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Plus de divorces chez les parents d’enfants autistes

Les parents qui élèvent un enfant autiste sont plus exposés au divorce que ceux ayant un enfant au développement normal, selon ce que révèle un article du Journal of Family Psychology.
 
Pour la première fois, une étude s’est penchée sur le suivi conjugal chez les familles ayant un enfant autiste. On constate que les divorces surviennent surtout lorsque l’enfant atteint l’âge adulte.
 
Jusqu’à l’âge de 8 ans, les parents d’enfants autistes ne vivent pas plus de divorces que les autres, mais l’écart commence ensuite à transparaître et devient de plus en plus prononcé avec le temps.
 
Un enfant autiste demande plus de soins et ceux-ci se poursuivent à l’âge adulte, contrairement aux autres enfants qui deviennent autonomes et peuvent voler de leurs propres ailes.
Voilà pourquoi les experts mentionnent qu’un soutien au couple et des moments de répit sont nécessaires afin que les parents puissent passer au travers et évoluer ensemble.
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Les nouveaux parents totalisent six mois sans sommeil

Le manque de sommeil est le lot des nouveaux parents. La plupart n’arrivent même pas à dormir quatre heures par nuit, ce qui finit par les rendre extrêmement fatigués, irritables et sujets aux sautes d’humeur, de même que cela peut mener à une dépression.
 
Une étude publiée dans le Daily Mail mentionne que les parents de nouveau-nés finissent par cumuler l’équivalent de six mois de sommeil manqué durant les deux premières années de vie de leur enfant.
 
Comme ils sont constamment irritables, les couples peuvent se disputer plusieurs fois par semaine et certains voient leur union s’effondrer.
 
En moyenne, les experts recommandent un minimum de cinq heures de sommeil par nuit sans interruption, pour les adultes, afin qu’ils puissent se concentrer sur leurs fonctions. Cela varie toutefois d’un individu à l’autre.
Selon un sondage, les deux tiers des nouveaux parents dorment moins de quatre heures par nuit. Ils doivent se lever pour nourrir le bébé ou encore l’apaiser. Il faut tenter d’intégrer le nouveau venu à la routine le plus tôt possible afin de ne pas manquer trop d’heures de sommeil, que de petites siestes ici et là ne pourront pas compenser.
 
De plus, manger sainement et faire un minimum d’exercices libèrera l’endorphine des parents, qui devraient ainsi avoir moins de sautes d’humeur.
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Le favoritisme des parents laisse des marques sur les enfants

La rivalité fraternelle est une chose courante au sein des familles, mais si les parents démontrent du favoritisme envers l’un de leurs enfants, cela pourrait non seulement affecter ceux qui sont plus délaissés, mais aussi l’élu.

 

Une fois adulte, l’enfant peut encore se demander si sa mère a eu un favori au sein de ses enfants, et cela pourrait le mener directement chez le thérapeute, selon le site Internet Canada.com.

Une étude américaine s’est penchée sur le lien entre les mères et leurs enfants adultes pour voir si le favoritisme parental avait un lien avec la dépression. D’après les 275 relations étudiées, il semble qu’en effet, cela peut avoir un impact important sur le bien-être psychologique de l’enfant, même une fois adulte.

Les deux tiers des mères interrogées avaient un enfant préféré et 90 % des adultes croyaient que leur mère démontrait leur préférence notamment pour qu’ils prennent soin d’elle lorsqu’elle serait vieille.

Toutefois, les signes de dépression ne se mesuraient non seulement pour les enfants plus délaissés, mais aussi chez ceux qui étaient les préférés. Ces derniers se sentent souvent coupables et se sentent obligés également de prendre soin de leurs parents lorsqu’ils vieillissent.

Les psychologues sont toutefois clairs, bien que cela soit difficile à accepter : les parents peuvent avoir une préférence. Cela ne veut pas dire qu’ils n’aiment pas tous les enfants, mais ils sont tous distincts, donc les affinités sont différentes.

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Partager le lit avec son bébé n’est pas recommandé

Plusieurs parents choisissent de dormir avec leur bébé. Parce que les mères allaitent, c’est souvent pour une question de commodité, mais d’autres mères, qui ont du mal à se séparer de leur bébé, recherchent constamment un contact avec celui-ci.
 
De nombreux pédiatres recommandent de ne pas dormir avec les bébés. Si les femmes veulent le faire, cela pourrait être acceptable pendant les deux ou trois premières semaines seulement, le temps que maman et bébé se rassurent et qu’ils gagnent de la confiance.
 
