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Un nouveau test de dépistage du cancer de l’utérus approuvé par la FDA

Une alternative au fameux PAP test vient d’être approuvée par la FDA aux États-Unis, rapporte notamment le New York Times.

Il s’agit d’une manœuvre controversée visant à remplacer un test déjà controversé, comme quoi on ne s’en sort pas dans ce dossier.

Créé par la compagnie Roche, le nouveau test de dépistage serait capable de détecter la présence et l’ADN du VPH, qui mène souvent au cancer de l’utérus, par un simple échantillon prélevé du col de l’utérus d’une patiente.

La FDA croit que les essais et études menés par Roche sont concluants, et approuve donc l’alternative au PAP test, qui utilise pour sa part un bon vieux microscope afin de détecter des anomalies.

Mais comme dans le dossier du PAP test, un regroupement de femmes et de consommateurs s’opposent à l’approbation de la FDA, que l’on juge hâtive et non fondée. Les spécialistes de la FDA semblent toutefois sûrs de leur évaluation, même si les essais sont menés par la même compagnie qui produit le nouveau test.

Une pratique qui serait peut-être à revoir, d’ailleurs, ne serait-ce que pour calmer les doutes d’une population de plus en plus méfiante envers l’industrie pharmaceutique et le système de santé.

Le cancer de l’utérus ferait environ encore 4000 morts annuellement, aux États-Unis seulement, selon l’American Cancer Society.

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Le Canada veut changer les règles de dépistage du cancer du col de l’utérus

Un groupe de chercheurs et de spécialistes unis pour étudier les méthodes de prévention et de traitement du cancer du col de l’utérus ont rendu leurs conclusions, rapporte notamment Le Devoir.

Celles-ci semblent vouloir indiquer que des changements sont à prévoir au Canada en ce qui a trait à la prévention de cette maladie.

D’abord, on parle beaucoup des fameux tests PAP ces temps-ci, et l’étude suggère justement de faire passer ce test de dépistage aux trois ans (il est aujourd’hui suggéré annuellement).

Ces tests peuvent comporter leur lot de désagréments, semble-t-il, et il serait possible d’avoir un système de prévention tout aussi efficace en évitant les méthodes intrusives chaque année.

La prévention du cancer du col de l’utérus devrait commencer à 25 ans environ et être mieux ciblée. On veut donc rendre les choses plus efficaces pour les femmes qui doivent subir le test.

Pour terminer, notons que le risque de cancer du col de l’utérus est passé de 1,5 % à 0,66 %. Les taux de mortalité sont aussi en baisse, passant de 0,94 % à 0,22 % depuis la mise en place du fameux test PAP.