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Pour éviter de déclencher trop tôt l’accouchement, il ne faut pas s’aliter

Depuis des générations, les médecins ont tous la même réponse lorsque vous ressentez des contractions avant le temps ou que trop tôt durant la grossesse, vous traversez quelques complications. Selon l’étude soumise auprès de 646 femmes, l’alitement devrait au contraire être évité.

Les candidates avaient été séparées en plusieurs groupes. Les facteurs tenus en compte étaient l’arrêt partiel ou total de vie sexuelle et l’arrêt ou non au travail. De même, le repos suggéré était pris en considération. Certaines devaient être alitées en permanence, d’autre de façon partielle.

Au terme de l’étude, 37 % des femmes alitées avaient accouché avant terme, contre seulement 17 % chez les femmes qui avaient poursuivi leurs activités quotidiennes.

Les résultats obtenus démontrent non seulement l’inefficacité de l’alitement, mais les chercheurs suggèrent également que cette méthode augmente considérablement le stress et l’anxiété, des facteurs directement reliés aux accouchements prématurés.

De plus, Famili rappelle que les longues périodes au lit entrainent une atrophie musculaire et osseuse, en plus de créer un risque supplémentaire de formation de caillots de sang.

D’autres études seront nécessaires, mais le Collège américain des obstétriciens, déjà, soutient cette recherche.

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Du sommeil de qualité pour contrer l’obésité

Santelog.com rapporte une étude de l’Académie de Nutrition et de Diététique, qui affirme pouvoir faire une corrélation entre le manque de sommeil et la prise de poids substantielle.

Ainsi, lorsque vient le temps de construire un plan de match pour perdre des kilos en trop, il faudrait inclure le sommeil dans sa stratégie. Il est facile (et normal) de se concentrer sur son régime alimentaire et sur les exercices physiques, mais si on n’en dort plus la nuit, les effets seront plus limités, toujours selon l’étude.

Plusieurs recherches ont déjà démontré certaines corrélations entre le manque de sommeil partiel (moins de six heures par nuit), et il semble qu’elles avaient raison.

De fait, les gens dorment de moins en moins et gagnent du poids, un facteur souvent oublié par les praticiens et nutritionnistes, souligne la professeure Sharon Nickol-Richardsons, de l’Université de Pennsylvanie.

Son équipe a étudié d’autres recherches publiées entre 1996 et 2011 afin de faire la corrélation entre la privation de sommeil et son effet sur l’organisme.

Les chercheurs concluent qu’en plus de nuire au métabolisme, le manque de sommeil augmente l’appétit, ou l’impression d’avoir faim, deux facteurs qui ne favorisent en rien la perte ou la régulation de poids.