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Nouvel effort collectif majeur dans la lutte au Parkinson

Après la nouvelle concernant une percée dans la lutte à l’Alzheimer, en voici une autre qui dévoile un effort collectif impressionnant dans celle livrée au Parkinson.

C’est www.nih.gov qui confirme la chose, et pour cause, puisque l’association en est aussi l’instigatrice. Le projet est simple, mais brillant : concevoir un système collectif afin d’accélérer les recherches en matière de biomarqueurs.

Ces derniers permettent de prédire et de diagnostiquer de façon précoce la maladie de Parkinson, notamment.

En améliorant collectivement le processus de recherche et en combinant les efforts de chercheurs d’un peu partout qui auront maintenant accès, entre autres, à une gigantesque base de données, les spécialistes croient que les choses pourraient aller plus vite dans le cas du Parkinson, et que le système permettrait d’importantes percées en matière de biomarqueurs.

En diagnostiquant la maladie plus rapidement, on a de bien meilleures chances de la « contrôler » et, un jour, de la guérir. La découverte de biomarqueurs propres au Parkinson serait une percée majeure vers la mise au point d’un traitement.

« Notre but est d’accélérer le processus de recherche et de progrès en matière de biomarqueurs du Parkinson, en soutenant les chercheurs qui ont déjà de belles pistes et qui font preuve d’innovation dans le domaine. On veut les rassembler, les rapprocher, et rendre leur travail et leurs analyses plus faciles », lance le directeur du NINDS, Story Landis.

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Des greffes de cellules pour traiter le Parkinson dès 2013

Santelog.com nous apprend que pas moins de cinq greffes de cellules cérébrales sont au programme en 2013, afin de tenter d’aider des patients souffrant de la maladie de Parkinson.

C’est l’hôpital universitaire de Lund qui aura la tâche d’accomplir ces exploits, les traitements s’inscrivant dans le cadre d’une étude européenne. Ce sera la première tentative du genre depuis une décennie, et les résultats sont prometteurs.

Seule ombre au tableau, c’est bien entendu le fameux débat des cellules souches qui risque fort de revenir au premier plan de l’actualité. Plusieurs percées et traitements expérimentaux similaires à celui-ci seront mis à l’essai en 2013.

Dans ce cas-ci, on parle de remplacer les cellules cérébrales mourantes par des neuves, ce qui permettrait d’inverser (ou à tout le moins de combattre) le processus des maladies dégénératives comme le Parkinson, mais aussi la maladie d’Alzheimer.

Les thérapies cellulaires régénératives du genre ont rencontré plusieurs obstacles depuis la création du concept dans les années 80 et 90, mais les chercheurs ont bon espoir de réussir de petits miracles rapidement, entre autres grâce aux percées dans le domaine de la génétique et des nouvelles technologies.

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Les blessures à la tête et les pesticides en cause dans certains cas de Parkinson

Deux facteurs qui n’ont à première vue aucun lien entre eux sont pointés du doigt pour leur rôle possible dans le développement de la maladie de Parkinson, selon www.nlm.nih.gov.

Il semble que ce soit la combinaison de ces deux caractéristiques qui soulève l’inquiétude des spécialistes. En effet, l’exposition à des pesticides, doublée à d’un antécédent de blessure à la tête, serait une porte ouverte pour la maladie de Parkinson.

Selon les chercheurs à la tête de cette récente étude, il n’y a toujours aucune preuve directe de ce qu’ils avancent, mais la compilation des données de plusieurs études précédentes sur le sujet indique une cause à effet possible.

L’historique familial en matière de santé et d’autres facteurs environnants peuvent aussi, et doivent, être pris en considération.

James Bower, un neurologiste de la clinique Mayo, au Minnesota, qui n’a pas participé à cette étude, la commente : « Je crois que nous commençons à réaliser qu’il n’y a pas qu’une seule raison majeure en cause dans le développement de la maladie de Parkinson. Il pourrait y avoir plusieurs chemins qui mènent à l’ultime développement de la maladie ».

