Catégories
Uncategorized

La violence envers les enfants en hausse en Angleterre

En tout, 10 199 procédures judiciaires ont été enclenchées afin de retirer des enfants de familles où ils ne sont pas en sécurité dans les douze derniers mois en Angleterre.

Cafcass, l’agence qui représente les intérêts des enfants en cour, dit que les cas menés dans les agences sont traités plus rapidement pour sortir les enfants de milieux familiaux qui leur sont dommageables.

Selon le North Suburban Child Care Professionals (NSCCP), la majorité des enfants placés dans des familles d’accueil le sont en raison de sévices ou de négligence parentale.

« C’est la première fois que le nombre de plaintes dépasse les 10 000 sur une période de douze mois », dit le directeur général du Cafcass, Anthony Douglas.

Cependant, ce chiffre n’est pas qu’alarmant. « Cette hausse peut simplement indiquer que les gens sont plus alertes aux situations où les enfants sont à risque, ce qui peut seulement être un développement positif », ajoute l’homme à la tête de la stratégie de développement de la prise en charge des enfants du NSCCP, Tom Rahilly.

Catégories
Uncategorized

Drogues chez les enfants adoptés: les parents biologiques jouent un rôle

Les enfants adoptés, dont les parents biologiques avaient un problème de drogue, sont plus susceptibles d’abuser de drogues eux-mêmes, selon une recherche publiée récemment en ligne par les Archives of General Psychiatry.  

Les auteurs indiquent qu’ils ont mis beaucoup de temps à démontrer que les facteurs familiaux ont un lien avec l’abus de drogues, parmi les millions de personnes qui sont accros à cette substance à travers le monde.
 
Les chercheurs ont étudié 18 115 enfants qui sont nés en Suède entre 1950 et 1993. Ils ont également étudié leurs parents biologiques et adoptifs.
 
Ils ont notamment expliqué que la probabilité d’une dépendance à la drogue chez les enfants qui ont été adoptés et dont un parent biologique avait un problème de drogue était de 8,6 %. Ces enfants adoptés ont finalement obtenu un taux de 4,5 %, comparé à 2,9 % pour ceux qui sont nés à la même période.
 
Une étude de 2008 a indiqué qu’environ 120 000 enfants sont adoptés chaque année aux États-Unis.
Catégories
Uncategorized

Autisme : la formation des parents est indispensable

Ce n’est guère facile de savoir comment réagir face aux problèmes de comportement des enfants autistes. La formation des parents est alors essentielle pour leur épanouissement, souligne une récente étude américaine publiée dans l’édition de février du Journal of the American Academy of Child & Adolescent Psychiatry.

Les résultats de cette étude montrent en effet que les enfants sont plus réceptifs à une combinaison médicament/formation des parents qu’au traitement seul.

La formation des parents consiste à leur apprendre comment réagir aux problèmes de comportement de leurs enfants. Ainsi, mieux armés, ils sont en mesure de s’adapter plus facilement aux différentes situations.

124 enfants âgés de 4 à 13 ans avec un diagnostic de troubles du spectre autistique ont participé à cette étude.

Un autre rapport avait aussi démontré les bienfaits de ces formations pour réduire les troubles du comportement chez les enfants. Les chercheurs prévoient d’ailleurs publier des manuels de formation pour aider les parents.

Catégories
Uncategorized

L’âge des parents influence le développement de l’autisme

Selon des chercheurs danois de Cambridge et leur étude publiée dans la revue Annals of Epidemiology, le risque d’autisme est jusqu’à 27 % plus élevé chez ces derniers que pour ceux qui ont des parents plus jeunes.

Les parents plus âgés sont maintenant considérés comme à « risque accru » de développement de l’autisme chez les enfants.

Initialement, l’âge de la mère semblait importer davantage, mais les chercheurs ont constaté que le risque posé par l’âge de la mère et celui du père sont maintenant pratiquement les mêmes.

Cependant, si les deux parents sont plus vieux que 35 ans au moment de la conception, le risque de donner naissance à un enfant autiste n’est pas plus élevé que si un seul d’entre eux est avancé dans la trentaine.

Toutefois, il y a un autre constat. Si l’un des parents a moins de 35 ans et l’autre en a plus de 40, le risque d’autisme chez l’enfant à naître est plus grand quand c’est la mère qui est plus âgée (65 %) plutôt que le père (44 %).

Rappelons que l’autisme, selon des spécialistes, pourrait être lié à des changements naturels qui se produisent à la fois dans les ovules et le sperme lorsque les gens vieillissent.

Caroline Hattersley, de la National Autistic Society, a déclaré : « Bien que cette recherche suggère qu’il existe un lien entre l’âge des parents et l’autisme, d’autres études sont nécessaires. Nous savons peu de choses sur la chaîne biologique des événements qui donnent lieu à l’autisme ».

Catégories
Uncategorized

Obésité chez les enfants : l’implication des parents est essentielle

Selon une étude de l’American Heart Association, les enfants dont les parents font l’éloge de succès, le suivi du poids et l’application de certaines autres méthodes réussissent à perdre plus de poids que ceux dont les parents ne s’impliquent et ne s’inquiètent pas.

Pour les spécialistes, l’implication est un terme très important, et certaines stratégies particulières se sont montrées plus favorables que d’autres.

Se fixer des objectifs spécifiques, développer des compétences d’autogestion, faire le suivi personnel du comportement de chacun, changer et améliorer son environnement et faire du renforcement positif sont tous des éléments qui, lorsqu’ils sont pratiqués par tous les membres de la famille, aident grandement un enfant obèse à vouloir maigrir.

