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L’épargne et vos enfants

D’abord, de l’âge de six ans jusqu’à l’âge de 12 ans, commencez par offrir à vos enfants une jolie tirelire. Déposes-y quelques pièces et, le moment venu, ouvrez-leur un compte en banque.

De plus, vous pouvez leur donner certaines tâches à effectuer en échange de quelques sous afin qu’ils comprennent le lien entre le travail et l’épargne.

Expliquez-leur de quelle façon l’épargne croît avec les intérêts.

De l’âge de 12 ans jusqu’à 16 ans, faites avec eux un premier budget afin qu’ils conservent les factures et les reçus.

Réservez une partie de leur argent aux dons de bienfaisance pour qu’ils réalisent qu’ils peuvent faire le bien avec leurs économies.

Ensuite, jusqu’à l’âge de 18 ans, demandez-leur de déclarer leurs revenus dès qu’ils auront du travail et recevront un feuillet T4.

Faites pour eux une demande de carte de crédit et apprenez-leur à être prudents lorsqu’ils s’en serviront.

Le Groupe Investors souligne qu’il est primordial de familiariser les enfants avec la planification financière.

Rappelons que vous pourriez également promettre une récompense s’ils épargnent comme il faut, leur disant qu’avec l’accumulation d’un certain montant d’argent, ils pourraient s’acheter quelque chose qui leur plait vraiment.

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Trois trucs pour les parents d’autistes

En fait, afin d’interagir avec votre enfant, vous pouvez adapter votre approche. Lorsque l’enfant ne semble pas vouloir interagir, n’essayez pas plus fort d’attirer son attention. Tentez plutôt de vous mettre graduellement dans l’angle de vue de votre enfant afin qu’il s’habitue à votre présence, et attendez un signe qui vous dira qu’il est prêt à interagir.

Puis, adaptez-vous à son activité. Par exemple, s’il s’est mis en tête d’aligner ses petites voitures, montrez de l’intérêt pour ce qu’il fait et participez gentiment de votre côté, jusqu’à ce qu’il démontre de l’intérêt pour votre alignement de voitures.

Souvenez-vous également de prendre des pauses, et ce, même lorsque l’intervention se passe bien. Lorsqu’il se détournera parce qu’il veut prendre une pause, laissez-lui un peu de temps seul tout en surveillant un signe indiquant qu’il est prêt à interagir de nouveau.

Rappelons que les enfants souffrant de troubles du spectre autistique seraient plus anxieux que les autres et souffriraient de problèmes gastro-intestinaux chroniques.

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Aidez vos enfants avec le stress et l’intimidation

D’abord, soyez attentif à votre enfant. S’il se met à ne plus vouloir aller à l’école, à exprimer des craintes et des inquiétudes, il se peut qu’il y soit victime d’intimidation.

Puis, questionnez votre enfant à propos de son statut social. Cela permettra d’établir une bonne communication entre votre enfant et vous.

Aussi, soyez un modèle positif pour lui. Utilisez un langage approprié, apprenez-lui à dire non et dites-lui ce à quoi s’attendront les jeunes qui l’intimideront.

Ensuite, construisez la confiance en soi de votre enfant. L’intimidation affectera son estime de lui. Plus il aura une bonne opinion de lui-même, moins cette période sera difficile.

S’il a des grands frères ou des grandes soeurs, il se peut que l’enfant soit soumis à leurs moqueries et sera ainsi plus vulnérable à celles de ses camarades lorsque vous ne serez pas là. Prévenez donc l’intimidation à la maison.

Apprenez-lui également à gérer émotionnellement le stress et l’intimidation et restez en contact avec la direction et le personnel de l’école qu’il fréquente, au cas où.

Rappelons que les enfants ayant des troubles du comportement se font davantage intimider, mais reproduisent ces menaces à leur tour, selon une récente étude.

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Cibler les symptômes de la méningite

La Meningitis Research Foundation, le Meningitis Trust et Meningitis UK se sont alliés pour faire une vidéo afin de combattre l’ignorance des parents au sujet de la méningite.

Le vaccin contre la méningite est la façon la plus efficace de protéger son enfant contre la maladie. Toutefois, ce vaccin ne peut protéger contre toutes les formes de la maladie.

« La méningite peut tuer en quelques heures, alors les parents doivent être au courant que la maladie est une réelle menace pour leurs enfants », explique la pédiatre consultante au Mary’s Hospital de Londres, Nelly Ninis.

