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La danse au secours de patients atteints du Parkinson

Le Globe and Mail rapporte une touchante et prometteuse initiative de la part d’un groupe de chercheurs canadiens et de la National Ballet School de Toronto, qui vise à aider des groupes de patients atteints de la maladie de Parkinson à améliorer leur sort grâce à la danse.

Alors que le projet est déjà un succès sur le terrain, le programme officiel n’en est qu’à sa moitié, et tentera de définir pourquoi la danse semble avoir un impact si positif sur ces patients, qui affichent des améliorations notables de leur état de santé physique et psychologique au fil de ces classes de danse.

Des tests poussés seront effectués sur ces groupes de patients afin de comprendre les réponses cérébrales et analyser les raisons qui font que la danse semble outrepasser certaines barrières, pourtant créées par la maladie de Parkinson.

Mais au-delà du langage scientifique et des recherches, l’initiative a déjà changé la vie de ceux et celles qui participent à celle-ci, comme le quotidien le constate.

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Michael J. Fox a sombré dans l’alcool

Lors d’un entretien hier (25 septembre) à The Howard Stern Show, l’acteur Michael J. Fox a révélé qu’il est sombré dans l’alcool en apprenant qu’il était atteint de la maladie de Parkinson à 29 ans.

La vedette de la série de films Back to the Future, aujourd’hui âgée de 52 ans, explique : « Je buvais pour faire la fête, ensuite, je buvais seul pour m’oublier. Tous les jours ».

Fox s’est ensuite fait soigner. « Après cela, je suis allé en thérapie, et les choses ont commencé à devenir plus claires. » 

L’acteur a appris depuis à vivre un jour à la fois. « Toutes les choses ont ensuite changé. Mon mariage allait bien, ainsi que ma carrière… »

Michael J. Fox effectue ces jours-ci un retour triomphal au petit écran. Il est la vedette principale du feuilleton The Michael J. Fox Show diffusé sur les ondes du réseau américain NBC.

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Un traitement du Parkinson pour bientôt?

Des chercheurs britanniques affirment avoir effectué un pas de géant dans la recherche d’un traitement contre la maladie de Parkinson, selon le Telegraph (UK).

Les spécialistes de l’Université BedfordShire ont utilisé les avancées permises par les recherches sur les cellules souches afin d’identifier plusieurs éléments qui contribueraient au développement du Parkinson, et ainsi paver la voie à certains traitements éventuels.

L’équipe de chercheurs, menée par le Dr Bushra Ahmed, a pu analyser le comportement des cellules du cerveau de patients atteints de la terrible maladie. On a ainsi remarqué que les cellules en questions, les neurones, perdent littéralement la vie lorsqu’elles se voient attaquées par la maladie.

En vulgarisant la suite logique de la démarche, le Dr Ahmed explique que le prochain défi est maintenant de tenter de protéger ces cellules, pour ainsi éviter leur mort… et par conséquent, peut-être, le développement de la maladie de Parkinson.

On sent l’équipe britannique très sûre d’en arriver à un traitement, ce qui s’avèrerait l’une des plus importantes découvertes médicales des dernières décennies.

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Les statines pourraient réduire les risques de Parkinson

Les statines font l’objet de débats un peu partout dans le monde, et même au sein de la communauté scientifique. Malgré tout, elles sont reconnues comme un traitement efficace contre des taux de cholestérol trop élevés et sont prescrites abondamment afin de réduire les risques d’AVC.

Même si on ne connaît pas encore le fin mot de l’histoire, une nouvelle étude taïwanaise rapportée par The National Library of Medicine propose un nouvel avantage lié à l’utilisation des statines.

Selon les chercheurs de l’Université Nationale de Taiwan, les statines permettraient une réduction substantielle des risques de développer la maladie de Parkinson, une découverte étonnante et encourageante.

Les auteurs de l’étude croient que les statines solubles sont en mesure de traverser les barrières du cerveau et d’ainsi diminuer l’inflammation et les comportements qui influencent le développement du Parkinson.

« Nous sommes plus que surpris de démontrer cette relation. Notre analyse est observationnelle… et des essais cliniques plus poussés ciblant l’association entre l’utilisation des statines et la maladie de Parkinson sont encore nécessaires », explique en conclusion le Dr Jou-Wei Lin, auteur principal de l’étude.

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Les pesticides pourraient expliquer une partie de la hausse des cas de cancer

Top Santé rapporte des conclusions émises par l’INSERM, qui s’inquiète du possible (et probable) lien entre l’utilisation de plus en plus massive des pesticides et les hausses globales de cas de cancer.

Il ne s’agit pas d’un constat lancé en l’air ni d’un rapport précipité, puisqu’on apprend que l’INSERM a analysé pratiquement toutes les études et recherches précédentes sur le sujet afin d’en arriver à une conclusion efficace.

De plus, l’exercice a été commandé par la DGS (Direction générale de la Santé) en France, qui désire mieux comprendre le phénomène et la possible cause à effet.

Les pesticides utilisés en agriculture et qui se retrouvent indirectement dans notre assiette seraient donc bel et bien responsables de la montée de certaines maladies comme le Parkinson et le cancer (de la prostate, notamment), en plus d’être visiblement néfastes pour le développement des enfants et d’augmenter les risques de leucémie.

Les chiffres avancés ici sont trop longs pour tous les partager en entier, mais il suffit d’y jeter un œil pour être assuré qu’il existe bel et bien un malaise profond dans notre façon d’aborder la consommation et en ce qui concerne le respect du consommateur.

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Moins de calories en prévention des maladies neuro-dégénératives

Des chercheurs du MIT et de l’Institut Howard Hugues publient une étude sur la restriction calorique et ses impacts sur la préservation des cellules et en prévention des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer, par exemple.

