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Papa peut aussi créer des liens avec bébé

D’abord, les nouveaux papas devraient créer des liens avec leur poupon et avoir une approche personnelle, selon l’auteur du livre The Baby Bonding Book for Dads, James di Properzio.

« Le contact face à face est crucial. Leurs neurones miroirs deviennent fous et essaient d’enregistrer les signaux pour apprendre à vous imiter et comprendre vos réactions », dit l’auteur.

Aussi, il est suggéré de remplacer maman pour l’heure du coucher. Faites donc de ce temps de la journée une occasion de vous rapprocher de l’enfant. De plus, n’hésitez pas à vous lever la nuit pour donner le biberon.

Ensuite, l’auteur propose d’apprendre à changer la couche et nourrir votre bébé.

Finalement, il soutient que les pères doivent être présents pour leurs enfants, même lors des moments plus difficiles. L’habileté des pères à intervenir lors de ces moments pourrait leur donner plus de confiance en tant que parents.

Rappelons qu’aujourd’hui, les pères participent davantage à l’éducation de leurs enfants qu’il y a 30 ans. Plus des trois quarts des répondants d’un sondage français croient également que l’amour et le réconfort ne doivent pas seulement être prodigués par la mère, et que l’autorité ne doit pas venir seulement du père.

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Papa fume? Plus de chances que bébé soit atteint de la leucémie

Bien que cela soit très néfaste pour d’autres raisons, il semblerait que même si la mère fume avant la grossesse et au moment de la conception, cela n’aurait pas d’impact en ce qui a trait au développement d’une forme de cancer chez l’enfant. Par contre, ce serait le cas du père, selon une étude australienne publiée dans l’American Journal of Epidemiology.

Les pères qui fumeraient au moins 20 cigarettes par jour au moment de la conception auraient 44 % plus de chances de faire développer la maladie chez l’enfant.

Les toxines, incluant les carcinogènes, pourraient engendrer un dommage direct aux cellules du sperme qui réussissent à féconder un ovule.

Même si les cas de leucémie augmentent constamment, il n’est pas encore prouvé qu’un père fumeur est entièrement responsable du développement de la maladie chez l’enfant. D’autres éléments seraient à considérer, comme le contact de la mère avec des pesticides, de la peinture et des radiations, pendant la grossesse.

Mentionnons que bien que la leucémie soit le type de cancer le plus fréquent chez l’enfant, il demeure tout de même rare, touchant environ de 3 à 5 enfants sur 100 000.

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L’obésité vient-elle du père?

Il semble qu’un homme qui a un surpoids ou qui est obèse pourra nuire à la santé future de sa progéniture. Des chercheurs australiens viendraient de démontrer un lien entre le poids du père et les risques futurs d’obésité de ses enfants.

Nous lisons en effet sur Fox News, qu’après avoir suivi plus de 3000 familles de 2004 à 2008, les chercheurs ont remarqué que les enfants issus d’un père en surpoids seraient plus enclins à avoir le même problème plus tard.

Précisément, un enfant de quatre ans dont le père est obèse ou a un surpoids sera plus à risque que les autres à avoir le même problème une fois qu’il aura atteint l’âge de huit ans.

Dans la même suite d’idée, un enfant dont les deux parents sont obèses sera encore plus enclin à souffrir lui aussi d’un problème de poids.

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Effets de la dépression du papa

Selon une récente recherche de la New York School of Medicine, la dépression d’un père de famille pourrait avoir de graves conséquences sur les enfants.

Comme nous le lisons dans Pediatrics, un enfant qui vit au sein d’une famille où le père présente des symptômes de dépression ou qui souffre d’un autre problème de santé mentale fera face à d’importants enjeux. Il sera plus enclin que les autres enfants à avoir des problèmes de comportement ou affectifs.

Pour tirer ces conclusions, on a suivi plus de 20 000 enfants qui vivaient avec leurs deux parents. Il s’est avéré que si la mère a des symptômes dépressifs, l’enfant risque encore plus d’avoir des problèmes émotifs ou comportementaux si son père en présente aussi.

En résumé, le taux de problèmes de comportement et affectifs, chez les enfants, s’est avéré de 25 % si les parents avaient les symptômes cités, 19 % si seule la mère en souffrait, et 11 % si la situation ne touchait que le père.

Six pour cent des enfants présentaient finalement des problèmes si aucun des parents ne souffrait d’une dépression ou d’un autre problème de santé mentale.

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Entendre papa et maman

Un bébé né prématurément, qui se retrouve aux soins intensifs néonataux, aura tout à gagner en entendant la voix de papa et maman. Selon une étude parue dans Pediatrics, ces bébés en viendraient à atteindre un meilleur niveau de vocalisation des sons entre la 32e et 36e semaine d’âge gestationnel.

Pour un nouveau-né, la vocalisation des sons commence par son premier cri. Ses parents démarrent alors le processus en répondant à cet appel. De plus, lorsque sa mère lui répond sur une base continue, le bébé commence dès lors à entreprendre son apprentissage du langage.

Il s’agit d’un élément clé, car l’apprentissage des sons est la base de la communication, mais aussi de la survie. Selon les experts, un tel processus d’apprentissage, pour être réussi, dépend de deux choses.

