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Des vies prolongées grâce à un virus modifié

Le magazine britannique Nature Medicine a publié un rapport qui relate certains tests concluants effectués sur des patients atteints du cancer du foie, qui ont vu leur vie être prolongée grâce à une nouvelle percée médicale prometteuse.

De fait, ce sont 30 patients en phase terminale de la maladie qui ont reçu le traitement, que l’on décrit comme un virus modifié capable de cibler les cellules cancéreuses.

C’est clairement la nouvelle approche de la communauté scientifique en matière de cancer, c’est-à-dire de créer des éléments qui peuvent « tuer » les cellules cancéreuses.

On a pu observer que les patients qui avaient reçu des doses importantes de ce virus modifié, appelé Pexa-Vec, ont prolongé leur vie de 7 à 14 mois en moyenne, selon les sujets.

« C’est la première fois dans l’histoire de la médecine que nous avons pu montrer qu’un virus issu du génie génétique pouvait améliorer la survie de patients atteints du cancer », lance David Kim, coauteur des recherches.

La chimiothérapie a ses limites, de l’aveu même des spécialistes, et de telles techniques permettraient de combattre sur plusieurs fronts et sur une période de temps plus longue.

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Des médecins qui ressentent votre douleur

De nouvelles recherches tendent à démontrer que certains médecins peuvent littéralement ressentir la douleur de leurs patients, selon The National Library of Medicine.

Aussi étonnante que spectaculaire, cette théorie semble bien réelle aux yeux des chercheurs et des auteurs de ces recherches. Pour en arriver à une telle conclusion, ceux-ci ont tout bonnement numérisé les cerveaux de plusieurs médecins placés en simulation, et ont analysé les réactions du cerveau face à leurs actions.

Surprise, plusieurs réactions empathiques ont été remarquées chez un nombre respectable de sujets, et les activités cérébrales subséquentes ont été tout aussi vérifiables.

« C’est l’effet placebo, mais du point de vue du médecin », croit Ted Kaptchuk, directeur de programme à l’école de médecine de Harvard, notamment.

Karin Jensen, coauteure de cette recherche, en rajoute : « Non seulement les médecins et praticiens ressentent l’effet miroir de la douleur de leurs patients, mais ils vont aussi créer des sentiments de soulagement et d’espoir, à l’image de ceux qu’ils traitent ».

La plupart des 18 médecins participants à cette recherche ont ressenti de l’empathie pour leurs patients, ce qui fascine les chercheurs.

D’autres ont démontré beaucoup moins d’émotions face aux patients et aux traitements qu’ils recevaient, ce qui laisse croise aux chercheurs qu’il vaudrait mieux se trouver un médecin de famille qui est capable d’empathie, pour de meilleurs traitements.

 

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Des poumons de fumeurs approuvés pour transplantation

Une étude incroyable affirme que certains fumeurs chroniques seraient tout de même éligibles comme donneurs, rapporte The National Library of Medicine.

On parle bien sûr ici des poumons, des organes que l’on aurait cru impossible de prélever sur des donneurs fumeurs. Encore moins sur des fumeurs chroniques depuis 20 ans (un paquet par jour), mais il semble que la réalité soit toute autre.

En fait, selon les chercheurs américains en tête de l’étude, plusieurs personnes en attente de greffe pulmonaire pourraient bénéficier de poumons de fumeurs, puisque ceux-ci ne seraient pas toujours nécessairement très endommagés, apprend-on.

Un fumeur peut très bien présenter des activités pulmonaires et respiratoires tout à fait normales, croit le Dr Sharven Taghavi, de l’hôpital universitaire Temple de Philadelphie.

Il explique : « Nos découvertes démontrent que les critères actuels concernant les transplantations pulmonaires pourraient être revus afin d’inclure les gens avec un passé de fumeur. Cela pourrait faire baisser les listes d’attente, ainsi que les taux de mortalité ».

« Par exemple, un chirurgien pourrait décider d’accepter des poumons sains d’un fumeur en bonne santé. D’autres poumons moins “bons” pourraient aussi permettre de sauver la vie de personnes en seuil critique, près de la mort. »

Voilà qui a de quoi surprendre, mais qui s’avère une excellente nouvelle.

