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Des statines protègeraient de la maladie de Parkinson

Les Archives of Neurology dévoilent une étude qui révèle que l’usage régulier de statines pour abaisser le cholestérol pourrait protéger de la maladie de Parkinson, surtout pour les moins de 60 ans.
 
Cependant, ces résultats sont à interpréter avec prudence.
 
38 192 hommes et 90 874 femmes ont participé à cette étude pendant 12 ans. 338 femmes et 306 hommes ont développé la maladie au cours de l’étude.
 
On note que les statines auraient eu un effet bénéfique contre la maladie, mais attention, seulement 70 % des utilisateurs d’anticholestérol utilisaient des statines.
 
Déjà, les chercheurs avaient établi un possible lien entre les effets anti-inflammatoires et immunomodulateurs et les effets neuroprotecteurs.
 
Toutefois, certaines statines ont aussi des effets indésirables sur les patients. Elles peuvent notamment réduire une enzyme neuroprotectrice chez des personnes atteintes de la maladie de Parkinson.
 
Maintenant, chaque type de statine doit être étudié sur ses possibles bienfaits sur la maladie.
 
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Les cellules souches prometteuses contre la maladie de Parkinson

Des chercheurs japonais ont dévoilé que des singes de laboratoire dont les membres bougeaient spasmodiquement (un des symptômes de la maladie de Parkinson) ont vu leur état s’améliorer après l’implantation de cellules souches.
 
Quatre primates de l’Université de Kyoto ont reçu des cellules souches embryonnaires humaines dans leur cerveau. Trois mois après, il y avait de signes d’amélioration. Six mois plus tard, les animaux étaient capables de marcher dans leur cage.
 
Au départ, 35 % des cellules souches étaient des neurones de type dopamine et le dixième d’entre elles était encore vivant après un an. Toutefois, ce taux de survie devra passer à au moins 70 % pour effectuer des tests sur les humains. Cela pourrait se faire en 2015 si tout va bien.
 
Après la maladie d’Alzheimer, le Parkinson est la deuxième maladie dégénérative la plus importante. Elle touche 100 000 personnes aux Canada et elle est aussi l’une des principales causes de handicap moteur après les accidents vasculaires cérébraux.

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Le tai-chi pourrait améliorer la marche des personnes avec le Parkinson

Une heure de tai-chi, deux fois par semaine, pourrait aider les personnes qui souffrent de la maladie de Parkinson à mieux se déplacer.
 
Les patients atteints de cette maladie ont des tremblements et des raideurs musculaires, ce qui rend la mobilité difficile. Avec le tai-chi, les personnes retrouvent leur équilibre et leur capacité de marcher.
 
Une équipe de l’Institut de recherche de l’Oregon a suivi 200 patients qui ont eu deux séances de tai-chi hebdomadaires à raison de 60 minutes chacune. Ils ont constaté une amélioration de leur condition.
 
Selon le Daily Mail, cet art martial doux, qui prône une technique de respiration et de relaxation profondes ainsi que des mouvements lents et doux, offre des exercices d’étirement et de résistance. Les personnes qui l’ont pratiqué ont eu de meilleurs résultats à des tests d’équilibre et une meilleure longueur de la foulée lors de la marche.
 
L’année dernière, une étude mentionnait que le tai-chi pouvait aider à réduire les risques de chute chez les personnes âgées.
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Percée encourageante pour la maladie de Parkinson

Le Lancet Neurology rapporte que les chercheurs de l’Université de la Floride ont découvert qu’une stimulation cérébrale profonde donne des résultats encourageants pour traiter le Parkinson.
 
Une centaine de personnes ont été traitées efficacement. Elles ont été suivies pendant douze mois et elles mentionnent une amélioration globale de leur qualité de vie, une plus grande aisance dans leurs activités quotidiennes, une plus grande mobilité et un meilleur état émotionnel.
 
Seulement cinq personnes ont eu des effets indésirables de troubles d’élocution.
 
La technique consiste à implanter une ou deux électrodes dans différentes zones du cerveau afin de recevoir une faible stimulation électrique pour freiner le signal qui cause les symptômes de la maladie.
 
On espère que ces résultats mèneront à une nouvelle thérapie pour les personnes atteintes de la maladie.
 
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La danse pour soulager les symptômes du Parkinson?

Depuis quelques années maintenant, la danse attire l’intérêt des chercheurs, maintenant comme méthode possible de traiter la maladie de Parkinson.
 
En effet, une étude de l’Université de Washington a démontré que de pratiquer le tango deux fois par semaine accélérait la marche et diminuait les raideurs.
 
Le Parkinson se caractérise surtout par des tremblements, des raideurs aux articulations, une marche difficile, un débit plus lent et il entraîne parfois même la démence.
 
Cette maladie cause la perte des neurones dans le cerveau qui contrôlent les mouvements. Des médicaments peuvent améliorer les symptômes, mais il n’existe encore aucun traitement qui permet d’en guérir.
 
De plus en plus de personnes atteintes par la maladie de Parkinson deviennent des adeptes de la danse. Cela améliore non seulement leur souplesse, mais elles brisent également leur isolement et se retrouvent ainsi au cœur d’un groupe de soutien.
 
De plus, la musique a également des effets bénéfiques sur le cerveau, notamment en réduisant les dommages aux neurones, ce qui peut les aider, à améliorer leurs mouvements.
 
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Le Parkinson lié à une exposition à des solvants

Des chercheurs allemands, américains, argentins et canadiens révèlent dans les Annals of Neurology que les gens qui ont été exposés au trichloréthylène (TCE) dans leur travail ont six fois plus de risques de développer la maladie de Parkinson, et ce, même 40 ans après l’exposition.
 
