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Lueur d’espoir pour les enfants atteints de paralysie cérébrale

Dre Kuschmann, travaillant à la Strathclyde’s School of Psychological Sciences and Health, souhaite découvrir à quel niveau la parole est affectée par les dommages au cerveau dans les cas de paralysie cérébrale infantile. Mais elle doit également comprendre en quoi ces dommages affectent les mouvements musculaires responsables de l’élocution.

Selon MedicalXpress, elle est convaincue qu’au terme de cette recherche, les spécialistes seront en mesure de déterminer des thérapies mieux adaptées à ces enfants, puisque la paralysie cérébrale affecte chacun de façon différente. Cependant, dans tous les cas, les difficultés prosodiques, soit de l’intonation et des mouvements de la langue pour émettre des sons distincts, sont conséquentes de la maladie.

« Cette analyse se fera auprès de 40 enfants âgés de 7 à 16 ans, relativement aux modèles de discours qu’ils utilisent, informe Kushmann. La paralysie cérébrale peut affecter le langage, puisqu’on a besoin de nos muscles pour contrôler notre langue et nos lèvres, pour prononcer les sons adéquatement. Cela influence notre façon d’articuler chaque intonation et nous permet, entre autres, de faire des affirmations et de donner de l’émotion à nos paroles. »

Dre Kuschmann a très à cœur cette recherche qui s’étendra sur une période de 3 ans, puisqu’elle conçoit que l’expression individuelle et la communication sont les plus gros obstacles au développement des jeunes atteints de paralysie cérébrale.

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De plus en plus de troubles neurologiques chez l’enfant

Selon une étude de la Harvard Medical School à Boston, entre 1997 et 2006, les enfants atteints de troubles neurologiques ont pris d’assaut les hôpitaux pédiatriques américains et coûté cher au système de santé.

En 2006, ces enfants représentaient 5,3 % de toutes les hospitalisations et le tiers (29 % — 12 milliards de dollars) des frais d’hospitalisation dans les hôpitaux pour enfants.

Durant cette période, le pourcentage d’hospitalisations pour des troubles neurologiques dans les hôpitaux pour adultes a diminué, passant de 3 % en 1997 à 2,5 % en 2006, tandis que la proportion des petits patients, elle, a augmenté de 11,7 % en 1997 à 13,5 % en 2006.

Selon les chercheurs, cette augmentation infantile pourrait s’expliquer par un meilleur taux de survie des enfants atteints de troubles neurologiques.

En examinant les données médicales de 25 millions d’enfants enregistrés aux États-Unis, les chercheurs ont noté que l’épilepsie (52,2 %) était le diagnostic le plus répandu en déficience neurologique, suivie de la paralysie cérébrale (15,9 %). Quant aux nourrissons ayant des troubles neurologiques, ceux-ci ont augmenté de 5 %

Afin de répondre aux besoins de cette population de patients en pleine expansion, les chercheurs croient que les hôpitaux devraient trouver des solutions efficaces pour faire face à cette réalité, qui ne devrait pas être perçue comme un problème.

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Mieux traiter la paralysie cérébrale

Parue récemment dans Developmental Medicine and Child Neurology, une étude menée par diverses instances de l’Alberta présente une toute nouvelle façon de venir en aide aux enfants atteints de paralysie cérébrale.

Au lieu de se baser sur la posture ou les aptitudes à faire des mouvements, cette méthode d’intervention porte plutôt sur le milieu de vie de l’enfant et au jeu.

Ce que l’on appelle une « intervention basée sur le contexte » (context-focused intervention) porte justement sur l’environnement plutôt que l’enfant lui-même. Cette nouvelle méthode offerte aux parents concernés et à leur enfant a donné des résultats probants quant à son efficacité.

Durant l’expérimentation, laquelle a portée sur 128 enfants atteints, l’approche dont il est question a donné des résultats équivalents à la méthode de traitement habituelle, notamment pour ceux dont l’état est évalué de moyen à sévère.

