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Étude sur l’aluminium dans les vaccins

On apprend sur Le Figaro que le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) en France révèle dans un récent rapport que l’adjuvant de certains vaccins, qui contient de l’aluminium, ne serait aucunement lié aux divers troubles dont la population s’est plainte, dont des problèmes musculaires et cognitifs.

Les injections visées sont celles du vaccin diphtérie-tétanos-polio, celui contre les hépatites A et B et le papillomavirus. Malgré que l’adjuvant soit utilisé depuis plus de 80 ans, le HCSP a tout de même mis sur pied une équipe consultative qui s’est penchée sur la question.

En conclusion, elle a recommandé la poursuite des vaccinations comme prévu au calendrier et rappelle les dangers potentiels pour la santé globale qu’une baisse de la couverture vaccinale pourrait avoir.

Dans ce rapport, on peut lire : « Le HCSP estime que les données scientifiques disponibles à ce jour ne permettent pas de remettre en cause la sécurité des vaccins contenant de l’aluminium, au regard de leur balance bénéfices/risques ».

Bien que considérées comme infondées, les inquiétudes des patients n’arrivent pas de nulle part. Plusieurs études passées ont déjà suggéré la toxicité de l’adjuvant aluminique.

Entre autres, il avait été prouvé que les cellules immunitaires véhiculant l’aluminium pouvaient migrer dans le cerveau de souris et y rester. Or, l’aluminium est toxique pour les cellules cérébrales.

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Un test maison aussi efficace qu’en clinique

Le Journal of Clinical Microbiology rapporte que les femmes pourraient bientôt faire elles-mêmes le test de dépistage du papillomavirus (VPH) à la maison.
 
Une étude allemande avait conseillé à des femmes de 20 à 30 ans de faire le test chez elles, avec un ensemble stérile nommé le Delphi Screener. Cela consiste en une seringue avec 5 ml de sérum tamponné afin recueillir la glaire cervicale. Le tout est ensuite envoyé en laboratoire pour analyses.
 
Après avoir comparé les résultats des tests maison à ceux des frottis effectués en clinique par les gynécologues, les chercheurs ont constaté qu’ils étaient identiques, et les examens tout aussi efficaces l’un et l’autre.
 
Le système est déjà utilisé aux Pays-Bas, et on espère étendre la méthode à d’autres pays.
 
Cela permettrait de faire davantage d’examens et de repérer toutes les femmes atteintes. En évitant l’examen médical, les délais seraient également plus courts.
 
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Le sexe oral à l’origine de cancers de la bouche

Habituellement liés au tabac et à l’alcool, les cancers de la cavité buccale pourraient être provoqués par la transmission du papillomavirus lors de rapports sexuels oraux.
 
Selon le British Medical Journal, des chercheurs britanniques, dont Hisman Mehanna de l’hôpital universitaire de Coventry, ont découvert qu’un type de tumeur de la bouche serait principalement causé par la transmission du papillomavirus.
 
Chaque année, on diagnostique plus de 640 000 nouveaux cas des cancers à la tête dans le monde. Alors que certains types de cancers sont en régression, les tumeurs de l’oropharynx et de la cavité orale ne cessent de croître, surtout aux États-Unis, où leur nombre a fait un bond de 22 % entre 1999 et 2006.
 
Les risques de cancers de la bouche augmentent de 25 % chez les personnes ayant eu six partenaires sexuels et plus. Ce risque est trois fois plus grand chez celles ayant eu des rapports sexuels oraux avec quatre partenaires ou plus.
 
Le papillomavirus est aussi à l’origine de 80 % des cancers du col de l’utérus.
 
Il existe maintenant des vaccins efficaces offerts aux jeunes filles dès l’âge de 10 ans contre cette contamination. Les auteurs de l’étude croient fermement que cette vaccination devrait être offerte aux garçons également.