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Des arguments pour convaincre son conjoint de faire un bébé

L’horloge biologique

La fertilité baisse avec l’âge, encore plus pour les femmes, mais pour les hommes aussi. À 25 ans, les chances de tomber enceinte chaque mois sont de 25 %, à 35 ans, c’est plutôt 12 %!

Le bon moment

Selon une récente étude américaine, le début de la trentaine serait l’âge idéal pour devenir parents. Même si cet argument est discutable, il y a un certain climat qui, lui, compte vraiment : une bonne santé, une stabilité de couple, des moyens financiers et un endroit approprié pour vivre.

Un nouveau projet

Un bébé donne un nouveau souffle au couple, l’amène dans une nouvelle dimension, une nouvelle dynamique et une nouvelle routine.

La pratique

Faire l’amour tous les jours augmenterait la qualité des « petits soldats », alors on ne se gêne pas!

La descendance

Un enfant assure que la lignée va se prolonger, que quelqu’un d’autre continuera à propager nos gènes, mais aussi nos valeurs.

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Les pires choses à dire à une femme enceinte

Le site Babble propose une liste de choses à ne PAS dire à une femme enceinte, avec une réponse que personne n’ose formuler, mais qui ferait beaucoup de bien.

Es-tu certaine que ce ne sont pas des jumeaux?

« Non, en fait, je ne suis pas sûre. Laisse-moi donner un coup de fil à mon médecin, juste au cas où un mystérieux deuxième bébé aurait réussi à se cacher dans mon utérus jusqu’à maintenant. »

Tu sembles avoir pris plus de poids durant cette grossesse que durant ta précédente!

« Merci de me le rappeler. J’adore quand les gens réalisent qu’une 2e (ou une 3e) grossesse est souvent plus difficile puisque j’ai déjà un enfant et beaucoup moins de temps pour m’occuper de moi, mais ne m’offrent aucune aide ou aucune solution. »

Ne le prends pas mal, mais… es-tu enceinte?

Dit avec un très large sourire : « Attends… Mais, alors ce serait pour ÇA que je n’arrête pas de prendre du ventre… »

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Les besoins nutritionnels des enfants

Lorsqu’on a des enfants difficiles, on peut parfois en arriver à se demander s’ils mangent assez. En contrepartie, avec les taux d’obésité infantile qui ne cessent de grimper, on peut aussi avoir peur qu’ils mangent trop… Quelle est la bonne quantité? Parents Magazine fait le point.

Entre 1 et 3 ans

Les enfants de cet âge ont besoin d’environ 1200 à 1400 calories. Après une fulgurante croissance durant leur première année, ils ralentissent le rythme et, par conséquent, ont moins faim. Il est normal pour ces petits d’avoir un appétit très variable : énorme une journée, très léger les jours p.

Entre 4 et 6 ans

Durant cette période, les enfants ont plutôt besoin de 1500 à 1750 calories. Lorsqu’ils commencent l’école et ont plusieurs activités parascolaires, ils ont besoin de collations nutritives, mais pas trop grosses, pour ne pas leur couper la faim lors des repas. À partir de cet âge, vous pouvez commencer à surveiller les signes pour éviter que les enfants mangent pour des raisons émotionnelles, ou simplement parce qu’ils s’ennuient.

Entre 7 et 9 ans

Leurs besoins nutritionnels sont de 1700 à 1950 calories, ce qui s’approche beaucoup de celui d’une femme adulte! La croissance à cet âge diminue encore plus, mais ces enfants ont quand même besoin de manger plus, simplement parce qu’ils sont très actifs. C’est un âge critique pour l’apparition de l’embonpoint, alors limitez les friandises et assurez-vous que vos enfants bougent!

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Comment cesser de crier envers ses enfants

Écouter

Prenez le temps d’écouter ce que votre enfant a à dire, et comment il se sent. Ne serait-ce que parce qu’ensuite, il sera peut-être plus enclin à vous écouter aussi.

Réduire ses attentes

Ne pas vous attendre ce que votre plus jeune soit aussi responsable que votre plus vieux, et ne pas s’attendre à ce que vos enfants ne fassent jamais de gaffes… Cela peut faire une énorme différence.

Se faciliter la tâche

Vous répétez aux enfants de ne pas sortir autant de jouets en même temps 50 fois par jour? Placez les jouets dans un endroit moins accessible. Leur chambre est toujours dans un désordre le plus total? Ne gardez que le strict minimum.

Prendre une grande respiration

Cela reste un des trucs les plus efficaces; avant de crier, prenez un moment pour vous sortir de la situation et simplement respirer.

Passer du temps ensemble

Plus vous passerez de bons moments avec vos enfants, moins vous aurez envie de crier.

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Le Salon Maternité Paternité Enfants

Cette année, la marraine du Salon est la chanteuse Marie-Élaine Thibert, qui est devenue maman de la petite Marie-Félix depuis peu.

Elle a dit : « J’ai hâte de visiter à nouveau le plus grand rendez-vous des familles au printemps, cette fois en tant que maman et marraine, et j’espère bien vous rencontrer! Ça me fait vraiment plaisir d’en être la marraine cette année, car j’ai une foule de choses à découvrir ».

Le Salon se tiendra à la Place Bonaventure au centre-ville de Montréal. Du jeudi 4 au samedi 6 avril, il sera ouvert de 10 h à 20, tandis que le dimanche 7 avril, les portes fermeront plutôt à 17 h. Le prix d’entrée est de 13 $ pour les adultes et de 11 $ pour les aînés et les étudiants. Les enfants de 12 ans et moins peuvent visiter le Salon gratuitement.

Les personnes intéressées peuvent se procurer un coupon-rabais de 1 $ sur le prix d’entrée dans la circulaire de Jean-Coutu actuelle. La chaine de pharmacies est partenaire de l’événement depuis les débuts et est présentatrice officielle du Salon depuis 13 ans.

Il s’agit du plus grand salon du genre au Canada, et tout est pensé pour les jeunes familles, comme la circulation facile avec les poussettes. 325 exposants seront présents, et 50 000 visiteurs sont attendus.

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Le stress chez les parents d’enfants qui ont le cancer

Des chercheurs ont analysé le taux de stress et de détresse psychologique de 104 parents qui avaient tous un enfant atteint d’un cancer à un stade avancé.

Ces parents remplissaient des questionnaires qui permettaient d’évaluer ce taux de difficultés émotionnelles : un résultat supérieur à 7 indiquait « une détresse élevée », tandis qu’un résultat plus haut que 13 signalait « une détresse psychologique sérieuse ».

Le résultat moyen de ces parents était de 7,9, ce qui, on le comprend, est beaucoup plus élevé que le 2,5 des adultes américains moyens. La moitié des parents ayant participé à l’étude avaient un résultat supérieur à 8, et 16 % d’entre eux étaient en état de détresse psychologique sérieuse.

Ceux qui avaient espoir que leur enfant guérisse et ceux qui comprenaient bien que le pronostic était bien aligné avec les buts du traitement éprouvaient moins de stress que les autres. Les parents en détresse psychologique étaient plutôt ceux qui savaient que leur enfant souffrait à cause du traitement, et qui avaient des problèmes financiers reliés au cancer, selon ce que rapporte MedPageToday.

Les résultats ont été publiés dans le journal JAMA Pediatrics.

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Comment bien choisir son camp de jour

Qui sont les moniteurs?

Comment le camp les choisit et quelle formation ceux-ci auront-ils? Quel sera le ratio d’enfants pour chaque moniteur? Est-ce que ceux-ci vont changer souvent?

Comment ça fonctionne?

Informez-vous par exemple sur les politiques au sujet du paiement : y a-t-il un dépôt à donner, quand doit-on payer, quelles sont les politiques d’annulation… À quelle heure peut-on aller conduire les enfants? Y a-t-il des vêtements à éviter, ou encore à privilégier (par exemple, pas de sandales)?

Quelle est la réputation du camp?

Demandez à d’autres parents ou des enfants plus vieux du voisinage : à quel camp sont-ils allés? Est-ce qu’ils ont aimé? Quelles étaient les activités qu’ils préféraient?

Quel est le programme?

Normalement, les camps de jour préparent leur programme (activités spécialisées, thèmes, sorties, etc.) plusieurs semaines avant l’inscription, afin de laisser aux parents le temps de se familiariser.

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Déficit de l’attention : il vaut mieux former les parents que donner des médicaments aux enfants

Afin d’établir la meilleure méthode de traitement pour ce qui est du TDAH, des chercheurs ont analysé des dizaines d’études portant sur les enfants d’âge préscolaire (moins de 6 ans) qui avaient reçu un diagnostic et présentaient des problèmes jugés « significatifs ».

Parmi les méthodes étudiées, on trouvait l’utilisation de psychostimulants, la formation des parents, ainsi que des interventions ciblées en milieu préscolaire ou de garderie.

La formation des parents, afin que ceux-ci soient mieux capables d’aider leur enfant, était de loin la méthode la plus fiable, avec au moins 8 études qui prouvaient son efficacité hors de tout doute.

Une seule étude soutenait les bénéfices des médicaments, ce que les médecins ont qualifié « de preuve très mince ». Les interventions dans le milieu de l’enfant donnaient quant à elles des résultats manquant de constance.

Les auteurs ont conclu que « les preuves montrent que la formation comportementale des parents améliore les capacités de ceux-ci à gérer les problèmes de leur enfant, et améliorent également les comportements dérangeants de ceux-ci, incluant les symptômes de base du TDAH », selon MedPageToday.

Les résultats de l’analyse ont été publiés dans le Pediatrics.

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Tout sur les cours prénataux

La relaxation : Comment respirer et quelles positions adopter durant le travail pour essayer de se détendre et de mieux supporter la douleur.

Les stades du travail : Ce qui va se passer durant cette période qui précède l’accouchement, la durée probable et comment réagir.

La péridurale : Ce que ça veut vraiment dire, les résultats, la procédure et les effets secondaires possibles.

L’accouchement : Souvent accompagné d’une vidéo qui rassure certaines personnes et fait peur à d’autres…

La césarienne : Les causes de la césarienne, le déroulement de la chirurgie et les meilleurs moyens de récupérer.

L’après-accouchement : Ce qui se passe dans le corps de la mère après l’expulsion, et les soins au nouveau-né, incluant son alimentation.

L’allaitement : Les pratiques qui favorisent un bon début d’allaitement, les avantages, les stratégies pour se faciliter la tâche.

Le retour à la maison : À quoi vous attendre durant ces premiers jours en tant que famille.

Le baby-blues : Comment reconnaître les symptômes de ce problème fréquent, chez les mères et chez les pères.

Le syndrome de mort subite : Les meilleurs moyens de l’éviter.

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Les histoires personnelles aident les enfants à développer leurs habiletés sociales

Une nouvelle étude a observé 42 familles qui comptaient des enfants de 4 et 5 ans. Les chercheurs demandaient aux parents de raconter quatre expériences passées qui étaient arrivées à l’enfant (une joyeuse, une triste, un conflit avec un pair et un conflit avec le parent), ainsi que deux interactions de jeu entre le parent et l’enfant.

Selon les chercheurs, les mères élaboraient plus lorsqu’elles racontaient ces histoires à leurs enfants. Il n’y avait par contre pas vraiment de différence entre les histoires racontées aux garçons et aux filles.

Les mères utilisaient plus de termes reliés aux émotions dans leurs histoires que les pères, ce qui favorisait l’investissement dans la relation entre les deux. Elles communiquaient aux enfants que leur perspective et leurs propres émotions étaient importantes.

« Ces résultats sont intrigants. Ils nous permettent de mieux comprendre la manière dont les parents définissent les genres sexués à leurs enfants à travers des histoires du passé, et comment les enfants peuvent ensuite incorporer ces rôles dans leur propre vie », a expliqué l’auteur de l’étude, le professeur Widaad Zama, selon Science Daily.

L’étude a été publiée dans la revue de psychologie Sex Roles.