Papa Roach, Dallas Smith et James Barker Bandseront présents au festival rock et country nommé Rock on the River du côté de Timmins, une ville dans le nord de l’Ontario collée sur l’Abitibi-Témiscamingue.
La toute première fois où j’ai rencontré Petit Poulet (qui avait deux ans et demi à l’époque), après quelques minutes à regarder un livre sur les animaux de la ferme, je lui demande : « As-tu déjà trait une vache? »
Yep, la fille manque clairement de pratique et ne semble pas savoir quel niveau de langage adopter avec une enfant de cet âge. À ma défense, j’étais ultra stressée et je voulais faire bonne impression. J’ai gardé des enfants durant des années pendant mon adolescence, plusieurs de mes amies ont des enfants du même âge, je suis habituellement à l’aise avec les tous petits. Oui, mais là, c’était différent. Je voulais que Petit Poulet me trouve drôle et amusante. J’aime son papa et donc, on DOIT s’aimer nous aussi. Après cette question douteuse/maladroite, je tente une deuxième approche et lui propose toutes sortes d’activités en lui demandant de choisir ce qu’elle aimerait faire. Strike two! Non me répond gentiment son papa, on est un soir de semaine et on a une routine. Oups! Effectivement, j’ai cru entendre entre les branches que la routine avec des enfants de cet âge est d’une importance capitale. Avec bienveillance, mon amoureux me propose tout simplement d’observer leur routine, d’y participer et de voir comment ça se passe.
Depuis cette première rencontre avec Petit Poulet, j’apprends donc à découvrir mon chum dans son rôle de papa. Un papa attentionné, présent, aimant et patient. Il m’a guidé (et il le fait encore) et me montre comment devenir « un vrai parent ». Comme tout le monde, notre quotidien n’est pas toujours de tout repos, on est parfois impatient et fatigué. On a nos défauts comme individu et comme parent. Mais aujourd’hui, j’ai envie de parler du beau. De toute l’admiration que j’ai pour lui.
Mon chum dit souvent à sa fille qu’il l’aime, et je trouve ça beau. En se rendant à la garderie le matin, ils ont leur petite routine; chanter dans l’auto (la playlist est assez éclectique, passant de Crazy Frog à Martin Garrix) et s’attendre devant l’une des fenêtres de la garderie (toujours la même) pour se dire au revoir. Ça aussi, je trouve ça beau. Le soir, après avoir dit bonne nuit au chien puis à moi (étrangement toujours dans cet ordre), mon chum passe un bon 15 minutes à jaser dans le lit avec Petit Poulet. Je les entends discuter, rire aussi. Ça, ça me fait craquer. Mon chum, c’est aussi le papa qui est présent à toutes les pratiques de soccer, qui amène sa fille à la danse, qui se chamaille dans le lit avec elle, qui invente des soirées thématiques. Mon chum connaît sa fille par cœur. Il sait aussi mettre des limites et lui transmettre des valeurs que je trouve essentielles comme la générosité, la politesse et l’importance de la famille. Peut-être (sûrement) parce que j’ai une relation très semblable avec mon père, ça me touche profondément de voir mon chum avec sa fille. Je les trouve beaux.
Ceci dit, mon chum se débrouille aussi très bien dans son rôle d’amoureux, je n’ai pas à me plaindre! Il est attentionné, généreux, à l’écoute et il sait me supporter dans mes hauts et mes bas. En plus, il sait comment (bien) plier les draps contours. I mean! Je dis ça et je ne dis rien, mais est-ce que j’ai pogné le jack pot ou quoi?
Avez-vous aussi des papas/amoureux inspirants dans votre entourage?
Le père de Simon Olivier Fecteau célébrait ses 93 ans au cours des derniers jours, et la star n’a pas manqué de lui rendre hommage!
Saluant la longévité de son paternel, l’humoriste, concepteur et réalisateur y va d’une théorie pour expliquer cette belle vitalité.
«Cette semaine, mon père a eu 93 ans. Oui, QUATRE-VINGT-TREIZE. (La photo a été prise il y a deux mois) BONNE FÊTE MARCEL ! Je sais pas comment tu fais pour rester aussi jeune, je soupçonne la magie noire», écrit en effet Simon Olivier Fecteau en légende d’une belle photo de son père, Marcel.
