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Patrick Roy veut que ses joueurs sacrifient leur corps pour gagner en séries

Gagner en séries éliminatoires, Patrick Roy sait comment ça fonctionne. Il l’a fait avec les Canadiens et l’Avalanche en tant que joueur, puis avec les Remparts en tant qu’entraîneur-chef. Cette fois, il veut le encore le faire comme entraîneur-chef, mais dans la LNH.

Les Islanders ont réussi à se qualifier en troisième position de la division Métropolitaine et feront face aux Hurricanes de la Caroline au premier tour. Même si les Hurricanes sont favoris dans ce duel, Roy connait la technique qu’il faut avoir pour gagner en séries.

En conférence de presse après l’entraînement des Islanders, vendredi, Roy a expliqué que, pour gagner, les joueurs doivent sacrifier leur corps.

 

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« Es-tu prêt à sacrifier ton corps pour l’équipe? C’est ce qu’on faisait chaque fois que j’ai gagné la Coupe Stanley. » – Patrick Roy

Roy a absolument raison. Si on se transporte en 1993, alors que les Canadiens affrontaient les Nordiques de Québec au premier tour des séries, on peut se souvenir d’une séquence où Roy a sacrifié son corps pour le bien de l’équipe.

Alors que les Canadiens menaient par deux buts lors du match numéro cinq, Roy a dû céder sa place à André Racicot après avoir reçu un tir à l’épaule droit. Il n’était plus capable de lever son bras. Racicot a accordé deux buts et Roy a décidé de juste mettre de la glace sur la blessure et de revenir dans le match.

Disons qu’on connait tous la suite. Il a aidé les Canadiens à remporter le match et, quelques semaines plus tard, la coupe Stanley.

Sacrifier son corps est un aspect important du hockey des séries, mais ça ne te donne toutefois pas automatiquement le champ libre vers une conquête de la coupe Stanley.

L’un des meilleurs exemples est celui d’Aaron Ekblad, l’an dernier, qui avait subi une fracture à un pied, deux épaules disloquées et une déchirure au muscle oblique pendant la série de premier tour des Panthers. La Floride n’a toutefois pas pu soulever la coupe Stanley.

New York devra donc faire preuve d’acharnement pour tenter de devenir l’équipe cendrillon de l’année dans la LNH. Suivre les conseils de Patrick Roy semble être un bon début.

Les Islanders amorceront leur parcours éliminatoire samedi, à 17h, contre les Hurricanes de la Caroline.

En rafale

– Il ne manquera pas de mariage chez les joueurs du Canadien cet été.

– Daniel Brière ne veut plus de Denis Gurianov avec les Flyers.

– Une drôle de saison pour Calgary.

– Un bel avenir pour le Canadien devant le filet.

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Lou Lamoriello encore satisfait de l’embauche de Patrick Roy malgré les déboires de l’équipe

Après avoir été l’équipe de l’heure dans la LNH, les Islanders sont de retour dans une passe difficile à l’approche des séries éliminatoires. Si la tendance se maintient, la formation new-yorkaise ne ferait même pas partie du tournoi printanier.

Pourtant, ça ne semble pas dérangerer Lou Lamoriello, qui a avoué toujours être satisfait de l’embauche de Patrick Roy en tant qu’entraîneur-chef de l’équipe. Il a dévoilé cette information à François Gagnon de RDS lors de la rencontre des directeur généraux de la LNH.

Lamoriello trouve que Roy fait de l’excellent travail avec les joueurs et qu’il est heureux d’apprendre à le connaître de jour en jour. Il faut comprendre qu’il s’agit de deux hommes très intenses dans la vie et qu’il n’est nullement surprenant de les voir s’entendre à merveille.

Le problème, c’est que les Islanders sont de retour dans la misère et traversent une passe très difficile. Ils se sont inclinés lors de leurs cinq derniers matchs.

Les deux dernières rencontres contre de gros clubs comme les Hurricanes et les Rangers, ça peut passer, mais perdre contre les Sabres et les Sénateurs alors que l’équipe se bat pour une place en séries, c’est lourd.

L’équipe a non seulement souffert psychologiquement de cette séquence, mais elle a surtout dégringolé au classement général. Voici la différence entre le classement du 10 mars et celui en date du 20 mars.

Classement de la LNH en date du 10 mars 2024
Classement de la LNH en date du 20 mars 2024

En date du 10 mars, les Islanders avaient le vent dans les voiles avec une séquence de six victoires consécutives. Pendant ce temps, les Red Wings en arrachaient et on semblait assister à un retour en force des Islanders.

Tout s’est écroulé et le temps commence à presser pour la troupe de Patrick Roy. New York n’est qu’à trois points d’une place en séries, mais à ce rythme, ça risque d’être difficile de remonter la pente.

La rencontre de jeudi contre Détroit sera une des plus importante pour la troupe de Patrick Roy. On parle ici d’un de ces fameux matchs de quatre points, où on peut en gagner deux tout en privant son adverse d’en avoir.