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Découvertes génétiques concernant le Parkinson

La maladie de Parkinson, on le sait, est l’une des plus terrifiantes et dévastatrices. Beaucoup d’argent, de ressources et de mains-d’œuvre sont mis à contribution afin d’en venir à bout, partout dans le monde.

C’est le cas de l’Université de Boston, où des chercheurs travaillant sur ce dossier viennent de publier une étude concernant l’identification de nouveaux variants génétiques associés à la maladie.

Jeanne Latourelle, professeure adjointe de neurologie à l’Université de Boston et coauteure de l’étude avec le Pr Richard H. Myers, explique, dans des propos rapportés par Santelog.com, que des variations dans l’expression de gènes spécifiques dans les risques de développer cette maladie ont été observées.

Ainsi, on pourrait bientôt améliorer les traitements que reçoivent les patients qui souffrent de la maladie de Parkinson. Les médicaments pourraient être mieux adaptés et utilisés, permettant ainsi de voir des résultats concrets sur les patients.

La prochaine étape sera donc de tester ces nouvelles applications sur des modèles d’animaux ou sur des lignées cellulaires, et ainsi déterminer les façons d’améliorer les traitements.

Un brin d’optimisme pour ceux qui souffrent de Parkinson et leurs proches, qui en ont certainement grand besoin.

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Quatre tasses de café pour réduire les symptômes du Parkinson

La revue Neurology publie une nouvelle étude sur les effets de la caféine sur la santé.

Il avait déjà été démontré que de boire du café pouvait réduire les risques de développer la maladie de Parkinson. Cette fois, les chercheurs de l’Université McGill, à Montréal, ont découvert que deux à quatre tasses de café par jour pouvaient réduire significativement les symptômes de la maladie, comme les tremblements et la rigidité musculaire.

La caféine étant un stimulant psychomoteur qui agit sur le système nerveux central et le système cardiovasculaire, elle diminue aussi la somnolence et augmente l’attention de façon temporaire.

« Nous voulions voir l’effet que pouvait avoir la caféine sur la somnolence et les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson, tels que la lenteur des mouvements, la rigidité, les tremblements et la perte de l’équilibre », mentionne le Dr Ronald Postuma.

Les participants à l’étude qui avaient reçu de la caféine avaient moins de symptômes moteurs. Ils ont augmenté leur rapidité de mouvement et réduit leur rigidité musculaire.

Naturellement, plus d’études sont nécessaires pour confirmer les résultats et savoir si la caféine pourrait être incluse dans les traitements de la maladie.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Un test vocal pour dépister le Parkinson

Le mathématicien Mike Petit du MIT est le directeur du projet Parkinson’s Voice qui vise à créer un test vocal permettant de déceler chez un patient la maladie de Parkinson avec une fiabilité de 86 %.

Avec l’objectif d’enregistrer 10 000 voix de personnes en bonne santé ou atteintes du Parkinson dans le monde, on demande aux gens de faire un appel anonyme de 3 minutes. Sept numéros sont proposés, qui correspondent à 7 pays et 7 langues différentes (Canada : 1-647-931-5776).

Comme le Parkinson engendre une rigidité des muscles, donc de la mâchoire et de l’articulation, on pense depuis quelque temps déjà que la voix est aussi affectée par la maladie que les mouvements, rapporte Santelog.

Ainsi, un simple test vocal rapide et non invasif permettrait d’établir un diagnostic précoce et de choisir un traitement adéquat pour chaque patient.

La maladie de Parkinson touche 6 millions de personnes dans le monde. Les recherches n’ont pas encore permis de trouver les biomarqueurs permettant de créer un test sanguin de dépistage.

L’analyse de la voix, qui pourrait se faire à distance par les patients eux-mêmes, représente donc une voie prometteuse pour un meilleur traitement du Parkinson.

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Le sommeil et les siestes bénéfiques contre le Parkinson?

Voilà un mystère qui demeure encore flou pour les scientifiques. Près d’une personne sur deux qui souffre de la maladie de Parkinson mentionne que ses fonctions motrices sont meilleures le matin, après une nuit de sommeil. Pourtant, à ce moment, l’organisme n’a pas eu de médicaments durant plusieurs heures.
 
