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Quoi ne pas dire à votre enfant

D’abord, vous ne devriez pas leur dire de vous laisser tranquille, car ils croiront qu’il est inutile de vous parler et se refermeront sur eux-mêmes en vieillissant.

Ensuite, lorsque vous les réprimandez, ne les jugez pas. Au lieu de dire qu’ils ont été méchants, proposez-leur des façons de se réconcilier.

Ne demandez pas à votre enfant de cesser de pleurer. Essayez plutôt de les rassurer et de les comprendre.

De plus, ne comparez pas vos enfants entre eux. Félicitez-les lorsqu’ils s’améliorent à quelque chose et ne les comparez pas à leur grand frère lorsqu’ils apprennent moins vite.

Aussi, évitez de dire à vos enfants qu’ils sont capables de faire mieux. L’apprentissage est fait d’essais et d’erreurs et requiert du temps.

Menacer vos enfants ne vous mènera à rien. Tôt ou tard, vous aurez à passer à l’action et vous regretterez peut-être votre menace.

Puis, dire à votre enfant que son père le disputera à son retour n’est pas recommandé. Gérer la situation tout de suite sera plus efficace.

Demander aux enfants de se dépêcher pourrait les faire se sentir coupable et ne les motivera pas à aller plus vite.

Finalement, l’utilisation trop fréquente de « Bon travail » pourrait être banalisée et se transformer en indifférence aux yeux de l’enfant.

Rappelons que la fessée est déconseillée. Les enfants qui reçoivent des câlins après s’être fait réprimander seraient moins susceptibles de développer un mauvais comportement.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les vaccins que bébé devrait avoir

D’abord, le premier vaccin que bébé devrait avoir est celui le protégeant contre l’hépatite B, dont la première dose lui est donnée avant que maman quitte l’hôpital après l’accouchement. Peu d’effets secondaires seront observés. Le bébé pourrait être irritable et avoir brièvement mal au bras.

Le second vaccin est celui contre le rotavirus, la cause la plus commune de la diarrhée et des vomissements. On le lui administre entre l’âge de deux et quatre mois, mais il pourrait avoir besoin d’une dose supplémentaire.

Ensuite, le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche est recommandé. L’enfant peut avoir des rougeurs, de la fièvre et perdre l’appétit durant les deux jours suivants le vaccin.

Puis, on recommande des injections telles que le vaccin Hib (contre l’Haemophilus Influenzae de Type B), le vaccin antipneumocoque conjugué, le vaccin antipoliomyélitique inactivé, le vaccin antigrippal inactivé, le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, le vaccin contre l’hépatite A et celui contre la varicelle.

Rappelons toutefois qu’à l’heure actuelle, le vaccin contre la varicelle et le zona demeure déconseillé pour les bébés de moins de 12 mois. La seule protection possible des enfants de cet âge reste donc d’éviter l’exposition au virus.

Dès que l’enfant atteint cet âge, il est recommandé de le faire vacciner. On a remarqué une baisse de la prévalence de la varicelle de 90 %, chez les enfants qui en ont bénéficié.

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Votre enfant est-il prêt à aller à l’école?

Voici les quelques pistes que le site suggère pour préparer votre enfant avant la rentrée.

Si votre enfant entre à la maternelle cette année, il serait bien de vous assurer que votre bambin est propre. À l’école, les couches seront moins pratiques.

Aussi, vous pourriez penser à l’envoyer peu à peu passer quelques heures ou quelques jours chez sa grand-mère ou l’une de ses tantes, afin qu’il s’habitue à ne pas être en votre compagnie tous les jours, si ce n’est déjà fait.

Ensuite, si votre enfant n’a pas été à la garderie, il pourrait ne pas être habitué aux règles à suivre et aux instructions. Commencez à lui demander de déposer son assiette dans le lave-vaisselle ou à enlever ses souliers dans l’entrée de la maison, par exemple.

Puis, assurez-vous que votre enfant s’entende bien avec les autres et interagisse avec eux. Apprenez-lui, entre autres, à partager.

Finalement, habituez votre enfant à changer d’activité fréquemment, puisque cela lui arrivera souvent à l’école. Il est important qu’il soit à l’aise avec ce changement parfois rapide.