Une victoire remettrait l’équipe sur le droit chemin, mais une défaite pourrait être un coup presque fatal.

Le pire dans tout ça, c’est que la formation de Roy n’a marqué que cinq buts à ses cinq derniers matchs, se faisant du même coup blanchir à deux reprises.

La bonne nouvelle, c’est que Patrick Roy ne pointe pas seulement ses joueurs du doigt. Il prend aussi une partie du blâme. En conférence de presse après la défaite de 4 à 1 contre les Hurricanes, mardi, il a avoué qu’il a quelques changements a apporter lui aussi.

Il laisse ses joueurs avoir des présences trop longues sur la patinoire et ça semble être un gros facteur dans leur séquence de défaite.

Il ne faut donc pas considérer les Islanders comme une cause perdue, mais ils devront retrouver le chemin de la victoire très rapidement s’ils veulent espérer participer aux séries éliminatoires de la LNH.

En rafale

– De vrais experts!

– Il ne lui reste qu’à conserver la cadence pendant plusieurs années.

– Une bonne soirée de travail pour Evans.

– Une tâche difficile pour les Canadiennes.

– Un petit nouveau chez les Stars.

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Jonathan Roy est très fier de son père, Patrick Roy

Jonathan Roy, qui a déjà joué au hockey pour son père il y a quelques années avec les Remparts de Québec, connaît Patrick Roy autant au plan personnel que professionnel.

Le chanteur a d’ailleurs tenu à le féliciter pour son nouveau poste d’entraîneur-chef avec les Islanders de New York, dans un message Instagram où l’on peut voir toute la fierté qu’il a pour son père.

«Tellement fier de mon père et de cette nouvelle aventure qui l’attend avec le @ny_islanders… Je suppose que je vais à nouveau regarder le hockey. Sa détermination et sa volonté de gagner apporteront certainement quelque chose de spécial à ce groupe d’humains. Crush it dad!», témoigne avec amour Jonathan.

Cette grande nouvelle qui a été annoncée dans les derniers jours fait le bonheur du grand public, en plus de celle de sa famille.

Toutes nos félicitations aux Roy!

Écouterez-vous les matchs des Islanders?

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Patrick Roy confirme qu’il va prendre du repos cet hiver

Ce soir avait lieu la cérémonie d’intronisation du Temple de la renommée du hockey. Pour l’occasion, plusieurs joueurs et joueuses ont été honorés devant d’autres membres du Temple, incluant Patrick Roy.

Patrick Friolet de RDS en a profité pour lui poser quelques questions sur les gardiens de but intronisés cette année. On parle ici de Henrik Lundqvist, Mike Vernon et Tom Barrasso.

Sauf que Friolet a quand même pris le temps de lui demander si son téléphone sonnait souvent ces temps-ci. Roy a été bon joueur et a répondu franchement, même si ça peut en décevoir plus d’un.

« Je prévois aller passer une bonne partie de l’hiver en Floride. Ça va être un hiver plutôt relax. » – Patrick Roy

Ça ne veut pas dire que Roy ne fera pas un retour derrière un banc de la LNH un jour, seulement que ça ne devrait pas être pour cette saison. Ça risque de calmer plusieurs personnes qui souhaitaient de tout cœur le voir remplacer DJ Smith à la barre des Sénateurs d’Ottawa.

Les rumeurs s’étaient enflammées lors des derniers jours. Norman Flynn avait déclaré que l’ancien gardien du Canadien avait été aperçu à Kanata. Ç’a aidé à alimenter les rumeurs alors que les Sénateurs sont à la recherche d’un directeur général et que le poste de D.J. Smith comme entraîneur-chef ne tient qu’à un fil.

Des journalistes de Québecor ont toutefois réfuté cette affirmation de Flynn, expliquant que Roy était en fait à Québec la journée où il était supposément à Kanata.

Roy a aussi profité de l’occasion pour parler des joueurs intronisés qu’il a côtoyés. Il a surtout pris le temps de parler de son ancien coéquipier, Pierre Turgeon, qui était un excellent joueur et une tout aussi bonne personne selon ses propos.

Les rumeurs risquent donc de se calmer pour quelque temps, pendant que Patrick Roy va relaxer avec un verre au bord de la plage. Mais quand on parle de Patrick Roy, les rumeurs peuvent revenir en force en un rien de temps.

En rafale

– Oui monsieur.

– C’est bien mérité.

– C’était un problème hier.

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Mathieu Dandenault : les joueurs des Wings respectaient Patrick Roy, mais le détestaient aussi

Les Red Wings et l’Avalanche ont donné lieu à une des plus grandes rivalités de l’histoire du hockey à la fin des années 90 et au début des années 2000. Le joueur le plus détesté des Red Wings était Patrick Roy.

C’est du moins ce qu’a affirmé le Québécois Mathieu Dandenault lors de son passage à la station de radio TSN 690 de Montréal.

« Je suis un grand fan de Patrick (Roy), mais nous détestions tous Patrick (Roy). […] Mais nous avions tout le respect du monde pour lui. » – