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Les grands avantages du porte-bébé

Parenting Squad y est allé d’une panoplie de bonnes raisons de se procurer un porte-bébé. En voici quelques-unes :

1- Les enfants qui se font porter ainsi pleurent moins – Une étude publiée par Pediatrics a démontré que les pleurs des nourrissons portés pendant 3 heures par jour diminuaient de 43 %.

2- Le porte-bébé fait ressentir une grande sécurité – Lorsqu’il est porté à l’avant (certains se portent dans le dos), le porte-bébé permet à l’enfant d’être collé sur le cœur de maman et donc de se sentir plus en sécurité et plus calme.

3- Les bienfaits du toucher – Nous sous-estimons grandement ses bienfaits, mais ce contact privilégié est essentiel pour le bébé. Ce type de transport pour enfant représente donc la réponse à ce besoin, que tous les nourrissons ressentent vivement.

4- Vous avez les mains libres – Il faut avouer que cet avantage n’est pas pour bébé, mais bien pour vous. Quoi de plus agréable que de faire ses courses sans garder un œil constant sur votre tout-petit?

5- Pour tous les goûts et tous les besoins – Sachez qu’il y a tellement de types différents de porte-bébé que papa peut avoir le sien sans avoir l’air d’une nounou. Ces merveilles aident également les grands-parents et permettent à maman d’allaiter sans difficulté, en plus de contribuer à de meilleures siestes « sur le pouce ».

N’oubliez pas que l’important, c’est la sécurité. Certains craignent ce mode de transport, mais désormais, les fabricants répondent à des normes strictes. Si vous vous posez de nombreuses questions, n’hésitez pas à demander de l’aide auprès de spécialistes en magasin.

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Des chiens guides pour les enfants autistes

Les chiens Mira aident les aveugles, et souvent, d’autres aident les policiers dans leur travail. Désormais, certains toutous développent des habiletés pour aider les enfants autistes, après un long entraînement spécialisé.

La sécurité d’abord – Les enfants autistes, surtout en public, sont souvent portés à des comportements imprévisibles. Par exemple, un jeune peut choisir de quitter ses parents sans réfléchir. Le chien qui a reçu l’entraînement pour accompagner ces enfants encerclera le petit, ou encore, il jappera pour aviser les parents.

Habiletés sociales – Selon une étude de 2012 sur un groupe d’enfants autistes divisé en 2, ceux qui avaient eu un chien avaient développé considérablement leurs habiletés sociales, contrairement au 2e sous-groupe. La recherche avait été menée par le Centre de ressources pour autistes de l’Hôpital Bohars, en France. L’efficacité de la présence du chien était d’autant plus remarquable s’il avait été introduit auprès de l’enfant âgé de 5 à 6 ans.

Comme l’indique She Knows, nul ne connaît la raison pour laquelle ces chiens aident à développer l’empathie et le positivisme associé à la communication. Cependant, l’enfant autiste arrive plus facilement à communiquer avec un chien qu’un humain, et développe même le sens du partage.

Il s’agit donc d’une solution efficace, qui augmente la liberté de l’enfant et, par le fait même, celle des parents.

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Aidez vos enfants à passer au travers de l’anxiété lors d’un divorce

Le terme médical exact est le trouble d’anxiété de séparation. Il s’agit d’une détresse extrême ressentie par l’enfant lorsqu’il est séparé de quelqu’un qui lui est cher, notamment le père ou la mère.

Tous les enfants ressentent à un moment ou un autre de l’anxiété. Cependant, dans ce cas-ci, on parle de cas extrêmes. L’enfant refuse de dormir seul, de ne pas être à la vue de ses parents, ou pire, refuse catégoriquement d’aller à l’école.

Avant de sauter aux conclusions, lorsque des symptômes de stress élevé se manifestent, intégrez ces conseils, indiqués sur Psychology Today :

– Conservez une routine, c’est crucial.

– Respectez les sentiments, même exagérés, de vos enfants.

– Essayez de découvrir le catalyseur de son anxiété.

– N’attendez pas trop longtemps avant de demande de l’aide. Soyez humble.

– Demeurez calme lorsque vous dites au revoir pour le weekend. Votre état d’âme est important pour le réconfort de votre enfant.

– N’hésitez pas à faire usage de médication. Elles sont efficaces, et considérez que c’est temporaire.

– Chaque fois qu’un épisode de séparation se passe bien (école, weekend, etc.), utilisez le renforcement positif.

– Éliminez les films ou séries télévisées effrayantes. Votre enfant est déjà fragile. Ces images pourraient accentuer ses cauchemars.

Finalement, n’oubliez pas de demander de l’aide ou du soutien pour vous-même. Il ne faut pas oublier que vous vivez aussi un stress considérable.

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Comment faire cesser les disputes entre frères et soeurs

C’est le site Parents Canada qui donne quelques solutions pour les parents qui n’en peuvent plus de ces disputes incessantes. Aneta Chencinski est une coach de vie pour les parents et familles. Elle affirme que « les chamailleries varient selon l’âge des enfants, mais également selon la différence d’âge entre ceux-ci ».

En fait, il existe certaines périodes où les disputes sont inévitables. Les enfants préfèrent l’attention positive, mais lorsqu’ils sont stressés ou fatigués, que ce soit positif ou négatif, peu leur importe. Se chamailler devient alors la façon la plus rapide d’obtenir ce qu’ils souhaitent.

Voici quelques solutions rapides et efficaces pour les parents :

– Redirigez leur attention avant que n’éclate la dispute;
– Soyez empathique et donnez-leur l’attention qu’ils souhaitent avant que cela dégénère;
– Aidez-les à trouver les mots pour exprimer leurs sentiments;
– Retirez-vous de l’équation afin qu’ils trouvent eux-mêmes une solution et la raison de la dispute.

D’autre part, ne vous emportez pas. Cela ne fera que mettre de l’eau sur le feu.

– Prenez une grande respiration et calmez-vous;
– Sinon, retirez-vous de la pièce un instant pour reprendre votre sang-froid;
– N’élevez pas la voix;
– Écoutez l’histoire de chacun des enfants avant de vous prononcer;
– Demandez à chacun ce qu’il ressent;
– Aidez-les à trouver une solution.
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Le pouvoir des mots chez les jeunes enfants

Ce sont des psychologues qui ont été les premiers à étudier le développement du langage de la petite enfance, basé sur les échanges verbaux entre parents et enfants. La recherche de Todd Risley et Betty Hart remonte aux années 1960.

Psychology Today rapporte que les données ont été si longues à compiler que ce n’est qu’en 1995 que les résultats ont été publiés sous forme de livre (Meaningful Differences in the Everyday Experience of Young American Children).

À l’époque, l’objectif n’était pas bien cerné. Cependant, des chercheurs ont constaté aujourd’hui que les résultats démontraient clairement une amélioration importante du vocabulaire, de la communication, puis de l’intelligence globale des enfants qui avaient des parents plus volubiles.

Malheureusement, ce n’est pas donné à tout parent d’avoir un vocabulaire digne d’un grand orateur. Par contre, vous avez avantage à fournir le plus de vocabulaire possible à votre enfant, dès ses premiers mois de vie.

Plus vous communiquerez avec lui, que ce soit en voiture, à la maison ou au supermarché, que vous chantiez des chansons, récitiez des fables ou discutiez de la journée, plus nombreux seront les moments précieux pour son apprentissage.

Entre la naissance et la 9e année des enfants ayant participé à l’étude de Risley et Hart, ceux dont les parents étaient moins bien scolarisés ou peu enclins à la conversation avaient entendu près de 30 millions de moins de mots que leurs pairs.

Un écart stupéfiant, mais un facteur qui expliquait à lui seul la réussite des uns et les échecs des autres dans de nombreux cas.

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Valeurs parentales versus médias : comment guider vos enfants?

Psychology Today publie le résultat tout juste révélé par le nouveau rapport de la Kaiser Family Foundation. Le temps moyen exposé aux différents médias pour un enfant américain est de 8 heures par jour. Soit plus de temps que celui consacré à l’école ou en compagnie de ses parents.

Qu’on le veuille ou non, les médias jouent également un rôle d’enseignement auprès des nouvelles générations. Que ce soit par les textes publiés, les séries web qu’ils écoutent, les valeurs et principes véhiculés, ils absorbent l’information.

Les médias ont un impact réel sur le développement affectif et moral des enfants. C’est pourquoi les parents doivent s’informer auprès d’eux. Quelles séries écoutent-ils? Quels sites fréquentent-ils? Passez un peu de temps côte à côte avec votre enfant le soir afin d’écouter l’une de ces émissions, ou prenez le temps de regarder les vidéos qu’il adore visionner sur YouTube.

Cet exercice permet ensuite à l’adulte d’analyser la marge d’erreur entre les valeurs véhiculées à l’écran et celles qu’il souhaite transmettre en tant que parent. Regardez ce qui a trait au sexe, à la drogue, aux relations amicales, etc., et ramenez les « vraies valeurs » régulièrement pour faire la part des choses entre la réalité et la fiction.