Rappelons que si votre enfant n’en est pas à sa première année d’école, il doit quand même être encadré sur quelques points. Ainsi, on devrait s’assurer que notre enfant fait de l’activité physique, qu’il profite de bonnes nuits de sommeil et qu’il prend un déjeuner satisfaisant.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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La fessée: une façon commune de punir son enfant

 

En fait, plus en plus de parents ont recours à ce geste lorsque vient le temps de réprimander leur tout-petit, selon l’étude publiée dans la revue Behavior and Social Issues.

Ces contacts négatifs peuvent se traduire par la fessée, mais aussi par un vocabulaire inapproprié.

Les scientifiques se sont basés sur les effets immédiats du toucher dans l’apprentissage de la discipline et ont déterminé que plus il y avait de contacts négatifs, plus l’enfant risquait de développer de l’agressivité.

Toutefois, les enfants qui reçoivent des câlins et des chatouilles après s’être fait réprimander seraient moins susceptibles de développer un mauvais comportement.

Aussi, ce ne sont pas les pères qui se sont montrés les plus sévères envers leurs enfants, mais bien les mères. D’ailleurs, si l’on compare la réaction en regard du sexe de l’enfant, les pères ont réagi de manière égale face au comportement de leurs fils et de leurs filles. Les mères, quant à elles, ont été plus strictes avec leurs fils qu’avec leurs filles.

Rappelons que la fessée peut entraîner des troubles de l’humeur, de l’anxiété, des abus d’alcool et de drogues, mais également des troubles de la personnalité dans la vie adulte de l’enfant, selon une récente étude publiée dans la revue Pediatrics.

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Reprenez le contrôle de vos matins

 

D’abord, on suggère de tout préparer le dimanche — y compris les lunchs, que vous pourrez congeler — afin d’éviter la panique le lendemain matin. Vous pouvez aussi assigner un coin de la cuisine à chaque enfant pour simplifier vos tâches.

De plus, vous pouvez également préparer un tableau avec un calendrier indiquant les dates importantes à vos enfants. Ils pourront donc vous aider à organiser la semaine.

Autre truc, donnez seulement deux choix à vos enfants. Que ce soit pour les vêtements qu’ils porteront ou le déjeuner qu’ils mangeront, ne vous compliquez pas la vie.

Le site propose aussi de dresser une liste des choses à faire, et ce, pour chaque enfant. La règle à suivre : toujours être organisée. Un calendrier peut donc vous être très utile.

Finalement, donnez-vous plus de temps que prévu en vous levant un peu plus tôt, afin de pallier les imprévus et vous préparer tranquillement avant d’aller travailler.

Rappelons qu’il ne faut pas négliger votre déjeuner. Le plus souvent, les mères qui déjeunent ont aussi de bonnes habitudes alimentaires et elles influencent positivement leurs enfants.

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Les parents ne devraient pas se disputer devant leurs enfants

Selon les résultats publiés dans la revue Psychological Science, les disputes devraient être évitées en présence de l’enfant, et ce, même s’il dort puisque dès l’âge de six ans, les enfants sont sensibles à la façon dont leurs parents communiquent.

En fait, le cerveau des enfants témoins des disputes de leurs parents traduit, durant le sommeil, des émotions conflictuelles ayant un impact sur leur développement.

Cela vient entre autres de l’activité du cerveau durant la nuit, qui ressasse les disputes et impose à l’enfant une vague d’émotions, transformant ainsi le bien-être en stress et en colère.

Toutefois, les chercheurs soulignent que même si les disputes ne sont pas violentes ni si importantes, elles entraînent des conséquences sur les émotions des tout-petits comme une hypersensibilité aux émotions négatives.

Rappelons également que le divorce des parents peut entraîner des effets néfastes chez les enfants. Par exemple, une vie de famille houleuse peut déclencher la puberté plus tôt chez les petites filles.

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Activité physique: les parents devraient montrer l’exemple

En fait, leur étude a démontré que lorsque les parents faisaient plus d’activité physique, les enfants en faisaient plus également.

Publiée dans le Journal of Physical Activity and Health, la recherche a permis de voir que les jours où les mères faisaient 2000 pas de plus qu’à l’habitude, leurs enfants en faisaient 2117 de plus.

Lorsque le père faisait 2000 pas de plus, les résultats étaient similaires.

Cet effet a tendance à être plus important le weekend. Le fait que toute la famille passe plus de temps ensemble y serait pour quelque chose, puisque tous trouveraient le temps de faire de l’exercice ensemble.

