Étiquette : parents

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Comment élever des enfants heureux

Éliminez une activité : S’ils sont comme la majorité des enfants d’aujourd’hui, vos enfants sont probablement trop occupés. Les jeunes ont besoin de temps complètement libres, et de nos jours, malheureusement, ils en ont très peu. Seulement juste une activité de moins pourrait aider à rétablir l’équilibre.

Arrêtez de crier autant : Les parents crient beaucoup après leurs enfants. Vous n’aimez pas l’admettre, mais c’est probablement vrai. Et si vous vous donniez comme but de crier la moitié moins? La prochaine fois que vos enfants vous tomberont sur les nerfs, essayez plutôt de quitter la pièce quelques instants.

Lisez ensemble : Lisez avec vos enfants tous les soirs. C’est le meilleur moyen de leur transmettre l’amour de la lecture, d’être complètement présent avec vos enfants, et de leur accorder un temps pour se détendre avant le dodo.

Pensez à votre rapport avec votre conjoint(e) : Le plus grand exemple que les enfants conserveront toute leur vie, c’est la relation entre leurs parents. Prenez de grandes respirations s’il le faut, et essayez d’être amical, de rire ensemble, d’accepter que l’autre ne soit pas parfait et d’être bien quand même.

Travaillez sur vos problèmes : C’est vraiment difficile pour les enfants de grandir avec un parent qui a un ou des problèmes majeurs dans sa vie. Ce n’est pas facile, mais vous pouvez briser le cycle, et tout le monde s’en portera mieux.

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Comment reconnaître la maladie coeliaque chez les enfants

La maladie cœliaque est rare, mais très sérieuse : il s’agit d’une maladie auto-immunitaire liée à une intolérance au gluten (contenu dans le blé et d’autres céréales), qui mène à des carences alimentaires et à une « attaque » de l’intestin grêle.

Il existe des symptômes classiques de la maladie coeliaque : un enfant qui perd du poids et qui a un abdomen distendu ainsi qu’une diarrhée chronique.

Par contre, de plus en plus d’enfants diagnostiqués ne présentent pas ces symptômes. Les parents et les professionnels de la santé devraient donc être à l’affût d’autres symptômes parmi les suivants : de l’alopécie (la perte des cheveux), des problèmes de glande thyroïde, des maux de tête chroniques, de l’ostéoporose précoce, des enzymes du foie élevés, de l’anémie, de la constipation, des douleurs aux jambes et des douleurs articulaires.

Il existe également un lien avec le diabète de type 1 : de 10 à 20 % des enfants qui souffrent de ce type de diabète ont aussi une maladie cœliaque, qui pourrait passer inaperçue. Les enfants trisomiques ou qui ont le syndrome de Turner ont également une prédisposition génétique.

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Comment aider ses enfants à avoir un rêver et à réussir

Les rêves de votre enfant lui permettront de rester concentré et de persévérer. Si votre enfant rêve, par exemple, de devenir vétérinaire, essayez de lui rappeler ce rêve lorsqu’il est découragé par une difficulté scolaire.

Essayez de réduire les distractions qui peuvent l’empêcher momentanément d’envisager son but.

Apprenez-lui aussi que l’opinion des autres, qui essaient de le décourager, ne devrait pas peser dans la balance. Après tout, c’est son rêve, et pas le leur!

Faites comprendre à votre enfant que le chemin du succès, ce n’est pas un sprint, c’est plutôt un marathon. Il aura besoin de beaucoup d’entraînement et d’efforts pour y arriver.

Agissez comme un exemple. Donnez-vous des buts clairs et faites des efforts concrets pour y parvenir. Un parent inspirant ne pourra qu’aider son enfant.

Montrez à votre enfant à utiliser un langage affirmatif et positif. Par exemple, au lieu de dire « Si je peux… », faites-le dire « Je vais… ».

Aidez-le à bien se connaître. Savoir composer avec ses forces et ses points à améliorer sera un grand atout dans la poursuite de ses rêves.

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Des idées d’activités printanières à faire en famille

– Faire des œufs de Pâques colorés.

– Trier les vêtements et ranger ou donner les vêtements d’hiver.

– Faire une liste des vêtements ou articles qui seront nécessaires pour la nouvelle saison.

– Visiter le Jardin botanique.

– Se rendre dans un parc ou dans la nature et essayer de trouver des brindilles, des roches, de nouvelles pousses, etc.

– Préparer ensemble les plates-bandes ou le potager avant de commencer le jardinage.

– Acheter un nouveau casse-tête ou un nouveau jeu de société pour la famille, et organiser une soirée de jeux avec des collations spéciales.

– Faire un pique-nique.

– Planifier les activités estivales, par exemple les vacances, les camps de jour ou les camps de vacances.

– Faire un ménage des livres, des jouets, des films, etc.

– Donner ce qui ne sert plus à une famille avec des enfants plus jeunes ou une famille dans le besoin.

– Apprendre aux enfants comment faire de la corde à danser, du cerceau, de l’élastique, du patin à roues alignées, etc.

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Comment éviter les luttes de pouvoir parent-enfant

Reconnaissez et récompensez les bons coups de vos enfants.

Si vous ne réagissez qu’à leurs mauvais comportements, les enfants apprendront rapidement qu’une attention négative, c’est mieux que pas d’attention du tout. Il est important de conserver une dynamique positive le plus possible.

Établissez des limites claires et faites des demandes précises.

Essayez de formuler les demandes de manière positive, par exemple : « Je voudrais que tu laisses tes jouets en dehors de la salle à manger », plutôt que « Pas de jouets à table ». Répétez ces consignes souvent afin qu’elles soient bien comprises.

Donnez des choix à vos enfants lorsque c’est possible.

Les parents doivent évidemment garder le contrôle, et certaines choses sont non négociables (par exemple, l’heure du coucher ou faire les devoirs). Mais il est important d’établir des zones où votre enfant peut aussi décider : le laisser décider quels vêtements porter, quels livres il peut lire, les tâches qu’il veut accomplir dans la maison, etc.

Choisissez vos batailles.

Même si c’est parfois difficile de garder son calme, il vaut mieux parfois laisser tomber des situations mineures, et simplement se retenir de réagir.

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De plus en plus de parents refusent de faire vacciner leur fille contre le VPH

Le journal médical Pediatrics a publié les résultats d’un sondage mené auprès de parents de jeunes filles, portant sur leurs attitudes face au vaccin contre le VPH.

Ce vaccin est administré en trois doses aux filles à partir de 9 ans, ainsi qu’aux adolescentes. Apparu en 2006, il demeure controversé, parce qu’il protège contre une infection transmissible sexuellement, même auprès d’une population qui n’est pas encore active à ce point de vue.

En 2007, un sondage similaire avait révélé que 40 % des parents refusaient de vacciner leur fille. En 2012, ce nombre avait encore augmenté, avec 44 %. Pendant cette période, le taux de parents inquiets par rapport à la sécurité du vaccin a également grimpé de 5 à 16 %.

Le pédiatre américain Robert Jacobson a expliqué que « cette tendance était contraire à ce que l’on devrait observer », selon Science Daily. « Le VPH cause 100 % du cancer du col de l’utérus, et 50 % des Américains vont contracter ce virus au moins une fois dans leur vie. C’est une infection silencieuse, et il n’est pas possible de savoir si vous avez été exposés ou non. Ce vaccin est anti-cancer. »

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Comment préparer son enfant à une chirurgie

Les quatre chirurgies les plus communes chez les enfants sont l’ablation des amygdales, l’extraction de dents, les tubes pour les oreilles et les chirurgies des yeux.

L’infirmière torontoise Liz Geideman a expliqué qu’habituellement, juste avant la chirurgie, il y aura sur place un spécialiste pour expliquer la procédure à votre enfant (souvent avec l’aide d’une peluche) et aider à réduire son anxiété.

Dans certains cas, les hôpitaux demandent aux parents de remplir un questionnaire sur l’enfant. Ceci permettra au personnel soignant de rassurer l’enfant en lui offrant un contact personnalisé (en lui parlant par exemple de son chien ou de son personnage télévisé préféré).

