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Hollywood PQ

Guy A. Lepage et Yves P. Pelletier ont-ils eu la même blonde?

Yves P. Pelletier était invité sur le plateau de son ancien collègue de RBO et grand ami Guy A. Lepage, où il est venu parler de son tout nouveau livre, explorant sa vie amoureuse et ses diverses ex au fil du temps.

C’est ainsi que Yves s’est ouvert sur sa vie amoureuse lors de son passage à Tout le monde en parle, et c’est en abordant ce sujet que Kim Lévesque-Lizotte a souhaité obtenir des détails croustillants.

«Avez-vous déjà partagé la même blonde?», demandait Kim.

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«Pas moi, à ma conscience non, mais là, il faudrait que tu demandes à Guy, peut-être…», lance Yves P. Pelletier.

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Alors que Yves semblait ne pas être tout à fait au courant si tel était le cas, Guy, quant à lui, laisse planer un grand doute par son expression faciale et ses paroles.

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«Moi, mon instinct me dit de ne pas répondre à cette question», lance-t-il!

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Un moment télé qui a grandement fait rire tant les invités sur le plateau, que le public!

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Potins TPL Moms

Des enfants de la DPJ ont droit à une belle surprise grâce à illumi

Noël est symbole de partage et de rassemblement, mais parfois, certaines personnes se retrouvent plus seules lors de cette période, dont les enfants de la DPJ.

Une belle nouvelle attendait toutefois quelques-uns de ces jeunes, puisque illumi offre à plus de 200 d’entre eux une magnifique soirée, où ils pourront profiter de l’expérience magique des lumières et décors d’illumi à Laval.

«Je suis très émue de vous dire que plus de 200 enfants de la DPJ pourront célébrer Noël à Illumi cette année. Merci @illumiLaval pour votre générosité et à tous les donateurs. Vous me rendez si fière et si heureuse», apprenions-nous via la journaliste, auteure et conférencière Nancy Audet, sur sa page Instagram, par ailleurs derrière l’initiative.


Une magnifique réponse d’Illumi!

Ce cadeau réchauffera sans aucun doute le cœur de plusieurs enfants, en cette période du temps des Fêtes…

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Musique

Lady Gaga rejoint Queen et Adam Lambert sur scène

Les spectateurs présents au concert de Queen et Adam Lambert qui se déroulait hier (27 août) du côté de Sydney, en Australie, ont eu droit à une belle surprise.

Ils ont en effet pu apprécier l’apparition sur scène de Lady Gaga, qui passait par là et qui a décidé de se joindre à Lambert et aux membres de Queen pour une prestation du classique Another One Bites The Dust.

La chanteuse a semblé ravie et a ensuite publié un message témoignant de son expérience, rapporte Billboard. « Je viens de jouer avec Queen et je suis la fille la plus heureuse du monde », affiche Lady Gaga sur Twitter, avant de publier plusieurs photos croquées sur le vif sur Instagram.

Grande amie d’Adam Lambert, Gaga a également témoigné sa joie de voir ce dernier évoluer aux côtés des membres de Queen, qu’elle aime également beaucoup. « Je suis tellement fière qu’Adam Lambert chante avec eux », lance-t-elle.

Lady Gaga s’apprête elle aussi à proposer son projet collaboratif, soit l’album Cheek to Cheek en compagnie du légendaire Tony Bennett.

Voyez un extrait de la performance de Queen, Adam Lambert et Lady Gaga.

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Uncategorized

Facebook est devenu la plateforme de partage préférée des parents

Un parent fier est un parent qui échange du contenu sur Facebook, selon VoucherCodesPro.co.uk. Les deux tiers des parents interrogés, sur un total de 2204 participants, ont admis que les seules mises à jour contenues sur leur page personnelle concernent leurs enfants.

Female First rapporte les 5 sujets les plus fréquemment publiés sur le mur de ces parents :

1- 53 % ont répondu qu’ils partageaient surtout les réussites de leurs enfants, les nouveaux développements, récompenses, etc.

2- 46 % mettaient leur profil à jour avec des phrases et mots comiques énoncés par leur enfant.

3- 42 % utilisaient principalement Facebook pour poser des questions ou demander l’avis d’autres parents internautes.

4- 36 % des parents téléchargeaient des photos ou vidéos accompagnant les étapes de développement de leurs enfants.

5- 23 % se joignaient à des groupes ou forums pour vendre ou échanger des articles pour enfants.

Si vous vous reconnaissez dans ce profil, dites-vous cependant que de tous les parents, 59 % ont admis avoir bloqué ou supprimé un ou plusieurs amis qui publiaient beaucoup trop de contenu, ce qui devenait agaçant.

