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Comment gérer les crises chez les enfants

Comprendre la biologie

Les crises sont un phénomène cérébral réel, et pas (juste) une manière pour les petits monstres d’obtenir ce qu’ils veulent. Lorsqu’une crise se produit, quelque chose a atteint une zone du cerveau appelée l’amygdale, qui gère les émotions. Cette zone sert entre autres à identifier le danger et à réagir promptement. Chez les enfants, les connexions entre l’amygdale et les régions plus rationnelles du cerveau ne sont pas toujours bien formées, alors leur petit cerveau peut rapidement devenir complètement bouleversé et dépassé.

Réagir ou ignorer?

Certains enfants ont simplement besoin de temps pour se calmer, alors que d’autres peuvent être ramenés à un comportement plus normal. Vous connaissez vos enfants, alors faites ce qui marche le mieux pour eux. Une bonne idée serait à tout le moins de reconnaître leurs sentiments, par exemple en disant, « Wow, je vois que tu es vraiment fâché… »

L’après-crise

Il ne sert à rien de passer beaucoup de temps à essayer d’expliquer en long et en large ce qui s’est passé, mais lorsque l’enfant s’est calmé un peu, essayez d’aller chercher son cerveau rationnel. Par exemple, dites-lui : « Quelle solution pourrait-on trouver pour que ça n’arrive pas la prochaine fois? » À moyen et à long terme, il est important de donner aux enfants les outils pour qu’ils soient capables de se contrôler eux-mêmes.

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Des poissons d’avril en nourriture pour amuser les enfants

Du lait mauve : Ajoutez quelques gouttes de colorant alimentaire bleu et rouge dans le contenant de lait en secret, avant de leur en verser un verre. Affirmez-leur, avec le plus grand sérieux, que ce lait spécial provient d’une vache mauve.

Une pomme pourrie : Coupez un petit trou dans une pomme, avec un couteau ou des ciseaux. Versez-y une goutte de jus de citron pour éviter l’oxydation. Glissez un ver de terre en jujube, en vous servant d’un cure-dent au besoin pour arriver à bien l’enfoncer. Mettez la pomme dans le lunch de votre enfant, sans rien lui dire.

Des fish’n’chips : Lorsque votre enfant revient de l’école ou de la garderie, déclarez-lui que le goûter traditionnel de la journée du poisson d’avril, ce sont des fish’n’chips. Alors que l’enfant proteste ou encore est surpris, servez-lui des poissons en bonbons, accompagnés de gaufrettes à la vanille (pour les frites).

Des cupcakes pour le souper : Servez des « cupcakes chocolat-vanille » pour le souper! Il s’agit, en fait, de pain de viande cuit en portions individuelles dans un moule à muffins, surmonté de pommes de terres pilées, qui forment le glaçage. Fous rires garantis!

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Les préjugés vécus par les familles homoparentales

Une étude menée en Grande-Bretagne a analysé les réactions des gens face aux comportements de parents homosexuels ou hétérosexuels envers leurs enfants.

« Nous avons noté que lorsque les parents avaient un comportement favorable, par exemple le fait de consoler leur enfant, ils étaient jugés de la même manière positive, qu’ils soient gais ou pas. Mais lorsque les parents montraient des signes de frustration, par exemple en haussant la voix envers leurs enfants, le jugement était beaucoup plus sévère envers les parents gais que les parents hétérosexuels, même s’il s’agissait du même geste », a expliqué l’auteur de l’étude, le Dr Sean Massey, selon PsychCentral.

Ce jugement supplémentaire est néfaste pour les parents gais, croit le chercheur, car il ajoute une pression négative supplémentaire au rôle de parent, qui connaît toujours son lot de hauts et de bas.

« Nous croyons que c’est très important pour les travailleurs sociaux et les professionnels de la santé d’être vigilants et conscients du fait que ces préjugés perdurent », a ajouté le chercheur.

En effet, plusieurs couples gais souhaiteraient adopter des enfants ou encore servir de famille d’accueil, mais nombre d’enfants en besoin d’une famille stable ne peuvent peut-être pas y avoir accès à cause de ces préjugés.

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Faut-il comparer les enfants entre eux?

Même si les parents savent que chaque enfant est unique, il est parfois difficile de s’empêcher de comparer nos enfants avec d’autres du même âge (le petit voisin marche déjà alors que le nôtre ne se tient pas encore bien debout, l’enfant d’une amie sait déjà lire alors que le nôtre n’a aucun intérêt pour apprendre).

Les comparaisons correspondent souvent à un réflexe naturel : si vous rencontrez les parents d’un enfant du même âge que le vôtre, ça ne sera probablement pas long avant que vous commenciez à poliment demander où l’autre se trouve dans son développement.

Selon la médecin de famille de Victoria Tracy Mihaalynuk, « les âges établis pour que les enfants franchissent certaines étapes sont des paramètres, et pas des chiffres absolus. Au lieu de vous inquiéter des stades et de sa capacité à les atteindre le plus rapidement possible, essayez plutôt de vous concentrer sur les beaux côtés et sur l’unicité de votre enfant ».

Il est normal que même des enfants d’une même famille atteignent certains stades à des âges différents. Laissez les frères et sœurs plus jeunes être eux-mêmes et suivre leur propre cheminement.

C’est uniquement dans les cas où l’enfant se trouve vraiment à l’extérieur des chartes qu’il y a peut-être une raison de s’inquiéter. Dans ce cas, il faudrait en parler à son médecin.

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Les problèmes de fertilité sont liés à des risques neurologiques pour les enfants

Dans le cadre d’une nouvelle étude, les données provenant de 209 bébés nés de couples considérés comme « sous-fertiles » ont été analysés. Parmi ceux-ci, certains ont eu recours aux techniques de procréation assistée, alors que d’autres ont fini par concevoir naturellement.

Parmi ces enfants, 16 (7,7 %) ont eu un problème neurologique mineur. Le problème était simple chez 10 enfants (un seul domaine cognitif affecté), et complexe chez les 6 autres (plusieurs domaines affectés).

Même lorsque les données ont été ajustées pour tenir compte de facteurs externes comme l’âge et le niveau d’éducation des parents, le risque est demeuré, et il est resté fortement associé à un temps plus long avant la conception.

« Ceci sous-entend que des facteurs associés à la sous-fertilité pourraient jouer un rôle dans la genèse des problèmes neuro-développementaux », a noté Mijna Hadders-Algra, l’auteure de l’étude, selon Med Page Today.

Les chercheurs croient que c’est la sous-fertilité elle-même, et non pas les traitements de fertilité, qui est associée à des problèmes potentiels.

Les résultats ont été publiés dans le journal Fetal & Neonatal Edition of Archives of Disease in Childhood.

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Ce que vous ne devez jamais faire avec un bébé

1. Coller bébé sur le mur : Le ruban de masquage n’est VRAIMENT pas fait pour ça!

2. Habiller bébé comme une effeuilleuse et la faire poser sur un poteau : Pas drôle ni mignon du tout!

3. Faire de la planche à voile avec bébé : Même si vous pensez que vous êtes vraiment bon et que vous n’allez pas tomber…

4. Placer un nouveau-né entre deux grosses tranches de pain avec des feuilles de laitue : Hahaha, un sandwich de bébé!

5. Laisser bébé jouer avec un fusil : Non! Même si le revolver est déchargé. NON!!!

6. Prendre une photo de bébé avec votre serpent domestique : Sérieusement?

7. Placer bébé dans le compartiment à bagages dans un avion : Non, bébé ne peut pas être considéré comme un bagage à main.

8. Faire un tour de moto avec bébé : Attendez quelques années, s’il vous plaît!

9. Lire Playboy avec bébé : De toute façon, tout ce qu’il verra, c’est une source de lait!

10. Transporter bébé par une cheville : Essayez, si possible, de garder sa tête vers le haut.

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Des manières mémorables de célébrer Pâques

Des paniers de Pâques

Imaginez les yeux de vos enfants s’ils se lèvent le matin pour constater que le lapin de Pâques est passé durant la nuit! Vous pouvez placer de la fausse paille dans le fond de ces paniers, puis y déposer quelques chocolats et bonbons avec des emballages différents et colorés (œufs, lapins, poules, poussins, etc.), mais aussi de petits animaux en peluche ou des articles qui célèbrent le retour du printemps (de la craie pour l’asphalte, une corde à danser, des bulles, etc.)

