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3 minutes supplémentaires par repas pour diminuer le risque d’obésité

C’est ce qu’explique Barbara H. Fiese, directrice du Family Resiliency Program.

La recherche effectuée vise à aider les familles qui vivent avec peu de moyens. Trop souvent, vu le manque de temps et d’éducation, le fait d’être monoparental ou la facilité d’accès à la malbouffe, les enfants de familles pauvres sont plus à risque d’obésité.

Dans l’étude proposée par Fiese, selon medicalnewstoday, les familles vivant de peu de moyens passent environ 15 à 17 minutes ensemble au repas.

Or, à partir de 20 minutes passées en famille par repas, et ce, au minimum 4 fois par semaine, les enfants du primaire étaient beaucoup moins à risque d’obésité que ceux des autres familles peu aisées.

En résumé, les parents, même monoparentaux, qui affirmaient que le rituel du repas revêtait de l’importance et qu’ils y passaient 20 minutes ou plus pour échanger avec leurs enfants, avaient des jeunes plus en santé.

Plus de 200 familles pauvres ont participé à la recherche. À la suite de ces résultats probants, Barbara H. Fiese doit poursuivre avec la prochaine étape, qui consiste à éduquer les familles en ce sens.

Il demeure que ces résultats peuvent s’appliquer à toutes les familles. Lorsque le repas est considéré comme un moment de qualité à passer en famille, les habitudes alimentaires s’améliorent, et le risque d’obésité chute considérablement.

Un truc facile, mais que l’on doit prendre le temps d’appliquer.

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Comment apprendre à son enfant à partager

Le concept du partage est tout simplement trop complexe pour la plupart des jeunes enfants, explique Betsy Mann, une éducatrice spécialisée d’Ottawa.

« Ils sont encore beaucoup plus intéressés par leur propre personne. Partager, ça s’apprend à mesure que l’enfant grandit et que son développement cognitif, social et émotif progresse. »

Mais à partir de 4 ans, les enfants deviennent plus capables de considérer le point de vue de quelqu’un d’autre. Vous pouvez par exemple leur dire : « Comment te sentirais-tu si un ami prenait tous les jouets et ne t’en laissait aucun? » Ceci n’aurait aucun effet sur un petit de 2 ans, mais l’enfant un peu plus vieux va probablement comprendre.

Un bon moyen est aussi de leur apprendre par l’exemple. Partagez vos propres choses, avec votre conjoint par exemple, et assurez-vous qu’ils vous voient faire. Félicitez-les également lorsqu’ils font de bons coups : le renforcement positif, ça marche!

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Cancers pédiatriques : les chercheurs se rassemblent pour trouver une solution

Le St. Jude Children’s Research Hospital aux États-Unis, en collaboration avec l’Université de Washington, a décidé de partager le génome complet de 260 enfants atteints de cancer avec les chercheurs du monde entier désirant participer à l’avancement de la recherche pour les cancers pédiatriques.
 
« Ce travail va apporter des informations sur ce que sont les tumeurs et les altérations qui les caractérisent. On va pouvoir identifier leur talon d’Achille », se réjouit le Pr Gilles Vassal, directeur de la recherche clinique à l’Institut Gustave-Roussy (IGR, Villejuif), au journal Le Figaro.
 
Ainsi, pour mieux comprendre la provenance et l’agressivité de certains cancers, et aussi dans le but de prescrire un traitement personnalisé et ciblé pour chacun et multiplier les chances de guérison et de survie, ce partage de données à l’échelle internationale tentera de pointer du doigt les causes génétiques des cancers restant inaccessibles et d’identifier le génome propre à chaque enfant malade.
 
Bien que la science et les outils de recherche se soient grandement améliorés au cours des dernières années, les mutations génétiques sont malheureusement à l’infini et compliquent le scénario.
 
« Lorsque les mutations sont rares, le seul moyen de les repérer est de mettre en commun un maximum de données », affirme le professeur.
 
Rappelons que selon le Bulletin épidémiologique hebdomadaire du 28 décembre 2010, les leucémies (29 %), les cancers du cerveau (23 %) et les lymphomes (12 %) sont les cancers pédiatriques les plus répandus.
 