Le TCE est un solvant industriel que l’on utilise pour le dégraissage à vapeur, le nettoyage à froid des pièces métalliques, le nettoyage à sec, de même que dans la peinture, les décapants de peinture et les produits domestiques.
 
Après avoir mesuré le taux d’exposition de 99 paires de jumeaux dont un avait le Parkinson, on mentionne que les risques ont donc augmenté.
 
Les risques sont également décuplés si l’on a été exposé au perchloréthylène (PER) et au tétrachlorométhane.
 
« Notre étude confirme que des contaminants environnementaux peuvent augmenter le risque de Parkinson, ce qui a des implications importantes du point de vue de la santé publique », explique le Dr Samuel Goldman.
 
Jusqu’à présent, on ne connaît pas la cause exacte de la maladie de Parkinson, et il n’existe aucun traitement pour en guérir. On peut seulement soulager les symptômes comme les tremblements.
 
À noter qu’une exposition au TCE cause aussi des irritations des yeux, du nez et de la gorge.
 
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Une chirurgie pour traiter le Parkinson

Une équipe de l’Institut et Hôpital neurologiques de Montréal (Neuro) a réalisé une première très prometteuse dans la lutte contre la maladie de Parkinson.
 
On a implanté des appareils de stimulation cérébrale profonde à des patients atteints de Parkinson grâce à l’appareil O-Arm, un outil d’imagerie qui permet aux chirurgiens de voir l’emplacement exact de cette implantation dans le cerveau.
 
Auparavant, après la chirurgie, on utilisait l’imagerie par résonnance magnétique. Si l’appareil n’était pas placé au bon endroit, on retournait en salle d’opération.
 
5 % des malades ont noté une amélioration de leur qualité de vie et on croit que cette proportion pourrait atteindre jusqu’à 15 % dans les prochaines années. Les patients notent moins de tremblements et de raideurs avec cette technique.
 
Les recherches se poursuivent encore afin de pouvoir faire ces implantations à un plus grand nombre de personnes.
 
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Le brocoli pourrait contrer la maladie d’Alzheimer

Des scientifiques croient que le brocoli pourrait détenir la clé contre la maladie d’Alzheimer.
 
Selon le Daily Mail, on pense que le sulforaphane, une substance chimique dérivée du brocoli, protègerait les cellules vitales du cerveau contre les radicaux libres. Il s’agit de molécules d’oxygène dangereuses qui sont produites lorsque la nourriture est transformée en énergie.
 
Ainsi, on pense que ce légume vert pourrait réussir là où d’autres traitements ont échoué. Toutefois, des pilules de sulforaphane seraient plus efficaces que de manger du brocoli.
 
Cela pourrait prendre encore une décennie avant de pouvoir mettre sur pied un traitement issu de ces hypothèses. Si le tout fonctionne, cela pourrait même aider à contrer la maladie de Parkinson et certains cancers.

Dernièrement, une étude disait également que le brocoli, tout comme le chou et le chou-fleur, favorisait une plus grande longévité. Ceci en raison des nutriments, comme la vitamine C, et des fibres.

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L’ibuprofène pourrait prévenir la maladie de Parkinson

La revue Neurology révèle que les personnes qui prennent régulièrement de l’ibuprofène sont moins susceptibles de développer le Parkinson.

Selon une étude du National Institute of Neurological Disorders and Stroke, ces personnes ont en fait 40 % moins de risques de souffrir de cette maladie. Aussi, les chercheurs ont noté que celles qui en prennent en grande quantité courent moins de risques que celles qui en prennent peu.

Cette étude a été faite auprès de 136 479 personnes en bonne santé. Elles devaient toutes dire si elles prenaient des anti-inflammatoires (aspirine, ibuprofène, ou paracétamol).

Après 6 ans, on a enregistré 293 cas de Parkinson, et ce, surtout chez les personnes qui ne prenaient pas d’ibuprofène.

« L’ibuprofène est le seul anti-inflammatoire qui a eu un impact sur la maladie de Parkinson. Les autres anti-inflammatoires n’ont eu aucune influence […]. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre pourquoi et comment l’ibuprofène peut avoir un effet sur cette maladie », a déclaré le Docteur Xiang Gao.

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Les petits fruits protègeraient contre le Parkinson

Consommer régulièrement des bleuets, des mûres, des framboises, des fraises et d’autres petits fruits contribuerait à prévenir la maladie de Parkinson.
 
C’est ce que révèle une vaste étude de l’Université Harvard effectuée auprès de 49 000 hommes et 80 000 femmes qui ont été suivis pendant 20 à 22 ans.
 
Les chercheurs ont évalué les habitudes alimentaires pour chaque personne, surtout au niveau des flavonoïdes, un puissant antioxydant qui a déjà fait ses preuves au niveau des bénéfices pour la santé. On a notamment surveillé la consommation de petits fruits, de pommes, de vin rouge, de thé et de jus d’orange, tous riches en flavonoïdes.
 
Au cours de l’étude, 782 cas de Parkinson ont été décelés. Après analyse, on note que les hommes qui avaient consommé le plus de flavonoïdes, et ce, peu importe la source alimentaire, avaient 35 % moins de risques de développer la maladie. Chez les femmes, les effets protecteurs étaient notables seulement avec les flavonoïdes contenus dans les petits fruits. Les scientifiques ne s’expliquent pas cette différence entre les deux sexes.
 
Il y a quelques années, une étude mentionnait également qu’une alimentation riche en vitamine E aidait à prévenir le Parkinson.