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La violence conjugale encore plus fréquente chez les partenaires de même sexe

Une nouvelle étude menée par Northwestern Medicine affirme cependant que c’est le cas. Seulement, depuis les années 1970, les recherches se concentraient surtout sur les femmes victimes de violence de la part de leur partenaire de sexe masculin.

Selon Science World, le taux de partenaires gais, lesbiennes ou bisexuels qui subissent un abus physique ou verbal ou des menaces de leur tendre moitié pourrait aller jusqu’à 75 %, mais pour le moment, la vue d’ensemble est encore floue.

On affirme même que le taux pourrait être encore plus élevé. Richard Carroll, responsable de la recherche, explique cette violence du fait que ces couples représentent une « minorité sexuelle », ce qui « exacerbe la violence conjugale due au stress ».

Les spécialistes de la santé, indique Carroll, doivent s’ouvrir à cette possibilité. « Nous devons les éduquer à la présence de ce problème. »

L’étude a été publiée dans la revue Journal of Sex & Marital Therapy.

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Les troubles familiaux se répercutent au travail

Une nouvelle étude en collaboration entre l’Université d’East Anglia Norwich Business School et la Complutense University de Madrid a mis en lumière l’aspect négatif des inquiétudes familiales.

Il s’agirait, en fait, d’un cercle vicieux, rapporte Science World Report. Les chercheurs affirment que d’être préoccupé par le contexte familial augmente les risques de conflits avec les collègues qui, en retour, donnent lieu à des prises de bec avec le partenaire lorsqu’on rentre à la maison.

Les participants à cette recherche étaient âgés en moyenne de 42 ans. En tout, 80 couples ont été interrogés. Ceux-ci travaillaient dans 25 industries différentes. Ils devaient remplir 2 fois par jour un questionnaire pendant la semaine de travail, et près de 70 % d’entre eux avaient au moins 1 enfant.

On leur a demandé, à la base, de déterminer jusqu’à quel niveau les conflits familiaux avaient des conséquences sur leur concentration au travail. On leur demandait aussi d’indiquer le niveau d’interactions négatives et de rudesse avec les collègues et leur partenaire, le tout étant clairement interrelié.

Les informations ont été transmises par le British Psychological Society’s Journal of Occupational and Organizational Psychology.

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Les antirétroviraux pourraient aider à diminuer le risque de transmission du VIH

Des essais cliniques menés aux États-Unis par les National Institutes of Health (NIH) démontrent que les personnes séropositives qui prennent des antirétroviraux plus rapidement ont moins de chances de transmettre le VIH à leur partenaire séronégatif. En fait, les risques seraient réduits de 96 %, selon les NIH.
 
« Cet essai clinique montre de façon convaincante que traiter des séropositifs avec des antirétroviraux au plus tôt peut avoir un impact majeur pour réduire la transmission du VIH », affirme le Dr Anthony Fauci des NIH.
 
1 760 couples ont participé à cette recherche.
 
Récemment, en Afrique, on a interrompu une étude clinique sur le comprimé Truvada contre le VIH/sida, faute de résultats concluants.
 
Pourtant, l’automne dernier, avec ce même médicament testé auprès d’hommes homosexuels, on avait noté une baisse de 44 % du risque de nouvelle infection et jusqu’à 73 % moins de risques chez ceux qui prenaient le médicament le plus assidument.
 
Cette fois, auprès des femmes, les résultats étaient totalement différents et on ignore pourquoi.
 
Rappelons que 65 000 personnes au Canada sont séropositives.
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Les gens stressés choisissent des partenaires qui sont à l’opposé

Un groupe d’hommes hétérosexuels a participé à une étude sur le stress en Allemagne et aux États-Unis.
 
Ces hommes devaient regarder des images de visages de femmes dans des états de calme et de stress. Ils devaient plonger les mains dans de l’eau soit à température agréable, ce qui les gardait calmes, soit à température intolérable, ce qui les plaçait en état de stress.
 
Selon la revue Proceedings of the Royal Society B: Biological Sciences, les chercheurs des universités de Trier en Allemagne et de Wake-Forest aux États-Unis ont constaté que dans un état calme, les hommes choisissaient inconsciemment des femmes qui leur ressemblaient. Alors que durant un stress, ils préféraient des femmes qui étaient différentes.
 
« Le stress est connu pour avoir des effets majeurs sur de nombreux aspects de notre comportement, surtout négativement. Toutefois, le fait qu’il ait également un impact sur nos choix d’une partenaire d’une façon si capitale est très étonnant. Ce serait aussi intéressant si le choix d’un partenaire chez les femmes était affecté de façon similaire », explique le psychologiste de l’université de Trier, Christian Dieter.
 
En général, les gens stressés préfèrent les personnes qui ne le sont pas. Par contre, les gens calmes, eux, préfèrent choisir des partenaires qui leur ressemblent.