Les conclusions, rapportées par Santé Log et publiées dans l’édition du Journal of Neuroscience du mois de mai, font état de tests concluants effectués sur des animaux, qui confirment qu’un apport calorique moindre peut permettre une meilleure protection contre les changements dus au vieillissement.

On note particulièrement la production d’une enzyme, appelée SIRT1, lorsqu’un animal est placé en situation de restriction calorique. Un phénomène que l’on croit tout aussi vérifiable chez l’être humain.

Mais voilà, la découverte de cette enzyme et de ses effets sur la défense de l’organisme pourrait permettre aux chercheurs de créer un traitement permettant une simulation d’une baisse calorique, sans les effets néfastes liés à une alimentation trop faible.

Il s’agit d’une percée très intéressante, qui ouvre la porte à de nouvelles possibilités dans le domaine neurologique et en recherche de traitement des maladies neurodégénératives.

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Manger des poivrons réduirait les risques de Parkinson

Manger des poivrons n’est pas un réflexe qu’adopte une majorité de citoyens, avouons-le, mais cette nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine pourrait bien vous convaincre de développer cette habitude.

On rapporte dans ces recherches, publiées par une équipe de chercheurs basés à Seattle, que les poivrons peuvent faire baisser les risques de développer la maladie de Parkinson, notamment grâce… à la nicotine.

Oui, la nicotine, celle que l’on combat si âprement dans cette ère moderne, pourrait bien s’avérer utile pour une fois dans sa vie. Toutes blagues à part, on parle bien évidemment de la nicotine « alimentaire », et l’étude rapportée ici ne constitue certainement pas une raison pour recommencer à fumer!

Mieux vaut donc trouver sa nicotine dans des légumes frais, comme les poivrons et les tomates, suggèrent les experts.

« Notre étude est la première à se pencher sur la nicotine alimentaire et les risques de développement de la maladie de Parkinson. Similairement à plusieurs études qui indiquent que l’usage du tabac réduit les risques de Parkinson, nos découvertes suggèrent également un effet protecteur provenant de la nicotine, mais sans les produits chimiques toxiques, grâce aux poivrons et à la tomate », explique la Dre Susan Searles de l’Université de Washington à Seattle. 

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Percée intéressante dans la lutte à l’Alzheimer et au Parkinson

Santé Log rapporte que des chercheurs ont réussi à décrypter une enzyme bien précise, qui serait en partie responsable du développement de certaines maladies dégénératives comme le Parkinson et l’Alzheimer.

Il s’agit de l’enzyme KMO, qui fait des ravages au cerveau, et que l’on se devait de mieux comprendre avant d’envisager d’aller plus loin dans les recherches de traitements.

Ce serait maintenant chose faite, des chercheurs de plusieurs universités (notamment en Europe) ayant uni leurs forces pour tenter de mieux comprendre et analyser l’enzyme KMO.

Le but est de réussir à stopper l’activité de cette dernière, et ainsi réussir à créer une barrière pour freiner le développement de ces terribles maladies.

Seule ombre au tableau, il faudra maintenant réussir à passer outre la barrière hématoencéphalique du cerveau humain, un défi de taille…

Malgré ce défi et le fait que cette récente découverte n’en soit qu’au stade préliminaire, les chercheurs semblent portés par un vent d’optimisme.

On attend déjà avec impatience les prochaines publications sur le sujet.

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Un nouveau test de dépistage du Parkinson pourrait voir le jour

Santé Log rapporte une possible percée en matière de dépistage de cette maladie. Elle pourrait, qui plus est, être effectuée dans un avenir rapproché.

Ce sont des spécialistes de la fameuse clinique Mayo qui font cette promesse, alors qu’ils affirment avoir mis au point un nouveau système qui permet de détecter les cas de Parkinson.

Le test s’effectue à partir de la glande sous-maxillaire et des glandes salivaire des patients. Il pourrait non seulement améliorer les diagnostics, mais aussi préparer le terrain pour de nouveaux traitements.

On apprend du même coup que 30 % des diagnostics de Parkinson sont émis à tort, un chiffre qui a de quoi surprendre.

On est déjà bien avancé dans les phases de test, affirment les chercheurs de la clinique Mayo. D’ailleurs, ils présenteront le fruit de leurs efforts dans une étude détaillée qu’ils déposeront en mars prochain.

On aurait déjà testé le procédé sur 15 patients, fin soixantaine, atteints de Parkinson depuis au moins dix ans. 9 résultats sur les 11 cas détectés se sont avérés concluants à l’aide de la biopsie de la glande sous-maxillaire.

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La stimulation cérébrale aussi utile au stade précoce du Parkinson

De nouvelles recherches sur la stimulation cérébrale concluent que celle-ci est bénéfique pour les patients qui en sont aux premières étapes de la maladie de Parkinson, selon The National Library of Medicine.

On savait déjà que le processus pouvait aider les patients qui en sont à des stades plus avancés, mais c’est la première fois qu’on réussit à établir ses effets en début de traitement.

Le traitement par stimulation cérébrale, qui peut donner froid dans le dos, consiste à placer de petites électrodes sur certaines zones précises du cerveau.

« Jusqu’à maintenant, toutes les études faisaient état des résultats obtenus sur des patients en stade avancé. Le groupe-test actuel est bien loin de ce spectre. Ils font plutôt partie de ceux qui n’étaient traités qu’exclusivement par médication », explique le Dr Gunther Deuschl, du Centre médical Schleswig-Holstein de Kiel, en Allemagne.

Le problème avec le traitement par médication, apprend-on, c’est qu’il développerait un « effet yo-yo » chez les patients, à long terme.

On tente maintenant de trouver de nouvelles pistes de traitement afin de retarder la maladie et d’améliorer la qualité de vie de ceux qui en souffrent.