La méningite est l’inflammation de la membrane qui entoure le cerveau et la moelle épinière. La maladie frappe surtout les petits de moins de cinq ans.

Les enfants atteints seront irritables, refuseront de manger, auront mal aux articulations et supporteront moins la lumière.

Le dixième des enfants atteints succombe à la méningite, et les survivants en gardent souvent des séquelles.

Rappelons que la méningite à pneumocoque toucherait de plus en plus de jeunes enfants.

On a par exemple constaté, en France, que si 85 % des enfants de moins de 2 ans avaient reçu un vaccin en 2008, les cas de méningites à pneumocoque n’ont pourtant pas diminué. Ils seraient en constante progression, au contraire, indique Le Figaro.

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L’anxiété influencée par le tempérament

En fait, les chercheurs étudient le lien entre le style de pensée des enfants et la tendance qu’ils ont à interpréter une menace dans une situation.

« Un enfant qui interprète souvent les choses de la mauvaise façon peut penser qu’un ami qui ne lui dit pas bonjour à l’école signifie que leur amitié est chose du passé plutôt que l’ami était distrait et ne l’a pas vu. On se penche sur la façon dont les enfants interprètent le monde autour d’eux, et quels facteurs chez l’enfant et les parents peuvent influencer ces interprétations », explique le psychologue clinique Andres G. Viana.

Ce style d’interprétation négative pourrait mener à des troubles d’anxiété comme un trouble de l’anxiété de la séparation, l’anxiété généralisée, la phobie sociale, un trouble de panique ou un trouble de stress post-traumatique.

L’étude permettrait de mieux comprendre la personnalité de l’enfant afin de mieux prévenir différents types de troubles anxieux.

Selon le Journal of the American Medical Association, plus de 32 % des enfants expérimenteront un de ces troubles avant l’âge adulte.

Rappelons qu’après de graves traumatismes, certains troubles d’anxiété ne se résorberont jamais.

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Bébé développe l’humour de ses parents

Les chercheurs, dirigés par la Dre Gina Mireault du Johnson State College et le Dr John Sparrow de l’University of New Hampshire, ont étudié 30 enfants âgés de 6 mois à 1 an.

Les résultats affichent le constat suivant : à l’âge de 6 mois, l’enfant se réfère à l’expression du parent pour valider l’absurdité de la situation et rit si le parent rit aussi. Cependant, dès 1 an, l’enfant est en mesure de rire devant une situation qu’il juge absurde, que le parent soit réceptif ou sans expression.

La combinaison de la situation et du déclenchement du rire du parent produit une association dans le centre émotionnel de l’enfant. Il s’agit du référencement social.

Déjà à l’âge d’un an, l’enfant possède un sens de l’humour très sophistiqué, selon la Dre Mireault. « À partir de 12 mois, les enfants semblent avoir suffisamment d’expérience de vie pour évaluer des situations, du moins à propos de celles qui sont absurdement drôles. »

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Comment gérer le pleurnichage de vos enfants

Pleurnicher n’est pas une stratégie consciente des enfants. Avec le temps, ils remarquent qu’ils ont toute l’attention de leurs parents s’ils se mettent en colère et crient.

Toutefois, afin d’éviter qu’un petit s’emporte lorsque vous ne lui répondez pas tout de suite — lorsque vous êtes au téléphone, par exemple —, faites-lui signe que vous l’avez vu, que vous êtes occupé et que vous serez à lui dans une minute.

Parfois, l’enfant s’impatiente tout de même. Vous devriez donc vous dire qu’il n’essaie pas volontairement de vous irriter, mais qu’il cherche de l’aide.

« Répondez avec des “affirmations au je” et modélisez la façon dont vous voulez que votre enfant vous parle. Dites quelque chose comme “Je n’aime pas ça quand tu pleurniches. Si tu veux un verre de lait, dis-le comme ça”. Ensuite, modélisez les mots et le ton exacts que vous souhaitez que votre enfant emploie », explique l’éducatrice et psychologue du développement, Becky Bailey.

Si l’enfant continue à geindre, essayez d’analyser ce qui peut causer ce comportement et de saisir le message qu’il traduit.

Rappelons que les enfants n’ont pas tendance à sympathiser avec les enfants pleurnicheurs. En fait, dès l’âge de trois ans, les enfants pourraient faire la différence entre ceux qui se plaignent pour rien et ceux qui ont une raison valable de le faire.