Un beau moment partagé par le cerveau derrière les dernières éditions du Bye Bye, et qui nous permet d’avoir espoir de nous rendre jusqu’à 93 ans nous aussi!
Le père de Simon Olivier Fecteau célébrait ses 93 ans au cours des derniers jours, et la star n’a pas manqué de lui rendre hommage!
Saluant la longévité de son paternel, l’humoriste, concepteur et réalisateur y va d’une théorie pour expliquer cette belle vitalité.
«Cette semaine, mon père a eu 93 ans. Oui, QUATRE-VINGT-TREIZE. (La photo a été prise il y a deux mois) BONNE FÊTE MARCEL ! Je sais pas comment tu fais pour rester aussi jeune, je soupçonne la magie noire», écrit en effet Simon Olivier Fecteau en légende d’une belle photo de son père, Marcel.
Un beau moment partagé par le cerveau derrière les dernières éditions du Bye Bye, et qui nous permet d’avoir espoir de nous rendre jusqu’à 93 ans nous aussi!
Juste Moi et Toi; un film de Sandrine Brodeur-Desrosiers écrit par Luis Molinié. J’apprécie beaucoup les courts métrages. Je trouve qu’il s’agit d’une façon très efficace de présenter une histoire ; peu de mots, mais beaucoup d’émotions. Juste Moi et Toi en est un parfait exemple. C’est l’histoire d’une jeune fille qui part avec son père vers le Mexique, dans son dix-huit roues. Un voyage non traditionnel au coeur de la relation père-fille de cette famille. Une relation pas toujours facile vu les obligations professionnelles du papa. Ce court métrage aborde des sujets d’actualité tout en restant intemporel.
Les images de ce film sont magnifiques, elles représentent à la fois la beauté des paysages entre Montréal et le Mexique tout comme la dureté du travail de camionneur. Les acteurs sont incroyables, particulièrement la jeune fille. L’actrice Dalia Binzari a un jeu très naturel, ce qui ajoute beaucoup de réalisme à l’histoire. La musique est bien choisie et les sons ambiants amènent le spectateur à être à l’intérieur du camion avec les personnages.
Ce film, récipiendaire de nombreux prix dont celui du Meilleur court métrage de la Berlinale 2019, est disponible gratuitement sur Tou.tv et sur la plateforme Vimeo.
Il m’arrive souvent de questionner mon conjoint à propos de la paternité et de sa perception des choses. J’ai envie de comprendre comment il voit notre vie de famille ainsi que comment il perçoit sa relation avec sa fille et son rôle de papa. Je suis toujours émue de constater à quel point ses réponses sont franches et à quel point son amour pour notre puce est pur et profond.
Je me suis donc dit qu’il serait intéressant de l’interroger « formellement » sur les aspects de la parentalité qu’il ignorait avant de devenir papa. Voici donc ce qu’il m’a répondu :
Qu’il allait se sentir autant à sa place lors de l’accouchement. Il n’a jamais perçu qu’il était de trop ou qu’il ne savait pas quoi faire. Que ce soit lors des contractions à la maison ou au moment de notre arrivée rocambolesque à l’hôpital, il a toujours été parfaitement calme.
Que son attachement pour notre fille serait aussi fort et aussi rapide. Évidemment, chacun vit son attachement pour son bébé à sa façon, mais à peine expulsée, il aurait déjà tout donné pour elle.
Qu’il allait avoir si rapidement confiance en nous et en nos moyens. Mon conjoint est un naturel. Pendant que je doutais de tout (et j’exagère à peine), il réconfortait, berçait et changeait les couches et les petits pyjamas comme s’il avait fait ça toute sa vie. Même s’il est de nature plutôt anxieuse et qu’il doutait d’être à la hauteur, il a toujours été persuadé depuis le jour 0 que nous étions faits pour être les parents de notre poulette.
Que les professionnels de la santé mettent beaucoup l’accent sur la maman et le bébé, ce qui normal et essentiel, mais peu d’attention est accordée au papa. Nous avons eu la chance de tomber sur une infirmière qui a pris le temps de lui poser des questions sur ses sentiments et ses inquiétudes, mais nous savons que ce n’est pas tous les parents qui ont cette chance. Bien que tout se soit bien passé pour lui, la dépression post-partum chez le papa est un enjeu bien réel, et mis de côté au profit du bien-être de maman et bébé. Avec du recul, jamais je n’aurais été capable de supporter mentalement les premières semaines sans lui. Les deux parents ont un rôle primordial à jouer quant aux soins d’un nouveau-né. Le bien-être de chacun devrait être pris en compte.