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Les prématurés sont plus en danger

On lit dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology que les bébés prématurés ont de plus grands risques de mort que ceux dont la naissance s’est rendue à terme. Ils sont aussi plus enclins à souffrir de paralysie cérébrale.

Une revue analytique a permis de confirmer ces risques déjà abordés. Il est donc important de ne pas considérer ces poupons de la même manière que les autres.

Le risque de mortalité est aussi plus grand chez les bébés nés presque à terme, soit avant la 37e semaine de grossesse, même s’il demeure ici plus faible que les bébés très prématurés.

Afin de faire ce constat, pas moins de 22 études sont passées en revue, ce qui correspond à 29 millions de nouveau-nés. Sur ce nombre, on a relevé 2 368 471 bébés prématurés.

On a par ailleurs remarqué que les enfants nés prématurément étaient exposés à de plus grands risques de retard intellectuel, de schizophrénie et de troubles psychologiques que les autres.

Chez les enfants nés presque à terme, selon plusieurs études, on a remarqué un risque plus élevé de retards de développement et de problèmes d’apprentissage durant les cinq premières années de vie.

Par la suite, ces mêmes enfants afficheraient des aptitudes mathématiques et de lecture plus faibles que ceux nés à terme.

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Les prématurés sont plus en danger

On lit dans l’American Journal of Obstetrics and Gynecology que les bébés prématurés ont de plus grands risques de mort que ceux dont la naissance s’est rendue à terme. Ils sont aussi plus enclins à souffrir de paralysie cérébrale.

Une revue analytique a permis de confirmer ces risques déjà abordés. Il est donc important de ne pas considérer ces poupons de la même manière que les autres.

Le risque de mortalité est aussi plus grand chez les bébés nés presque à terme, soit avant la 37e semaine de grossesse, même s’il demeure ici plus faible que les bébés très prématurés.

Afin de faire ce constat, pas moins de 22 études sont passées en revue, ce qui correspond à 29 millions de nouveau-nés. Sur ce nombre, on a relevé 2 368 471 bébés prématurés.

On a par ailleurs remarqué que les enfants nés prématurément étaient exposés à de plus grands risques de retard intellectuel, de schizophrénie et de troubles psychologiques que les autres.

Chez les enfants nés presque à terme, selon plusieurs études, on a remarqué un risque plus élevé de retards de développement et de problèmes d’apprentissage durant les cinq premières années de vie.

Par la suite, ces mêmes enfants afficheraient des aptitudes mathématiques et de lecture plus faibles que ceux nés à terme.

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Dommages au cerveau dus à la naissance prématurée

Les recherches sont nombreuses quant à la prévention des naissances prématurées. Ces jours-ci, on parle même d’un lien possible entre un accouchement à terme et le vaccin contre l’influenza.

Une recherche est également en cours afin de découvrir un traitement pouvant bloquer le travail hâtif de l’accouchement. Elle est soutenue par l’Action Medical Research. On souhaite ainsi contrer les nombreuses défectuosités de naissance pouvant être engendrées, peut-on lire sur Medical News Today.
 
Les conséquences sont en effet nombreuses et peuvent être très graves. Les enfants sont par exemple très à risque de subir des dommages au cerveau. Des problèmes de développement à long terme peuvent aussi être encourus.
 
On pense ici à la paralysie cérébrale, à la cécité et aux problèmes d’apprentissage. Une naissance prématurée peut aussi mener à la mort. Sur ce, on estime que 1 500 bébés mourront sur 60 000 naissances prématurées chaque année, au Royaume-Uni seulement.
 
En ce moment, on peut arrêter les contractions si la femme est déjà en travail en administrant des médicaments. Toutefois, l’accouchement ne peut être retardé que de 48 heures, de cette manière.

Quant aux tests actuels, ils permettent de cibler quelles femmes sont à risque d’accoucher prématurément, mais on ne peut leur venir plus en aide par la suite, ni à leur enfant.

