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Des cellules de l’oeil pour diminuer le Parkinson

Le nouveau traitement, appelé Spheramine, qui consiste à transplanter des cellules de l’oeil humain dans le cerveau des personnes aux prises avec la maladie dégénérative, semble très prometteur. Il pourrait réduire de 44 % les symptômes associés au Parkinson.

La qualité de vie s’améliorerait aussi de 23 % selon une étude, dont les résultats ont été présentés au colloque annuel de l’Association des neurologues qui se tient à Chicago.

« C’est une étude très prometteuse sur ce traitement qui ne ressemble en rien à ce qui a été étudié jusqu’ici », a précisé le Dr Roy Bakay, l’auteur principal de cette recherche menée en collaboration avec l’Université Rush de Chicago.

Aucun traitement efficace pour vaincre la maladie de Parkinson n’existe pour le moment.

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Percée médicale pour la maladie de Parkinson

Le Dr Marius Wernig de l’Institut de recherche biomédicale Whitehead et son équipe ont réussi à réduire les symptômes de cette maladie neurodégénérative chez des rats, grâce à des cellules souches de la peau qui ont été reprogrammées afin de remplacer les neurones endommagés par la maladie.

« C’est la première fois qu’il est démontré que des cellules reprogrammées peuvent être intégrées dans le système nerveux et avoir un effet positif sur la maladie de Parkinson », a noté le Dr Wernig.

Quelques semaines après la transplantation des cellules, les chercheurs ont noté une diminution considérable des symptômes de la maladie de Parkinson chez les rongeurs.

Pour plusieurs membres de la communauté scientifique, cette percée médicale est une voie à explorer pour traiter les maladies d’Alzheimer ou de Parkinson. Le Parkinson touche environ 100 000 personnes au Canada.

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Du tango contre la maladie de Parkinson

Une recherche menée à l’école de médecine de l’Université de Washington suggère que des leçons de tango ne peuvent qu’être bénéfiques aux personnes atteintes de la maladie de Parkinson.

Les chercheurs ont demandé à une partie des sujets de suivre 20 heures de leçons de tango incluant des exercices d’étirements et d’équilibre, les pas typiques de cette danse lascive et la danse complète avec un partenaire.

Résultat : les participants ont grandement amélioré leur motricité et leur équilibre à la suite des séances de tango.

« Plusieurs sujets étaient très sceptiques au départ, compte tenu de leur maladie et du fait qu’ils n’avaient pas dansé depuis des années, mais la recherche démontre que cette danse augmente leur mobilité », a mentionné Gammon M. Earhart, qui a participé à cette étude, publiée dans le Journal of Neurologic Physical Therapy.

 

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Un autre bienfait des oméga-3

Une équipe de cher­cheurs de l’Uni­ver­si­té La­val prouve que les oméga-3 pourraient éloigner les risques de souffrir de la maladie de Par­kin­son.

Lors de l’étude, qui a débuté en 2005, Fré­dé­ric Ca­lon et Fran­ces­ca Cic­chet­ti ont étudié un premier groupe de souris nourries d’une moulée enrichie d’oméga-3 et un autre avec de la moulée ordinaire.

Les chercheurs ont ensuite administré le MPTP, un composé toxique dont les effets sur le cerveau sont semblables à la maladie de Par­kin­son.

Il semble que le premier groupe de souris ait été « protégé » par sa consommation quotidienne d’oméga-3, contrairement au deuxième groupe de souris qui a développé tous les symptômes de la maladie dégénérative.

Les effets positifs des oméga-3 que l’on retrouve naturellement dans les pois­sons et les graines de lin ne cessent de s’allonger. « Ce qu’il ­faut re­te­nir, c’est qu’il ­faut évi­ter ­d’être en ca­ren­ce d’omé­ga-3, sur­tout les per­son­nes ­âgées », avertit le pro­fes­seur Ca­lon.

Ca­lon prévoit évaluer le métabolisme des souris pour une plus longue période et éventuellement analyser les bienfaits des oméga-3 sur les humains.

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Du financement pour la recherche sur la maladie de Parkinson

Quatre chercheurs canadiens reconnus pour leur excellent travail disposeront d’un montant de 266 000 $ pour financer leurs travaux de recherche sur la maladie de Parkinson.

La maladie de Parkinson, qui est neurodégénérative et dont l’origine est inconnue, touche quatre millions de gens au Canada. Elle est actuellement incurable. Seule la recherche pourrait faire améliorer le sort de ceux qui en sont atteints.

La bourse accordée aux chercheurs canadiens provient de la Société Parkinson Canada, qui finance la recherche effectuée au Canada. Cette année, le montant pour la recherche a atteint la somme de 6,25 millions de dollars.

Les meilleurs chercheurs canadiens qui se partagent la bourse sont les docteurs David Park, Shawn Hayley, En Huang et John Woulfe.