Famili mentionne que les bébés ont besoin de s’approprier leur sommeil et la mère doit accepter de se séparer de son enfant.
 
Un bébé qui est câliné, pris dans les bras de ses parents et à qui l’on porte attention durant le jour n’a pas besoin de dormir avec ses parents, car il est déjà rassuré.
 
De plus, il existe de nombreux dangers à faire dormir un bébé dans son lit. Cela augmente les risques de mort subite du nourrisson. Il pourrait avoir trop chaud, se mettre le nez dans un oreiller, s’étouffer sous les couvertures qu’un de ses parents aurait jetées sur lui par mégarde en dormant. De plus, il peut être écrasé par un de ses parents. Le sixième sens qui empêcherait ces derniers de rouler sur leur bébé n’existe pas, rappellent les pédiatres.
 
Pour une petite sieste, il n’y a rien de mal à dormir avec son bébé, mais sinon, optez plutôt pour un berceau au pied du lit si vous voulez être près de lui pour les premiers mois.
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Nouvelles recommandations pour faire bouger les enfants

27 % des parents ne connaissent pas le niveau d’activité physique recommandé quotidiennement pour leurs enfants, selon une étude dévoilée par la Société canadienne de physiologie de l’exercice et l’organisme ParticipACTION qui donne les nouvelles recommandations en ce sens.
 
Jusqu’ici, on mentionnait que les enfants avaient besoin de 90 minutes d’activité physique par jour. Maintenant, on recommande au moins 60 minutes pour les 5 à 17 ans, à un rythme modéré. « Mais, au bout du compte, nous aimerions les voir faire 90 minutes par jour ou même plus d’activité physique », mentionne la présidente et chef de la direction de ParticipACTION, Kelly Murumets.
 
La nouvelle étude dit même que 30 ou 60 minutes sont bénéfiques chaque jour pour les enfants, d’autant plus que les jeunes sont maintenant de plus en plus sédentaires.
 
L’organisme Jeunes en forme du Canada disait récemment que les enfants étaient dangereusement inactifs et que seulement 12 % d’entre eux au pays avaient le niveau d’activité recommandé.
 
Les parents pourraient donc donner l’exemple, car pour les adultes, les nouvelles recommandations sont d’au moins 150 minutes d’activité physique par semaine.
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Mauvaises habitudes chez les moins de 5 ans

Jeunesse en forme Canada a émis son sixième bulletin annuel et les choses ne s’améliorent pas. Les jeunes sont de moins en moins actifs, y compris les enfants de moins de cinq ans.
 
On rappelle qu’un mode de vie sain débute dès l’enfance et que les parents devraient montrer l’exemple. Toute la famille sera gagnante en adoptant de saines habitudes. 
 
« Nous savons depuis longtemps que la petite enfance est une période importante pour la croissance et le développement, mais il y a de plus en plus de preuves démontrant que l’activité physique se doit d’être l’un des fondements des premières expériences de vie. Les études indiquent que les enfants qui sont obèses avant l’âge de six ans ont des risques importants d’être obèses plus tard dans l’enfance et on estime que les enfants âgés de deux à cinq ans ayant un surplus de poids sont quatre fois plus susceptibles d’avoir un surplus de poids à l’âge adulte », mentionne le Dr Mark Tremblay, conseiller scientifique.
 
On constate que moins de 50 % des enfants canadiens de moins de cinq ans s’adonnent à des activités physiques quotidiennes. En principe, ceux entre 1 an et 5 ans devraient être actifs à raison d’au moins deux heures par jour, réparties par périodes, mais en ce moment, ils passent plus de temps sur le fauteuil. En effet, 90 % des enfants de deux ans regardent déjà la télévision.
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Avoir des parents obèses augmente le risque d’obésité pour les enfants

Pour un enfant dont les deux parents sont obèses, les risques d’obésité sont plus grands, selon une étude britannique publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition.
 
Il semblerait que le poids de la mère, plus que celui du père, est fortement lié à celui de son enfant. Toutefois, on ignore les raisons de ce phénomène.
 
C’est ce qui ressort de l’étude effectuée auprès de 7 000 jeunes âgés de 2 à 15 ans vivant au Royaume-Uni. Les enfants de parents obèses ont douze fois plus de risques de le devenir également.
 
L’enquête effectuée entre 2001 et 2006 a classé les participants en quatre groupes : poids normal, surpoids, obèses et très obèses. On a mesuré le poids et la grandeur des enfants et de leurs parents.
 