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Nouvelle recherche concernant les pilules de chimiothérapie

The National Library of Medicine rapporte des conclusions tirées d’une nouvelle recherche effectuée dans le dossier des pilules de chimiothérapie, une nouvelle façon de faire en oncologie.

Le premier constat parle d’une efficacité notable pour ce nouveau traitement, certains patients réagissant mieux à ce format qu’à celui intraveineux. De plus, il semble qu’il soit plus facile de cibler et combattre certaines formes de cancer avec cette chimiothérapie en pilules qu’avec la formule précédente.

Malheureusement, le principal problème avec cette méthode est que la posologie n’est souvent pas respectée. On constate que beaucoup de patients ne respectent pas les doses ou les recommandations, ce qui vient fausser les données et les traitements.

De plus, certains effets secondaires ont été observés, notamment des douleurs, des nausées, de la diarrhée, de la fatigue et des réactions cutanées. Ceci n’est rien pour aider les patients à respecter les règles établies, puisque plusieurs décideraient de « sauter » des doses afin d’éviter certains de ces désagréments.

« Les prescriptions pour ces pilules comprennent des instructions souvent complexes. Certaines d’entre elles demandent aux patients de prendre les comprimés plusieurs fois par jour, puis une seule, puis d’arrêter le traitement, pour enfin reprendre de multiples doses quotidiennement. Ça peut devenir très compliqué, surtout pour ceux qui subissent plusieurs traitements en même temps », lance l’auteure en chef de l’étude, Sandra Spoelstra.

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Lacunes observées dans la prévention de l’alcoolisme

Une étude rapportée par The National Library of Medicine fait état de certaines lacunes dans le dépistage ou la prévention de l’alcoolisme.

Les praticiens ne parviendraient pas, dans une majorité de cas, à diagnostiquer avec précision les cas d’alcoolisme chez leurs patients, explique l’étude.

Au lieu de se fier simplement à leur instinct et aux indices présentés par les patients, les médecins devraient utiliser certaines méthodes de dépistage connues, croient les auteurs de l’étude.

Après avoir compilé les données des dossiers de près de 1700 patients, les auteurs constatent que l’absence de diagnostic d’alcoolisme est observable dans 70 % des cas.

Il s’agit d’un constat alarmant, comme l’explique Bruce Goldman, directeur des Substance Abuse Services de l’hôpital Zucker Hillside de Glen Oaks (États-Unis).

« La consommation massive et à haut risque d’alcool est un contributeur majeur à plusieurs graves problèmes de santé observables dans notre société. Les praticiens sont parfaitement positionnés pour déceler ces troubles et diagnostiquer des problèmes de consommation chez leurs patients. »

Si plusieurs experts corroborent ces dires, d’autres affirment qu’il est plus difficile d’y parvenir en pratique qu’en théorie. Selon eux, plusieurs patients seraient réticents à consulter s’ils constataient que leur médecin se concentre davantage sur un problème d’alcool possible que sur leurs symptômes du moment.

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L’hypersexualité démystifiée

Une panoplie de chercheurs de toutes spécialités ont joint leurs forces afin de boucler une étude qui démystifierait une fois pour toutes le concept vague connu sous le nom d’« hypersexualité ».

L’étude s’est effectuée sur 207 patients âgés de 18 ans ou plus qui avaient recours à des soins en santé mentale, rapporte Santelog.com. Du nombre, 152 avaient consulté pour des problèmes de sexualité trop présente dans leur vie.

L’équipe de chercheurs, composée de psychiatres, psychologues, travailleurs sociaux (et autres thérapeutes), a alors tenté de s’entendre sur les notions de symptômes et de diagnostics dans le cas de l’hypersexualisation.

Les résultats de ce système de « jury » démontrent que ce n’est pas tous les patients qui étaient en problème réel. Du lot, 32 patients ont été gardés en observation, et seulement 29 (sur 207 au début) ont officiellement reçu un diagnostic de trouble d’hypersexualité.