Toutefois, il n’y a pas que les parents pour influencer leurs enfants à faire de l’activité physique.

Rappelons que selon Eric Tesdahl, un étudiant diplômé du département en développement humain et organisationnel de l’Université Vanderbilt, les enfants semblent vouloir bouger davantage s’ils sont entourés ou ont des amis actifs, et l’inverse est vrai aussi.

Pour donner l’occasion aux enfants moins actifs de s’activer, l’auteur de l’étude propose une solution simple. Lors de la pratique de sports, les enfants moins actifs devraient être regroupés avec des enfants plus actifs, pour influencer leur comportement sédentaire et leur permettre de changer leur vision des choses et leurs habitudes de vie.

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Les parents d’enfants trisomiques sont positifs

En fait, 97% des parents des enfants touchés par la trisomie 13 ou 18 estiment que leur bébé est heureux, selon la recherche publiée dans la revue Pediatrics.

De plus, ces parents croient que leur enfant, durant sa vie, a enrichi la vie de la famille ainsi que leur vie de couple.

Cela vient trancher avec l’opinion des médecins, qui croyaient que l’annonce de la maladie poussait beaucoup plus de mères à interrompre leur grossesse. À vrai dire, plusieurs médecins pensaient même qu’un bébé atteint de trisomie crée « une période de grande souffrance » au sein de la famille et causerait « des dégâts au sein de la vie familiale ou de couple ».

Les trisomies 13 et 18 sont liées à une courte longévité — les enfants qui en sont atteints ne vivent souvent que quelques jours ou quelques semaines — et à de nombreuses et graves malformations. Elles touchent respectivement un enfant sur 8000 et un enfant sur 10 000.

Rappelons qu’il y a de moins en moins d’enfants trisomiques. En 2010, on annonçait que le nombre de bébés trisomiques avait été divisé par trois depuis 1990.

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Plus d’enfants apprennent à lire et à écrire avant l’école

C’est ce que démontre une étude publiée dans le magazine Alphablocks qui fait aussi état de l’importance de la phonétique dans l’apprentissage préscolaire.

En fait, 88 % des parents estiment qu’il est important d’aider les enfants à apprendre à lire et à écrire avant qu’ils aillent à l’école. De plus, 87 % des parents se disaient confortables avec l’idée d’enseigner à la maison.

Toutefois, seulement 43 % de ces parents avaient reçu ce type d’enseignement à la maison en bas âge.

L’étude d’Alphablocks a également permis de découvrir que les parents qui se sentaient moins à l’aise d’apprendre à lire et à écrire à leurs enfants l’étaient à cause de leur propre manque de connaissances.

« Apprendre à lire et à écrire devrait être amusant et être une chance pour le parent et l’enfant de créer des liens, partager un sens du devoir accompli et créer d’heureux souvenirs de l’apprentissage de la lecture », explique l’éditrice d’Alphablocks, Stephanie Cooper.

Rappelons que les livres sont importants, et ce, dès le plus jeune âge de l’enfant. Plus de 64 % des parents ne lisent pas d’histoires à leurs bébés de moins de sept mois, et 57 % d’entre eux ne possèdent même pas de livres.

Cela a de quoi inquiéter les experts, qui croient que le développement du langage des enfants en serait affecté.

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Les femmes sans enfants de plus en plus rares

En fait, alors que 25 % des femmes nées en 1915 n’ont pas eu d’enfants, ce chiffre n’était que de 15 % chez les femmes nées peu avant 1940. Puis, le nombre de femmes sans enfants a augmenté entre 1955 et 1965, pour atteindre un taux de 24 %.

Toutefois, 20 % des femmes nées à la fin des années soixante n’ont pas eu d’enfants. Ce chiffre, toujours selon l’ISQ, devrait même diminuer et atteindre 17 % pour les femmes nées au début des années 70.

Rappelons que selon les chercheurs de l’Institut Max Planck pour la recherche démographique à Rostock, en Allemagne, les parents seraient relativement plus heureux que les non-parents, car au fil des ans, le bonheur des non-parents diminue tout simplement.

L’âge des parents influencerait également le niveau de joie et de bien-être. Les jeunes parents auraient un niveau de bonheur moins élevé que ceux qui ont un âge plus avancé.