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Partager une chambre à coucher est bon pour les enfants

Partager une pièce, c’est plus que de gagner de l’espace. Pour les enfants, cela peut s’avérer très constructif. 

En effet, ils peuvent apprendre à se connaître, devenir de bons amis, et aussi développer leurs aptitudes sociales, rapporte le site Parentcentral.ca, qui raconte l’histoire de plusieurs familles.
 
De nombreux parents ont fait ce choix. Certains croient d’ailleurs que cela est une bonne préparation pour les dortoirs universitaires et le mariage. 
 
Bien sûr, dans de nombreuses familles avec plusieurs enfants ou dans des petits foyers, partager une chambre à coucher est également une nécessité.
 
« Quelle que soit la raison pour laquelle on met les enfants ensemble, une chambre partagée est une bonne occasion d’apprendre sur la négociation et le compromis », a déclaré James Crist, psychologue en Virginie.
 
« Il peut y avoir aussi d’autres avantages. Quand les enfants sont dans la même pièce, ils sont plus susceptibles d’aller au lit rapidement » a précisé le docteur.
 
Les enfants peuvent aussi trouver rassurant le fait d’avoir un frère ou une sœur pour leur tenir compagnie et parler avant de s’endormir.
 
James Crist suggère aux parents de suivre certaines règles pour aider les enfants à partager une chambre avec bonheur, notamment en prévoyant un espace séparé. Il faut s’assurer que chaque enfant possède un endroit bien à lui pour mettre ses affaires.
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Un poupon serait déjà altruiste

Selon une récente recherche de l’University of Washington, on reconnaîtrait l’équité et l’altruisme chez des bébés d’à peine 15 mois. Dès cet âge, un bébé serait en mesure de deviner si le partage de la nourriture se fait équitablement, et cette perception serait en lien avec le désir de partager ses jouets.

En effet, selon les résultats parus dans PloS ONE, les bébés de la présente étude qui avaient été plus sensibles à la juste répartition de la nourriture avaient aussi été ceux qui avaient été plus enclins à partager leurs jouets.

Jusqu’ici, on avait démontré, par le biais de la recherche, que les enfants de deux ans présentaient certains signes d’altruisme et que le sens de l’équité se manifestait vers l’âge de six ou sept ans. Il semble pourtant que cela pourrait apparaître encore plus tôt dans la vie.

Un bébé âgé de 15 mois pourrait donc démontrer un comportement coopératif, par exemple en aidant spontanément quelqu’un d’autre. Il s’agirait là des premiers signes émergents de l’équité, selon les experts.

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Sens inné du partage chez les enfants

Une étude parue récemment dans Psychological Science nous apprend que les enfants savent d’instinct ce qui est juste et ce qui ne l’est pas. Alors qu’ils pourraient tout garder pour eux, ils savent reconnaître le travail d’équipe et partager la victoire.

Pour tirer cette conclusion, on a observé de jeunes enfants dans une situation précise. En équipe de deux, les enfants étaient appelés à collaborer pour remporter un prix.

Précisément, afin d’atteindre des bonbons ou de petites surprises, ils devaient trouver comment accéder à une boîte transparente posée sur des roues.

Posée sur une planche, la boîte ne pouvait y glisser que si les deux enfants tiraient chacun sur une corde; le faire tout seul était vain. Chaque fois, les jeunes participants ont partagé également le prix, et ce, qu’il y ait une ouverture ou deux pour accéder au prix. De plus, chaque paire d’enfants a été testée plusieurs fois.

La règle du partage était strictement respectée et les enfants séparaient leur butin sans connaître de conflit. Il n’est arrivé que très rarement que l’un d’eux ait tout pris et que l’autre ait dû lui dire : « Ce n’est pas juste ». Finalement, lorsque l’un des enfants ne prenait pas sa partie, l’autre lui tendait.

Ce comportement met en lumière notre compréhension de la coopération. Il semble qu’instinctivement, nous voyons que si nous faisons quelque chose en équipe, nous avons chacun à y gagner.