Mise à part l’implication des parents et du reste des membres de la famille, la déclaration a souligné quelques points efficaces, tels que se fixer des objectifs plus étroits et à court terme au lieu du long terme, offrir des choix de nourriture aux enfants (carottes ou brocoli?) et finalement, réduire l’accès aux facteurs qui contribuent à l’obésité, comme moins d’heures devant l’ordinateur ou la télévision.

Catégories
Uncategorized

Le divorce en soi n’affecte pas les enfants

Les résultats d’une étude au Pays Basque démontrent qu’il n’y a aucune raison pour que les enfants de parents divorcés aient plus de problèmes que ceux de parents mariés.

Tout cela dépend de la manière dont les parents s’adaptent de façon positive à leur nouvelle situation et évitent les conflits interparentaux, le manque de coparentalité et le climat familial inadapté.

Un questionnaire à remplir par les parents sans la présence des enfants a permis de cerner les principaux comportements problématiques que peuvent vivre les enfants à la suite d’un divorce, soit des syndromes comme l’introversion, la dépression, des problèmes d’attention ou de comportement délinquant.

Il semblerait que la moyenne des enfants de parents divorcés est bien ajustée émotionnellement. A priori, lors de l’annonce d’un divorce, les enfants ont de fortes réactions, mais tout se rétablit par la suite grâce au bon comportement des parents entre eux et le développement d’une saine relation.

Cette thèse pourrait contribuer à créer davantage de programmes de prévention pour promouvoir une meilleure résilience entre les adultes et avec leur progéniture.

Catégories
Uncategorized

Votre alcoolisme affecte le comportement de vos enfants

Le Daily Mail publie une étude qui démontre que les adolescents ayant des parents alcooliques sont plus susceptibles de développer une personnalité impulsive et certaines dépendances.
 
Leur impulsivité est un trait que l’on retrouve avec une trop grande consommation d’alcool notamment. Ainsi, l’alcoolisme des parents touche la personnalité même de leurs enfants.
 
On a observé l’activité cérébrale de deux groupes d’adolescents devant différents risques de gagner ou perdre de l’argent. Ceux avec des antécédents familiaux ont été beaucoup plus impulsifs, démontrant même une certaine dépendance possible au jeu.
 
On espère que cette découverte permettra l’élaboration de nouvelles stratégies de prévention et un traitement plus efficace pour les personnes qui présentent un risque plus élevé de troubles de comportement.
 
Nous savions déjà que les facteurs environnementaux augmentaient les risques d’alcoolisme, mais la personnalité et le comportement peuvent aussi mener à ce problème.
 
Catégories
Uncategorized

Certains facteurs à la naissance peuvent influencer le développement du syndrome métabolique

Une personne est atteinte du syndrome métabolique lorsqu’elle possède une combinaison de 3 risques particuliers ou plus pour la santé.

Chacun de ces facteurs peut augmenter le risque de contracter le diabète, une maladie cardiaque ou un accident vasculaire cérébral. Toutefois, le risque est grandement augmenté lorsque ces variables sont combinées.

Une étude grecque estime que la prévalence au syndrome métabolique durant l’enfance et l’adolescence a augmenté ces dernières années, passant d’environ 2 % dans le milieu des années 1990 à environ 10 % aujourd’hui, notamment aux États-Unis et en Europe occidentale.

Précis à 98 % dans l’identification du syndrome métabolique pendant l’adolescence, l’évaluation des 3 facteurs à la naissance permet de faire croire aux auteurs de l’étude que cela pourrait servir de test complémentaire, comme un test de dépistage précoce après la naissance.

Cependant, avant d’évaluer tous les bébés naissants, d’autres précisions doivent être apportées à plus grande échelle, et d’autres points doivent être évalués pour connaître l’influence sur le profil métabolique, tels que le niveau d’éducation parentale, le statut socioéconomique et l’exposition à la fumée secondaire à la maison.

Catégories
Uncategorized

Divorce : un couple sur 2 revient devant le tribunal

Depuis 2009, près d’un couple sur deux est retourné devant le juge pour obtenir une décision juridique liée à un litige d’après séparation. Le conflit principal qui oppose les anciens amants : l’éducation de leurs enfants.

Au cours des dernières années, certains avocats ont vu des cas beaucoup plus graves ou encore beaucoup plus loufoques que des problèmes de garde alternée ou de pension alimentaire.

L’avocate Béatrice Uzan a affirmé aux journalistes d’Europe 1 avoir déjà vu l’un de ses clients se battre à la cour pour que son fils puisse s’inscrire au rugby. La mère refusait, sous motif que l’enfant était trop fragile.

Des avocats ont même déjà vu des parents avoir recours à la justice, car ils n’arrivaient pas à s’entendre à savoir si leurs enfants se feraient vacciner ou non.

C’est vraiment dire qu’ils achètent la paix, ces parents…

Catégories
Uncategorized

Obésité infantile : Les médecins ne communiquent pas assez avec les parents

Votre enfant a un tour de taille imposant et pourtant, votre médecin reste muet comme une carpe concernant ses kilos en trop. Vous n’êtes pas les seuls dans ce cas.

Seulement 22 % des parents ont été informés par leur médecin du surpoids de leur bambin, selon une étude américaine menée de 1999 à 2008 par le National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES).

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont suivi 4985 enfants de 2 à 15 ans.

Même si ce pourcentage a évolué durant l’enquête, seulement 58 % des parents d’enfants obèses se rappelaient en avoir été informés par un professionnel de la santé. Ces résultats montrent à quel point la situation est critique.

Pour lutter contre l’obésité infantile, l’information aux parents pourrait bien devenir une priorité. Les médecins ont le devoir de les prévenir pour qu’ils prennent les mesures nécessaires.

Une modification des habitudes alimentaires et une augmentation de l’activité physique sont des solutions pour que les enfants retrouvent un poids santé.