Des œufs colorés

Si l’idée de vider les œufs vous semble trop compliquée (et fragile avec des enfants), vous pouvez simplement décorer des œufs à la coque. Les tout-petits peuvent dessiner dessus avec des crayons-feutres, y poser des autocollants, les peindre avec de la gouache, y déposer de la colle blanche puis les rouler dans les brillants…

Une chasse aux œufs

Cachez des œufs sur votre terrain (ou dans la maison), que ce soit des œufs en bonbon ou en plastique, et laissez les enfants les trouver! Vous pouvez organiser un concours pour déterminer qui en ramasse le plus.

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Les parents qui utilisent la culpabilité rendent leurs enfants malheureux

Dans le cadre d’une étude finlandaise, des chercheurs ont analysé les interactions entre 150 enfants de première année et leurs parents. Les enseignants de ces enfants ont également participé à l’étude, en rapportant le comportement des enfants tout au long de l’année scolaire, notamment par le biais de cahiers de bord.

Les chercheurs ont constaté que lorsque les parents utilisaient beaucoup la culpabilité dans leurs rapports avec leurs enfants, ces derniers devenaient fâchés et même en détresse. Cet effet était même encore visible le lendemain à l’école.

Ce niveau de détresse variait même de manière significative selon les techniques employées par les parents : plus ils essayaient de rendre l’enfant coupable, plus celui-ci avait du mal à fonctionner.

Les parents qui se servent de la culpabilité pour élever leurs enfants tentent d’avoir un impact sur leur comportement en jouant sur le côté psychologique au lieu d’établir des limites claires. Par exemple, ce type de parent va constamment rappeler à l’enfant tous les efforts et les sacrifices qu’il a faits pour lui, et à quel point son enfant suscite de la honte.

Ces parents sont souvent épuisés et en détresse eux-mêmes. Même si ce comportement était néfaste pour l’enfant de la part des deux parents, le rôle du père est particulièrement important, rapporte Science Daily.

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Ne comptez pas sur le calendrier lunaire chinois pour prédire le sexe de votre enfant

Connaissez-vous le calendrier lunaire chinois? Celui-ci, qui a prétendument été enfermé dans un tombeau pendant près de 700 ans, serait capable de deviner le sexe d’un bébé à naître, avec une exactitude pouvant aller jusqu’à 93 %!

Ça semble trop beau pour être vrai et, évidemment, ça l’est. Des chercheurs ont décidé de tester ce calendrier, en l’utilisant pour réviser 2,8 millions de véritables naissances, qui ont eu lieu entre 1973 et 2006.

Même si les chercheurs savaient qu’il n’y avait aucune raison rationnelle pouvant expliquer les prétentions du calendrier, ils affirment qu’ils ont « amorcé l’étude avec l’esprit ouvert », étant prêts à se laisser surprendre, selon Parenting Squad.

Mais la surprise ne s’est pas produite. En effet, selon les conclusions de cette étude publiée dans le journal Pediatric and Perinatal Epidemiology, le calendrier était exactement aussi efficace que… le fait de tirer à pile ou face!

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Les parents devraient effectuer les tâches ménagères ensemble

Une nouvelle étude s’est attardée sur les taches ménagères et les soins portés aux enfants, chez 160 familles qui avaient au moins un enfant de moins de 5 ans. Le but des chercheurs était d’essayer de trouver une recette qui assurerait la qualité de la relation entre les parents.

Ceux-ci ont noté que les couples qui divisaient les tâches de façon égale (exemple, maman change une couche, papa change une couche) n’étaient pas très satisfaits de leur relation et de leur dynamique familiale.

La solution gagnante était plutôt la suivante : les parents s’arrangeaient pour faire au moins une partie des tâches ensemble (faire la vaisselle, le lavage, la routine du dodo avec les enfants), et papa s’assurait de passer du temps de qualité avec les enfants.

Selon les chercheurs, « pour les femmes, le fait que papa ait une bonne relation avec ses enfants signifiait directement que les parents auraient probablement aussi une meilleure relation entre eux », a noté l’auteure, Erin Holmes, qui est professeure de psychologie.

« Nous avons remarqué que le “qui fait quoi” n’avait pas d’importance, mais la satisfaction des parents envers la division des tâches en avait beaucoup! Lorsque les parents partagent des tâches, les femmes sont plus satisfaites », rapporte Science Daily.