Même après les siestes, certaines personnes ressentiraient ces bienfaits. C’est ce que l’on appelle le « bénéfice sommeil ».
 
Une étude parue dans le Journal of Parkinson’s Disease confirme cet état chez certains patients. Cependant, on ne parvient pas encore à expliquer pourquoi.
 
« Si le sommeil peut apporter une amélioration objective, prouvée et comprise de la fonction motrice, cela pourrait avoir des avantages cliniques considérables », explique l’auteur principal, le Pr Sebastiaan Overeem.
 
En fait, c’est 46,9 % des patients ayant le Parkinson qui disent ressentir le bénéfice sommeil.
 
« Une étude plus approfondie, permettant d’identifier les déterminants et les mécanismes sous-jacents du bénéfice sommeil et les patients les plus susceptibles d’en bénéficier, semble nécessaire », ajoute le professeur.
 
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Bientôt un vaccin contre le Parkinson?

La société de biotechnologie autrichienne Affiris a annoncé le début des premiers essais cliniques d’un vaccin pour vaincre la maladie de Parkinson. Il s’agit d’une grande première mondiale.
 
Pour le moment, 32 patients recevront ce vaccin.
 
Le vaccin, nommé PD01A, s’attaque à la protéine alpha-synucléine qui est liée au développement et à la progression de la maladie.
 
Le Parkinson se développe lorsqu’il y a une accumulation de dépôts de cette protéine dans le cerveau. En réduisant ces dépôts, il pourrait y avoir des effets très bénéfiques pour les malades.
 
En fait, le vaccin éduque le système immunitaire afin qu’il produise des anticorps contre la protéine.
 
« Le vaccin offre pour la première fois la perspective d’un traitement des causes de la maladie de Parkinson et non pas seulement de ses symptômes », précise Affiris dans un communiqué.
 
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Manger des baies réduirait le risque de contracter la maladie de Parkinson chez les hommes

C’est ce que démontre une étude publiée dans le journal Neurology. 

Les baies comme les bleuets, les fraises, les mûres et le cassis sont riches en flavonoïdes, qui sont des antioxydants.
 
Les antioxydants aident à neutraliser les radicaux libres, des substances destructives qui se trouvent dans le métabolisme et qui peuvent causer des dommages aux membranes des cellules et à l’ADN.
 
L’étude prouve aussi que les hommes qui mangent des petits fruits au moins une fois par semaine pourraient réduire du quart leurs chances de développer la maladie de Parkinson.
 
L’étude stipule également que les effets bénéfiques proviennent d’une plus grande consommation d’anthocyanes, un type de flavonoïdes contenu dans les baies.
 
« Étant donné le potentiel des petits fruits pour la santé […] il est recommandé d’en ajouter à votre régime quotidiennement », explique le docteur de l’Harvard School of Public Health, Xiang Gao.
 
Étrangement, les chercheurs n’ont pas remarqué de résultats similaires des flavonoïdes sur le corps des femmes.
 
Rappelons que la maladie de Parkinson provoque des tremblements et de la rigidité musculaire et touche toutes les régions du corps. Il n’existe à ce jour aucun remède, aucune médication ni chirurgie pouvant guérir cette maladie.
 
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La curcumine contre la maladie de Parkinson

Des chercheurs de l’Université du Michigan ont découvert d’autres propriétés au safran, mais surtout à l’un de ses composés, la curcumine.
 
Selon le Journal of Biological Chemistry, la curcumine pourrait prévenir l’agglutination de la protéine qui est impliquée dans la maladie de Parkinson, l’alpha-synucléine.
 
La curcumine, qui est déjà reconnue comme un puissant antioxydant permettant de protéger des radicaux libres, se lie à la protéine, freinant ainsi son agrégation tout en la reconfigurant. C’est cette vitesse de reconfiguration qui permet d’arrêter l’agglutination de la protéine.
 
Cette découverte ouvre la voie à de nouvelles approches thérapeutiques contre la maladie de Parkinson.
 
D’autres études sont donc à prévoir pour trouver le moyen de reproduire l’action de la curcumine sur la protéine alpha-synucléine, mais avec un médicament.