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L’amour chez les jeunes : quel est le rôle des parents?

Des statistiques compilées par les Centers for Disease Control à Atlanta révèlent que :

– Une adolescente sur quatre qui vit une relation dit qu’elle a été menacée ou victime de violence verbale, et 13 % des adolescents disent qu’ils ont été physiquement blessés intentionnellement par un petit ami ou une petite amie;

– 45 % des filles connaissent un ami ou un collègue qui a subi des pressions pour avoir des relations sexuelles ou du sexe oral;

– Une personne sur cinq confie avoir déjà envoyé par courrier électronique ou posté des photos ou des vidéos de son partenaire nu, ou encore avoir ridiculisé ou harcelé un autre jeune sur les réseaux sociaux.

L’ère de la technologie a d’ailleurs ouvert de nouvelles avenues pour un mauvais comportement, voire illégal, chez les adolescents.

Pour venir en aide aux jeunes qui ont des fréquentations, les spécialistes conseillent aux parents de bien communiquer, d’être ouverts d’esprit et attentifs.

Les adultes devraient connaître les amis de leurs enfants et être prêts à intervenir de manière « positive » en cas de problème. Les parents doivent être à l’affût des relations « toxiques ».

On doit définir les valeurs et les attentes familiales et en discuter fréquemment. Il est recommandé de commencer très tôt à enseigner et parler de réalités sentimentales et sexuelles avec son enfant.

Ne faites pas abstraction des conséquences lourdes que certains gestes peuvent engendrer. Finalement, n’hésitez pas à vérifier subtilement et aléatoirement le contenu des cellulaires et ordinateurs de vos jeunes.

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Trouver le bon partenaire en se fiant à l’odeur

Les femmes qui souhaitent avoir une relation sérieuse devraient se fier à leur odorat pour savoir si leur partenaire potentiel a une maladie transmissible sexuellement.
 
Le Journal of Sexual Medicine affirme que des recherches démontrent que les hommes ayant une gonorrhée ont une odeur de « pourriture », selon les dires des femmes.
 
On a demandé à 34 hommes de 17 à 25 ans de fournir des échantillons de sueur des aisselles et de salive. 13 d’entre eux avaient une gonorrhée, 16 étaient en bonne santé, et 5 étaient guéris de cette maladie.
 
18 femmes de 17 à 20 ans se sont prêtées au jeu de sentir les échantillons. Elles ont mentionné que 50 % des hommes qui étaient infectés avaient une mauvaise odeur, 30 % des hommes en bonne santé et 40 % de ceux qui étaient guéris.
 
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Les hommes avec un moins bon salaire sont plus infidèles

Selon une étude présentée lors de la rencontre annuelle de l’Association américaine de sociologie, les hommes qui ont un moins bon salaire que leur conjointe seraient plus susceptibles de leur être infidèles pour rétablir leur masculinité.
 
« Gagner moins d’argent que sa partenaire féminine peut menacer l’identité masculine des hommes en remettant en cause la notion traditionnelle qui les définit comme ceux qui subviennent aux besoins de la famille. Ce lien de cause à effet peut être particulièrement prononcé dans certains groupes de la population fortement attachés à une masculinité traditionnelle, comme les hommes d’origine latino-américaine », explique Christin Munsch, chercheuse de l’Université Cornell aux États-Unis.
 
En effet, les hommes d’origine hispanique moins bien rémunérés que leur partenaire sont plus infidèles que les autres.
 
À l’inverse, l’étude met aussi en lumière le fait que chez la femme, un revenu moindre se traduit par une plus grande fidélité généralement.
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Avertir ses partenaires grâce à Internet

Avec l’implantation du site Internet Inspot à Toronto et Ottawa, ainsi que dans une dizaine de villes américaines, il est maintenant possible pour une personne atteinte d’une infection transmissible sexuellement (ITS) d’avertir de façon anonyme ses partenaires sexuels.

Depuis la mise en place de ce service, 80 000 personnes ont reçu un message leur mentionnant qu’elles avaient eu des rapports sexuels avec une personne atteinte d’une ITS.

« Le signalement des MTS aux partenaires sexuels est une priorité des autorités de santé publique depuis les années 1930. Mais l’opprobre qui entoure ces maladies pose problème. Les gens qui en ont craignent de le révéler à leurs partenaires, particulièrement si la relation est terminée ou s’il s’agit d’une aventure d’un soir », a souligné Jeff Klausner, professeur à l’Université de Californie à San Francisco, qui s’est penché sur la popularité croissante d’Inspot.