Les symptômes « officiels » qui découlent de l’étude sont donc : fantasmes récurrents et intenses, violents, accompagnés de pulsions qui prennent trop de place dans la vie quotidienne, au point de nuire au développement social. Réagir au stress par des comportements sexuels est aussi du nombre.

Aussi, si une personne tente de maitriser ses pulsions et problèmes et qu’elle en est incapable, ou qu’elle a des comportements sexuels extrêmes sans aucune notion de danger ou de préjudice physique, elle est touchée.

Au final, les chercheurs préfèrent parler de « trouble de la personnalité » plutôt que de dépendance.

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Les stimulateurs cardiaques devraient être installés à plus grande échelle

Une étude menée sur 9 000 personnes démontre que les stimulateurs cardiaques devraient être installés beaucoup plut tôt, en plus de l’être sur des personnes qui n’ont que des problèmes cardiaques mineurs.
 
Jusqu’ici, ces petites machines étaient réservées à des personnes souffrant de problèmes graves seulement. Justin Ezekowitz, chercheur à l’Université de l’Alberta, vient d’effectuer la plus vaste étude jamais réalisée sur le sujet et elle confirme des résultats antérieurs.
 
Chez les 9 000 participants à la recherche, on a noté que les problèmes avaient considérablement diminué avec le stimulateur cardiaque, de même que le nombre de visites à l’hôpital. Ces stimulateurs auraient plutôt augmenté la qualité de vie des patients ainsi que leur longévité.
 
Plusieurs personnes, comme M. Victor Timmins, 83 ans, ont rapporté se sentir beaucoup mieux depuis qu’elles avaient un stimulateur. Cela leur permettait de faire des choses qu’elles ne pouvaient pas effectuer avant.
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La vitamine C pour traiter les patients en soins de courte durée

Des chercheurs québécois révèlent que la vitamine C permet d’améliorer considérablement et de façon notable l’humeur des patients hospitalisés en soins de courte durée.
 
Selon le Dr L. John Hoffer et ses collègues de l’Hôpital général juif de Montréal et de l’Institut Lady Davis de recherches médicales, le traitement à la vitamine C est sécuritaire, simple et abordable.
 
Le journal Nutrition rapporte que les chercheurs ont donné aux patients soit de la vitamine C ou de la vitamine D pendant sept à dix jours. Les personnes ayant eu de la vitamine C ont vu leur humeur être grandement améliorée. Ceux ayant pris de la vitamine D n’ont eu aucun changement.
 
La vitamine C est reconnue notamment pour contenir de nombreuses propriétés antioxydantes.
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L’acupuncture pour les patients cancéreux

Selon le Dr Mark S. Chambers, de la Faculté d’oncologie dentaire de l’Université du Texas, les traitements d’acupuncture pourraient enlever l’impression de bouche sèche provoquée par les traitements de radiation chez des sujets souffrant d’un cancer à la tête.

« La qualité de vie des patients qui se plaignaient de xérostomie a grandement été améliorée. Ce type de trouble s’accompagne aussi de caries dentaires, d’infections buccales et de difficultés à parler, manger et avaler », a souligné le Dr Chambers.

Cette étude a été menée auprès de 19 patients qui ont reçu 2 traitements d’acupuncture hebdomadaires pendant 4 semaines. Leur état s’est grandement amélioré au cours de la recherche, dont tous les détails se trouvent dans le site Web de Head & Neck.

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Des robots distributeurs de médicaments

Le Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) met officiellement en place un mode de distribution des médicaments effectuée par des robots.

Auparavant, cette tâche était effectuée par le personnel infirmier, qui aura plus de temps à consacrer à ses patients, espère le directeur général par intérim de l’établissement, M. Serge LeBlanc.

Chaque médicament, enveloppé dans des sachets individuels, sera vérifié par les pharmaciens avant d’être distribué par les robots.

Grâce à ce nouveau mode de distribution, le CHUM évalue que chaque infirmière pourra consacrer environ 30 minutes de plus à d’autres tâches. De plus, le risque d’erreur au niveau des ordonnances est réduit considérablement.