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Comment gérer les courses à l’épicerie avec de jeunes enfants

Se préparer : En faisant votre liste en fonction de l’organisation des rayons, vous pourrez réduire le temps passé au supermarché. Si vous possédez un téléphone intelligent, vous pouvez également utiliser une application qui gère les listes de manière très efficace.

Penser à des collations : Rien de mieux pour occuper les enfants et les empêcher de geindre sans arrêt ou de vouloir courir partout. Préparez quelque chose de portable, comme des mini-craquelins, de petites carottes ou de la compote en sachet.

Y aller durant la bonne période : Le meilleur temps de la journée reste le matin ou la fin de l’après-midi. Essayez d’éviter les périodes critiques : juste avant le repas ou l’heure de la sieste.

Leur demander de l’aide : Un enfant plus jeune qui reste dans le panier peut par exemple être responsable de raturer les éléments de la liste à mesure, tandis que les plus vieux peuvent vous aider à choisir des fruits et légumes, ou aller chercheur des aliments déjà préparés.

Les distraire : Si les enfants sont impatients et grognons, pensez à réciter ensemble des comptines, à faire des devinettes, à demander à vos enfants plus vieux de chercher des mots, etc.

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Comment faire cesser votre enfant de se jouer dans le nez

Selon la psychologue torontoise Liza Finlay, cette mauvaise habitude est très fréquente chez les enfants.

« À mesure qu’ils grandissent, les enfants développent l’habilité de se voir comme faisant partie d’une société. Les plus jeunes ne sont pas encore là… Notre rôle en tant que parent, ce n’est pas seulement de les nourrir et de les vêtir, mais aussi de leur apprendre à vivre en société. »

« Se jouer dans le nez n’est pas une mauvaise habitude en soi, c’est plutôt le fait de le faire en public qui n’est pas considéré comme acceptable. On doit alors leur apprendre ce qui se fait et ce qui ne se fait pas, ainsi que l’importance de respecter les autres. »

Plutôt que de punir vos enfants, offrez-leur plutôt un mouchoir. Vous devrez peut-être le faire à plusieurs reprises et répéter quelques fois votre discours sur les habitudes sociales, mais éventuellement, l’enfant comprendra.

Il est également important de leur apprendre les notions de base de l’hygiène, quoi faire pour se protéger des microbes et comment éviter de propager ceux-ci.

 

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4 avantages du ballet chez les enfants

Le ballet accroît la confiance : Si votre enfant est timide ou a du mal à se séparer de vous, le ballet pourrait bien être sa manière de s’épanouir et de s’ouvrir aux autres. Lentement, mais sûrement, vous la verrez devenir plus à l’aise et se laisser aller.

Le ballet augmente la concentration : Même si votre enfant est agitée et toujours en mouvement, le ballet lui permettra de développer son attention, sa concentration et sa capacité à être consciente des mouvements de son corps. En se préparant pour un récital, elle comprendra également comment atteindre un but.

Le ballet fait du bien au corps : À n’importe quel âge, le ballet apprend la force physique, la flexibilité et la grâce dans les mouvements. Et pas besoin d’être au cours pour répéter… On peut le faire partout où il y a un peu de place pour bouger.

Le ballet enrichit l’expérience culturelle : Cette activité permettra à votre enfant d’apprendre la musique classique et de connaître des œuvres majeures, par exemple Casse-Noisette de Tchaïkovsky.

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Petit guide des allergies saisonnières chez les enfants

Voici quelques conseils pour prévenir le plus possible les allergies chez les tout-petits, selon Parents Magazine.

Essayez de garder les enfants à l’intérieur durant les journées particulièrement venteuses, parce que durant ce temps, la concentration de pollen est à son maximum.

Même chose pour le matin : il y a plus de pollen dans l’air avant 10 h.

Les enfants allergiques devraient aussi se laver les mains, le visage et même changer de vêtements lorsqu’ils reviennent de jouer dehors, puisque le pollen s’accroche à la peau, aux cheveux et aux vêtements.

Pour éviter la propagation dans la maison, laissez les chaussures à l’entrée.

Ne séchez pas non plus les vêtements, les draps ou les serviettes dehors, que ce soit sur une corde à linge ou un sèche-linge.

Profitez aussi du printemps pour faire un grand ménage et éliminer le plus possible la poussière et les particules de la maison. Pensez particulièrement aux tapis, aux draperies, aux meubles rembourrés, etc.