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Risque de paralysie cérébrale par la méthode in vitro

Ces faits étaient déjà connus des médecins, mais on ne savait toujours pas si la raison était le traitement en lui-même, le plus haut taux de naissances multiples et prématurées ou un mécanisme de l’infertilité sous-jacente.

Une étude publiée dans Human Reproduction nous apprend aujourd’hui que l’infertilité sous-jacente n’est pas en cause.

Menée par le Dr Jin Liang Zhu, épidémiologiste au Centre danois de science épidémiologique à l’Université d’Aarhus, au Danemark, l’étude est la première à associer le temps de réussite d’une grossesse et le risque de paralysie cérébrale.

Ayant pris comme bassin d’observation la cohorte nationale des naissances au Danemark, l’échantillon cible était les enfants nés après zéro à deux mois d’attente.

Les chercheurs ont ensuite comparé ce groupe avec ceux nés après 3 à 5 mois d’attente, 6 à 12, puis 12 mois et plus. Toutes ces grossesses étaient soit par fécondation in vitro, par induction d’ovulation avec ou sans insémination intra-utérine ou des grossesses non planifiées.

Après avoir écarté divers facteurs pouvant influer sur les résultats, les chercheurs ont pu conclure qu’il n’y a pas le lien entre l’infertilité sous-jacente et le risque de paralysie cérébrale.

Ils tiennent également à rappeler que le risque de paralysie cérébrale pour les enfants nés d’une fécondation in vitro est tout de même faible. Des 3 000 bébés de la cohorte nés par cette méthode, seuls 17 (0,57 %) en étaient atteints.

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Les bébés nés après terme ont plus de risques de souffrir d’une paralysie cérébrale

Après avoir suivi 1 684 441 enfants nés entre 1967 et 2001 et suivis jusqu’en 2005, des chercheurs affirment que non seulement la prématurité prédispose à un risque accru de paralysie cérébrale, mais qu’une naissance tardive est aussi à risque.
 
C’est connu depuis longtemps que les bébés prématurés ont plus de chances de développer la pathologie, mais c’est la première fois que l’on établit un lien avec les naissances dépassant la date prévue, rapporte le journal JAMA.
 
Parmi les enfants suivis nés à terme ou après, on en a identifié 1 938 avec une infirmité motrice cérébrale. La paralysie cérébrale est une cause commune d’incapacité physique dès l’enfance et persiste tout au cours de la vie de la personne.
 
La prévalence de la maladie est de 0,99 par 1000 naissances pour les enfants nés à terme à 40 semaines. Pour ceux nés à 37 semaines, on parle de 1,91 cas par 1000 enfants, soit 3,7 fois plus de risques. Pour ceux nés à plus de 42 semaines, on établit à 1,44 cas sur 1000, soit 2,4 fois plus de risques d’avoir la maladie. Ce sont les deux groupes le plus à risque.
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Les bébés conçus par procréation assistée courent plus de risques de souffrir de paralysie cérébrale

Une nouvelle étude publiée dans la revue Human Reproduction confirme que les enfants nés grâce à des traitements contre l’infertilité sont plus susceptibles d’être atteints de paralysie cérébrale.

Une des explications à ce phénomène serait en raison des naissances multiples et des accouchements prématurés.

Après avoir analysé près de 590 000 enfants danois nés entre 1995 et 2003, dont un peu plus de 33 000 étaient issus de la procréation assistée, on a conclu qu’avec cette méthode, il y a deux fois plus de risques de souffrir de paralysie cérébrale, comparativement à ceux conçus naturellement.

Par contre, les risques absolus de donner naissance à un enfant ayant la maladie demeurent faibles. Aux États-Unis et en Europe, on estime que 2 ou 3 enfants sur 1000 seront touchés.

Toutefois, les chercheurs disent qu’il s’agit d’un argument supplémentaire pour implanter seulement un embryon à la fois aux femmes afin de diminuer les probabilités de grossesse multiple et d’accouchement prématuré.

La paralysie cérébrale affecte le mouvement, l’équilibre et la posture. Les causes exactes de la pathologie ne sont pas connues.