38 % des familles avaient au moins un parent obèse, tandis que les deux parents l’étaient chez 8 % et que seulement 14 % des familles étaient jugées de poids normal.
 
Chez les familles dont les deux parents étaient obèses, 22 % des enfants l’étaient également. Chez les familles très obèses, ce taux grimpait à 35 % pour les enfants.
 
12 % des enfants ayant un père obèse l’était aussi, comparativement à 4 % de ceux dont le père était de poids normal. Chez les mères obèses, les enfants l’étaient aussi à 14 %, alors que ce taux est de 3 % pour les enfants nés de mères de poids normal.
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Les parents transmettent moins de gènes que prévu à leurs enfants

Voici une nouvelle surprenante rapportée par le Science Express. Selon une étude américaine, les parents transmettraient deux fois moins de mutations génétiques à leurs enfants que ce que les généticiens avaient estimé jusqu’à maintenant.
 
Une équipe de l’Institute for System Biology de Seattle a séquencé le génome d’une famille.
 
On a constaté que chacun des parents transmettait à ses enfants près de 30 mutations génétiques et non 75 comme on le croyait jusqu’à présent. C’est donc deux fois moins de gènes mutants transmis aux enfants par leurs propres parents.
 
Les scientifiques insistent également sur le fait que la grande majorité des mutations génétiques que chacun des parents transmet à ses enfants sont totalement inoffensives pour la santé de leur progéniture, bien entendu il y a quelques exceptions, mais elles sont plutôt rares.
 
La découverte est donc une nouvelle qui en surprend plusieurs puisque les données sont très différentes de ce qui avait été estimé auparavant.
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Les parents devraient mieux communiquer avec les médecins

Une étude rapportée par le site internet Canada.com mentionne que les parents donnent souvent des vitamines à leurs enfants, mais ne le disent pas à leur médecin, malgré les risques d’interaction avec d’autres médicaments.
 
Par exemple, la vitamine C, qui semble inoffensive, peut interagir avec les anticoagulants en prolongeant ou en augmentant leurs effets. Elle peut également augmenter l’absorption du fer et les effets des acétaminophènes. Cette vitamine ne doit jamais être prise en même temps que ces autres médicaments. Chez certaines personnes, elle interfère également avec les traitements de chimiothérapie.
 
C’est vrai qu’il est plutôt rare d’avoir ce genre d’effets avec les vitamines, mais il est toujours préférable de ne pas le cacher à son médecin. Lui seul saura si les médicaments qu’il prescrit sont sécuritaires avec les vitamines.
 
L’étude a été réalisée avec 1 804 enfants et près de 600 recevaient des vitamines de façon quotidienne, hebdomadaire ou occasionnelle.
 
Le tiers des parents ne disent pas au médecin ce qu’ils donnent à leurs enfants. Plus du tiers des enfants qui prenaient des vitamines étaient handicapés, avaient des maladies chroniques, de l’asthme, un cancer ou le diabète, donc ils recevaient d’autres médicaments.
 
De plus, il est toujours préférable de ne jamais prendre les vitamines au même moment que les autres médicaments. Dans les complications les plus sévères, certains organes peuvent être grandement affectés.
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Le quart des parents ont peur de discipliner leurs enfants

Une étude rapportée par le journal britannique Daily Mail mentionne que de nos jours, le quart des parents ont peur de discipliner leurs enfants par crainte de les heurter.
 
Les chercheurs constatent que la discipline répugne les pères et mères qui ont peur d’être considérés comme injustes ou trop strictes.
 
Le tiers admet également qu’ils ne veulent pas réprimander leurs enfants en public, car ils sont effrayés à l’idée que les autres personnes les trouvent trop durs avec leur progéniture.
 
2 000 parents ont été interrogés sur leurs habitudes avec leurs enfants et 55 % disent imposer moins de discipline que leurs propres parents ont fait avec eux. Le tiers ont pourtant peur qu’avec un manque de discipline, leurs enfants s’attirent des ennuis.
 
Les spécialistes rappellent que la discipline fait partie de la croissance des enfants et qu’elle est importante, car elle leur enseigne la différence entre le bien et le mal.
 
83 % des parents interrogés disent avoir grandi en respectant leurs aînés et en ayant peur des réprimandes venant de leurs parents ou de leurs enseignants. Huit sur dix affirment avoir été réprimandés une seule fois, qui a suffi pour qu’ils n’aient pas envie de recommencer.