Geideman recommande d’être honnête avec votre enfant. La manière de présenter la chirurgie peut être différente selon l’âge de l’enfant, mais n’essayez pas de minimiser son inquiétude ou ce qui va se passer.

Après la chirurgie, le médecin viendra normalement parler aux parents pour les rassurer et les informer des soins à venir pour permettre à l’enfant de bien récupérer. Les parents doivent bien respecter les instructions du personnel soignant afin d’éviter les complications.

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Le premier salon virtuel Mon Bébé ouvrira bientôt ses portes

Parfait pour les familles occupées et pressées, le salon gratuit sera accessible 24 heures sur 24 pendant 16 jours, sur le site www.salonvirtuelmonbebe.com.

Le salon virtuel regroupera plusieurs produits et services reliés aux bébés et à la petite enfance. Il y aura 4 halls d’exposition : un consacré aux produits québécois, un pour les boutiques spécialisées, un consacré à l’information, la santé et les services, et un pour les produits, comme les poussettes et les vêtements.

Il y aura de plus une salle de conférence où les parents pourront entendre en temps réel des exposés sur l’allaitement, les couches lavables, l’éducation, entre autres sujets d’intérêt pour les parents de jeunes enfants.

Il sera possible aux parents de dialoguer en direct avec les exposants, par messagerie ou par vidéo, de télécharger des brochures, de faire des achats en ligne, de participer à des concours ou de profiter de différentes promotions.

L’initiative « moderne et écologique » se veut hautement conviviale, humaine et accessible. Un rendez-vous pour les parents, parrainé par l’animatrice Saskia Huot.

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Ce que vous ne devez jamais faire avec un tout-petit

Laisser un jeune enfant en présence d’un ordinateur portable ouvert. Sans commentaires!

Manger. Oh, bien sûr que les repas en famille sont importants, mais pensez-vous que votre enfant voudra manger ce qui est dans son assiette? Ce qui est dans la vôtre, par contre, lui paraître irrésistible.

Faire des plans. C’est vraiment le temps d’accepter les imprévus, qui deviendront en fait la routine.

Dormir. N’ayez jamais l’audace de fermer l’œil en présence de votre enfant! Aussitôt qu’il vous verra dormir, il s’empressera d’essayer de vous arracher les paupières jusqu’à ce que vous vous réveilliez.

Les laisser sans couche. À ne jamais faire, et ce, même s’ils viennent juste d’être changés.

Les laisser sans surveillance avec leur(s) frère(s) et sœur(s) quelques minutes. Pensiez-vous que cela apprendrait à vos enfants comment se conduire ensemble? Ha!

Porter des vêtements propres. Deux secondes. C’est le temps requis par un tout-petit avant de se moucher sur votre manche, de s’essuyer les mains pleines de lait sur votre jupe, ou encore de retrouver miraculeusement ce marqueur indélébile perdu depuis des mois.

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Comment organiser les vêtements d’enfant

Être réaliste

Est-ce que vos enfants portent vraiment tous leurs vêtements? Probablement pas. Même s’ils ont d’énormes garde-robes, ils remettent probablement toujours un peu les mêmes vêtements. Également, ils ont certainement des articles qui ne feront pas pour la bonne saison – dans ce cas, il vaut mieux les donner (à des proches ou des amis qui ont des enfants plus jeunes, ou à un organisme).

Faire des boîtes

Séparer tous les vêtements par enfant, par taille et par saison, puis mettez ces vêtements dans des bacs transparents avec une étiquette. Il sera beaucoup plus facile de s’y retrouver lors du changement de saison ou d’une poussée de croissance.

Créer des ensembles

En utilisant des cintres doubles, il est facile d’accrocher les hauts et les bas qui vont ensemble, ce qui sauve du temps et de l’espace.

Faire comme les magasins

Organiser les vêtements dans la penderie ou dans une commode par taille, par type de vêtement, par couleur, etc. Les habiller deviendra ainsi un jeu d’enfant!