Que le diable est dans les détails. Mon conjoint avoue avoir sous-estimé l’importance des petits détails et de la logistique entourant un bébé. Que ce soit le fait d’avoir quatre tapis de change au lieu de trois, d’acheter les prochaines tailles de vêtement d’avance ou de gérer la stérilisation du tire-lait et des biberons, la planification est souvent la clé.
Même si nous avons le même bébé et que nous avons vécu les mêmes épreuves, il est fou de constater à quel point nos perceptions des choses sont différentes. Et vous savez quoi? C’est parfait comme ça!
Quel aspect de la parentalité a surpris votre conjointe ou votre conjoint?
Les producteurs des films de l’agent 007 ont de nombreux projets pour la fille de l’agent secret le plus populaire du monde.
Une semaine après avoir appris que James Bond avait un enfant, voilà qu’on apprend que cet enfant ne sera pas qu’un coup de vent dans le film No Time To Die.
Selon le quotidien anglais The Mirror, la scénariste Phoebe Waller-Bridge, qui a coécrit le prochain film de James Bond, a aussi été mandatée par les producteurs de la série pour écrire un synopsis pour la fillette qui suivrait les traces de son célèbre père.
La fille de James Bond, Mathilde, 5 ans, serait née d’une relation passée avec Madeleine Swann (Lea Seydoux) dans le film Spectre. Nous allons découvrir cette nouvelle «Bond Girl» dans le prochain film de la série, No Time To Die.
Ce nouveau personnage ouvre de nombreuses possibilités pour les scénaristes et producteurs.
«Bond serait déchiré entre son rôle de père et celui d’enseigner l’art de l’assassinat», explique une source.
Le lancement du film No Time To Diea été repoussé d’avril à novembre prochain en raison de la pandémie de coronavirus.
C’est la jeune actrice Lisa-Dorah Sonne qui interprétera Mathilde.
Selon ce que rapporte le Mail on Sunday de Londres, l’agent 007 a une fille de 5 ans.
Pour ce dernier film mettant en vedette Daniel Craig dans la peau de l’agent secret, le personnage principal rencontrera Mathilde, sa fille.
Cette fillette est née d’une relation de 007 avec la Dre Madeleine Swann, interprétée par la Française Lea Seydoux, dans le film Spectre paru en 2015.
«Oui c’est vrai. Bond est père. C’est l’une des choses dont les fans seront les plus surpris», explique l’informateur du journal anglais.
James Bond en véritable tombeur aux centaines de conquêtes verra donc sa vie chambouler par une Bond Girl de 5 ans.
«Faire de Bond un père ouvre un tout nouveau monde en termes de drame et d’histoire», explique la source.
Le 25e film de la série James Bond, No Time To Die, devait paraitre ce printemps. La pandémie de coronavirus a repoussé sa sortie pour le moment à novembre 2020. Il s’agira du 7e et dernier film de Daniel Craig dans le rôle de l’agent secret.
Selon ce que rapporte le Mail on Sunday de Londres, l’agent 007 a une fille de 5 ans.
Pour ce dernier film mettant en vedette Daniel Craig dans la peau de l’agent secret, le personnage principal rencontrera Mathilde, sa fille.
Cette fillette est née d’une relation de 007 avec la Dre Madeleine Swann, interprétée par la Française Lea Seydoux, dans le film Spectre paru en 2015.
«Oui c’est vrai. Bond est père. C’est l’une des choses dont les fans seront les plus surpris», explique l’informateur du journal anglais.
James Bond en véritable tombeur aux centaines de conquêtes verra donc sa vie chambouler par une Bond Girl de 5 ans.
«Faire de Bond un père ouvre un tout nouveau monde en termes de drame et d’histoire», explique la source.
Le 25e film de la série James Bond, No Time To Die, devait paraitre ce printemps. La pandémie de coronavirus a repoussé sa sortie pour le moment à novembre 2020. Il s’agira du 7e et dernier film de Daniel Craig dans le rôle de l’agent secret.