts sans discernement et diabolisent à tort certains aliments, fabricants et distributeurs de produits alimentaires », mentionne Fraser dans son rapport.

Bien entendu, ces propos ont fait bondir plusieurs regroupements, à commencer par la Coalition québécoise sur la problématique du poids, qui croit que Fraser fait erreur en responsabilisant seulement l’individu.

Un débat qui s’annonce intéressant, en somme, et qui démontre un revers à une médaille qui frôle l’hystérie un peu partout dans le monde, et spécialement chez nous.

À noter : Statistique Canada remarque en effet une stabilisation du taux d’obésité, mais depuis 2011.

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La résistance mondiale aux antibiotiques inquiète l’OMS

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’inquiète grandement du phénomène grandissant de résistance aux antibiotiques, par ailleurs observable partout dans le monde, selon Le Devoir.

Bien que l’inquiétude de l’OMS envers ce phénomène ne date pas d’hier, les plus récentes révélations de l’Organisation sont quand même inquiétantes.

Selon l’étude de l’OMS, aucun nouveau type d’antibiotiques n’a été découvert depuis trois décennies, alors que les bactéries capables de leur résister auraient maintenant proliféré à l’échelle mondiale. Des troubles de santé considérés comme « mineurs » pourraient donc devenir possiblement mortels, croient les experts de l’OMS.

Des exemples viennent rapidement en tête, par exemple celui de la bactérie E. coli, qui peut mener à la méningite. Les bactéries liées à la pneumonie et à la gonorrhée inquiètent également.

L’OMS recommande en terminant de ne jamais consommer d’antibiotiques qui ne vous sont pas destinés ou prescrits directement, et de toujours compléter une prescription au complet.