Premièrement, le bébé doit être capable de partager ses messages de façon claire. Deuxièmement, ses parents doivent être en mesure de comprendre ces messages.

Après avoir suivi près de 40 poupons, des chercheurs ont ainsi démontré qu’entre la 32e et 36e semaine, comme il a été mentionné plus haut, les bébés avaient connu une augmentation significative de leurs vocalisations si leurs parents auprès d’eux.

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Papa et ma santé

On lit dans Psychology of Men and Masculinity une analyse du rôle du père d’aujourd’hui par rapport à la santé des enfants. Les pères jouent un tout nouveau rôle dans la famille moderne, mais cela demeure encore très peu documenté.

La Northwestern University a donc entrepris une étude sur le sujet. On apprend tout d’abord que papa participe activement à la santé de ses enfants. Il est enclin à les encourager à maintenir une saine alimentation et à faire de l’exercice physique.

Toutefois, il semble qu’il puisse lui arriver de donner la mauvaise dose lorsqu’il est question de médicaments. Parallèlement, il est encore peu à l’aise quant aux soins et aux traitements médicaux de sa progéniture.

Vu la situation actuelle, selon laquelle les pères prennent une plus grande place dans l’éducation des enfants, on souligne que les présents résultats devraient encourager les instances de la santé à mieux les inclure. On a encore tendance à se concentrer uniquement sur la maman.

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Mort subite : risque élevé avec papa et maman

Il semble qu’un poupon qui dort avec ses parents serait plus à risque du syndrome de mort subite du nourrisson et d’accidents fatals survenant durant le sommeil.

Cette observation provient d’une étude australienne, laquelle a démontré que parmi 72 morts subites survenues entre 2008 et 2010, 33 se sont produites alors que le bébé dormait sur la même surface qu’un adulte. Parmi cesdites surfaces, on compte le lit, le divan, le matelas et la chaise berçante.

Ajoutons que 28 % de ces 33 derniers cas ont été identifiés comme un syndrome de mort subite du nourrisson, comme il est présenté dans The Canberra Times.

Les chercheurs recommandent donc, d’ici à ce que d’autres recherches soient faites, que le poupon dorme sur une surface séparée de ses parents, dans la même pièce que ceux-ci, et ce, durant au moins ses quatre premiers mois de vie.

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Avoir des enfants est bon pour le coeur

Il semble qu’être père de famille a des avantages sur la santé. Un homme qui a des enfants serait moins enclin à souffrir d’une maladie cardiovasculaire qu’un autre qui n’en a pas. Le moins grand risque encouru par papa est ici de 17 %.

C’est ce que nous apprend une récente enquête américaine à grande échelle. Différentes instances des États-Unis se seraient penchées sur le cas de 138 000 hommes pour tirer cette conclusion, selon Nouvelobs.

La différence ici observée nous en dirait plus sur l’infertilité. Cette dernière serait un bon indicateur de la santé future. Elle correspondrait en fait à une faiblesse génétique présente chez certains hommes, laquelle pourrait aussi avoir un effet sur leur santé cardiaque.

Malgré tout, les spécialistes nous demandent de ne pas sauter trop vite aux conclusions. Le Dr Daniel Rader, directeur de cardiologie préventive à l’University of Pennsylvania, affirme : « Il est biologiquement plausible qu’il y ait une connexion, mais le risque réduit attribué au fait d’avoir des enfants est plutôt modeste ».

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Papa est fait pour s’occuper de bébé

On lit dans Proceedings of the National Academy of Sciences qu’un papa est naturellement destiné à prendre soin de son bébé. Une étude de la Northwestern University vient de démontrer qu’il est biologiquement programmé pour le faire.

Des chercheurs ont prouvé que le taux de testostérone de l’homme s’abaisse lorsque son bébé vient au monde. Cette répercussion corporelle est par ailleurs observable chez plusieurs autres espèces animales qui s’occupent de leurs rejetons.

Il semble que les activités et les comportements typiquement « mâles » entreraient en conflit avec les responsabilités de la paternité. Le corps réagirait donc pour que le père puisse prendre soin adéquatement de son poupon.

Dans le cadre de cette étude, plus de 600 hommes dans la vingtaine ont été suivis pendant près de 5 ans.

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Papa doit être présent

La présence du père pour son enfant est primordiale, comme viennent de le confirmer des chercheurs l’Université Concordia. Un papa sincèrement engagé envers son enfant pourrait faire en sorte que ce dernier soit plus intelligent et qu’il ait un meilleur comportement.

Selon cette étude longitudinale parue récemment dans le Canadian Journal of Behavioural Science, le père aurait en effet une influence majeure dans le développement de l’enfant.

On ajoute qu’en comparaison à ceux dont le père est absent, les enfants qui ont un père présent montrent moins de problèmes de comportement et ont de plus fortes aptitudes intellectuelles en grandissant. Cette influence est tout aussi remarquable au sein de familles à risque ou au faible statut socio-économique.

De plus, la façon dont un père joue son rôle aurait un effet sur celle dont un enfant règlerait ses problèmes et diminuerait les problèmes émotifs comme l’anxiété et le rejet social.

Cette recherche a porté sur 138 enfants et leurs parents. Elle été entamée en 1976, et les jeunes participants ont été évalués plusieurs fois, soit à 3, 5, 9 et 13 ans.