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Les mauvaises habitudes qui affectent vos enfants

D’abord, si vous êtes dans un état de crise constant et que vous paniquez pour un rien, votre enfant pourrait bien ne pas trop savoir comment réagir devant plusieurs situations de la vie courante. Ce sera difficile d’évaluer ce qui est bien ou mal si vous haussez toujours le ton. Réfléchissez comme il faut avant de réagir à une situation.

Puis, si vous gardez vos émotions pour vous en prétendant que tout va bien tout le temps, votre enfant n’apprendra pas qu’il est correct d’être triste, en colère ou frustré. Vous devriez donc exprimer vos émotions doucement à vos enfants et leur expliquer la raison de votre humeur.

Ensuite, si vous exposez toujours les tâches à faire de vos enfants sous forme de questions, ils sentiront qu’ils ont la possibilité de ne pas les faire. Vous devez être clair et exiger qu’ils fassent ce que vous leur dites.

Finalement, si vous critiquez plutôt que d’encourager, votre enfant pourrait se mettre à vous ignorer ou être sur la défensive. De plus, l’enfant pourrait cesser de faire des efforts et perdre confiance en lui si vous ne soulignez que ces faux pas. Félicitez-le pour ses bons coups et tentez de ne pas trop mettre l’accent sur ses erreurs.

Rappelons que des études ont démontré que le stress des parents influence le stress des enfants.

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Les parents davantage exigeants avec le gardien

Les parents désirent de plus en plus que leurs enfants soient divertis et stimulés par leur gardien.

En fait, plusieurs d’entre eux seraient prêts à payer plus cher pour un meilleur service, selon la présidente de Canadiannanny.ca, Martha Scully.

« Quand j’étais gardienne, les parents s’en allaient et il n’y avait presque pas d’instructions », explique-t-elle. Elle spécifie cependant qu’aujourd’hui, ils « veulent laisser leurs enfants avec quelqu’un de plus mature, qui a plus d’expérience. Et ils sont prêts à payer plus pour leur tranquillité d’esprit ».

Selon elle, les gardiens dans les grandes villes peuvent même être payés jusqu’à 18 $ de l’heure.

Les gardiens d’enfants compétents, selon les critères des parents exigeants, sont assez rares, ce qui explique leurs honoraires assez élevés.

D’autre part, certains parents souhaitent que le gardien de leur enfant puisse aussi agir en tant que tuteur. En plus d’aider aux devoirs, ces gardiens devraient pouvoir cuisiner avec les enfants, faire des bricolages ou les emmener jouer dehors, selon une éducatrice à la petite enfance, Nancy Howson.

Rappelons que malgré les garderies et les gardiennes officielles, la solution pour bien des couples est encore de faire garder leurs enfants par les grands-parents. Si vous choisissez cette option, vous pouvez établir des limites qu’ils devront respecter, définir votre code d’éducation avec eux, etc.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Comment faciliter l’entrée à la maternelle

 

Premièrement, il peut être rassurant pour les parents ainsi que pour les enfants de visiter l’école avant sa première journée. Cela aidera l’enfant à se familiariser avec ce nouveau milieu.

Il est normal d’être inquiet pour votre enfant, mais transformez ce stress en excitation pour le motiver.

Puis, renseignez-vous sur la maternelle avant de l’y envoyer et commencez à habituer l’enfant à regarder des livres, apprenez-lui l’alphabet et le nom des couleurs, par exemple.

De plus, il peut être amusant pour l’enfant de rencontrer ses futurs camarades de classe avant la rentrée scolaire. Organisez donc une petite fête avec eux.

Afin de bien commencer cette nouvelle étape, privilégiez la santé et le bonheur en choisissant un régime équilibré.

Aussi, discutez des forces de votre enfant avec son enseignant pour l’aider à mieux s’épanouir durant l’année. Vous pouvez également montrer que vous avez l’éducation de votre enfant à coeur en vous portant volontaire lors des activités de classe.

Finalement, soulignez ce grand pas à franchir en organisant quelque chose de spécial après la première journée d’école.

Rappelons que l’école maternelle est très importante, en particulier pour les enfants qui viennent de minorités, de familles pauvres ou de foyers où les parents ne fournissent pas beaucoup de stimulation mentale.

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