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Retour en force du partage du lit avec bébé

Les spécialistes affirment que de partager son lit avec son nouveau-né est contre-indiqué, mais la vague se dirige autrement. En 20 ans, selon les résultats, le nombre de bébés qui dorment dans le lit de leurs parents a doublé.

Plus de 20 000 personnes ont été interrogées par les National Institutes of Health. Ainsi, malgré les dangers associés, le premier étant le syndrome de mort subite du nourrisson (MSN), les parents vont à l’encontre des recommandations. Bien qu’ils écoutent le pédiatre, ceux qui partagent leur lit avec leur nouveau-né n’en informent pas le médecin, de peur d’être réprimandés.

À ce propos, les recherches sont contradictoires, puisque certaines recommandent d’allaiter l’enfant dans le lit, en position couchée, pour faciliter l’exercice. D’un autre côté, des études déplorent le partage du lit à cause des risques associés.

La solution, selon l’American Association of Pediatrics, consiste à faire dormir votre bébé dans la même chambre, dans un berceau. Si vous trouvez que l’enfant est toujours trop loin, il existe des lits de bébé qui s’accrochent au côté de votre lit. Plus sécuritaire que d’avoir votre enfant collé sur vous, il vous permet quand même d’avoir un contact direct.

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Éduquons nos enfants à grandes doses de compassion et d’empathie

Selon SheKnows, il est possible de renverser la vapeur. La bonne nouvelle, c’est que l’empathie et la compassion sont des sentiments innés, même chez les enfants d’âge préscolaire.

L’empathie, c’est la capacité à se mettre à la place de l’autre pour comprendre ce qu’il vit. Quant à la compassion, c’est une réponse émotionnelle générée par la souffrance d’autrui, et le fait de vouloir aider cette personne.

Comment y arriver?

– Donner l’exemple. Faire du bénévolat avec son enfant, afin qu’il comprenne que de nombreuses personnes sont moins bien nanties, est un excellent moyen de développer ces valeurs.

– Utiliser les passions et intérêts de l’enfant, pour développer le sens du don de soi et du partage. Par exemple, si l’enfant adore les petites voitures, expliquez-lui que les autres n’ont pas tous la chance d’en avoir et suggérez qu’il fasse don à d’autres enfants.

– Partagez des histoires vécues. Qu’elles proviennent de votre passé, vos amis, vos voisins, d’un livre, un documentaire, plutôt que de toujours raconter des contes de fées, sensibilisez votre enfant aux histoires vécues d’entraide et de partage.

– Écoutez ensuite vos enfants. Ils finiront inévitablement par suggérer d’aider un ami, un voisin, des animaux, etc. Ouvrez-vous à leurs suggestions. C’est votre implication qui fera toute la différence.

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Potins

Chantal Lacroix : Sortir de sa zone de confort

Chantal Lacroix semble n’avoir peur de rien. Pourtant, c’est plus souvent parce qu’elle accepte de relever de nouveaux défis que cela lui permet réellement d’avancer et de vaincre ses craintes.

Elle sort de sa zone de confort, comme lorsqu’on a commencé à lui demander de donner des conférences sur le fait de donner au suivant, mais dans son quotidien. « Jamais ça ne me serait venu à l’idée, je n’aime pas vraiment parler devant les foules. La première fois, c’est Desjardins qui m’avait demandé de le faire, et c’était un peu plus pour parler de mon parcours. Mon premier réflexe a été la peur, mais comme c’est la peur qui me stimule, je me suis dit qu’il y avait peut-être quelque chose à y apprendre. J’avais compris qu’il y aurait 150 personnes, il y avait 1500 personnes », raconte Chantal à BUM Interactif Groupe.

Finalement, le bouche-à-oreille a fait son chemin, et on demande maintenant régulièrement à l’animatrice, productrice et conceptrice de donner des conférences. Ces rencontres avec les gens, elle les trouve très enrichissantes. « De partager mon expérience et leur donner des outils qu’ils peuvent appliquer dans leur vie, c’est stimulant. Et chaque fois, avant une conférence, le stress augmente, et je me mets en position de danger, mais je surmonte l’obstacle. Ça m’amène à vaincre ma timidité. Souvent, quand on contrat me fait peur, je le prends finalement. »

Elle peut aussi aisément parler de son parcours, pour lequel elle a dû travailler très fort et surmonter les obstacles. « Les opportunités ne se sont jamais présentées facilement à moi. » Elle a donc souvent trouvé des concepts d’émissions qu’elle a elle-même produites. Même après 25 ans de carrière, elle sait que rien n’est acquis et qu’elle doit continuellement marcher sur un fil de fer.

L’hiver prochain, Chantal retournera à l’antenne de Canal Vie avec sa nouvelle émission, On efface et on recommence. Elle viendra en aide à des gens qui on laissé leurs travaux de rénovation en suspend. Ceci n’est qu’un seul projet parmi d’autres, à surveiller.

Pour ses conférences, cliquez ici.
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Les enfants partagent plus lorsqu’il y a un témoin

Une étude intéressante, menée au Michigan, a fait valoir que malgré leur connaissance sur la générosité et le partage, les enfants sont toujours réticents à partager. D’autre part, à l’Université Yale, les résultats vont plus loin. Ils démontrent que la « réputation » a son importance même chez les enfants, et ce, dès 5 ans.

En d’autres mots, les participants, et ce, presque à l’unanimité, partageaient uniquement lorsque l’autre avait vu le « contenu à partager ». Si, par exemple, l’autre enfant n’avait pas connaissance des autocollants qu’il avait en sa possession, il les cachait. En contrepartie, dès que le pot aux roses était découvert, immédiatement, l’enfant donnait généreusement.

Il s’agit d’un comportement qui fait passer la réputation sociale en avant-plan et qui a surpris les chercheurs. Habituellement, le discernement du jugement social débute tranquillement vers 8 ans. Or, l’étude a démontré que dès 5 ans, les jeunes comprenaient l’impact positif lorsqu’on pouvait témoigner de leur générosité.

En Allemagne, une autre recherche voulait comparer le comportement de singes du même âge que les enfants, afin de voir si l’impact social chez les primates se développait de la même façon. Finalement, les singes agissaient exactement de la même façon, que leurs pairs en soient témoins ou non.

Ainsi, la conscience de l’impact social est uniquement ancrée chez l’humain.

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Le pouvoir des mots chez les jeunes enfants

Ce sont des psychologues qui ont été les premiers à étudier le développement du langage de la petite enfance, basé sur les échanges verbaux entre parents et enfants. La recherche de Todd Risley et Betty Hart remonte aux années 1960.

Psychology Today rapporte que les données ont été si longues à compiler que ce n’est qu’en 1995 que les résultats ont été publiés sous forme de livre (Meaningful Differences in the Everyday Experience of Young American Children).

À l’époque, l’objectif n’était pas bien cerné. Cependant, des chercheurs ont constaté aujourd’hui que les résultats démontraient clairement une amélioration importante du vocabulaire, de la communication, puis de l’intelligence globale des enfants qui avaient des parents plus volubiles.

Malheureusement, ce n’est pas donné à tout parent d’avoir un vocabulaire digne d’un grand orateur. Par contre, vous avez avantage à fournir le plus de vocabulaire possible à votre enfant, dès ses premiers mois de vie.

Plus vous communiquerez avec lui, que ce soit en voiture, à la maison ou au supermarché, que vous chantiez des chansons, récitiez des fables ou discutiez de la journée, plus nombreux seront les moments précieux pour son apprentissage.

Entre la naissance et la 9e année des enfants ayant participé à l’étude de Risley et Hart, ceux dont les parents étaient moins bien scolarisés ou peu enclins à la conversation avaient entendu près de 30 millions de moins de mots que leurs pairs.

Un écart stupéfiant, mais un facteur qui expliquait à lui seul la réussite des uns et les échecs des autres dans de nombreux cas.

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L’apprentissage du partage et de la justice est long chez les enfants

Un chercheur en psychologie de l’Université de Boston, Peter Blake, a mené une étude qui procurait un regard rare sur les notions de partage et de justice chez des enfants d’âges différents.

En effet, il a demandé à des enfants âgés de 3 à 8 ans de se prononcer sur le partage. En très grande majorité, les enfants ont affirmé qu’ils savaient qu’ils devraient partager de façon égale avec d’autres enfants, que les autres devraient aussi faire un partage égal, et qu’ils croyaient que les autres allaient partager correctement avec eux.

Par contre, lorsqu’est venu le temps de le faire, seuls les enfants de 7 et 8 ans ont vraiment effectué un partage égal. Les enfants ont ensuite subi un test de contrôle de l’inhibition, qui n’a pas pu expliquer pourquoi l’âge influençait l’adhérence à une norme sociale (la justice).

L’auteur croit que les enfants peuvent connaître la norme sans être encore capables de l’appliquer, parce que le partage égalitaire comporte un coût pour l’enfant (ne pas obtenir toute la part et devoir la donner à d’autres) qui n’est maîtrisé que plusieurs années plus tard, tel que rapporté par Science Daily.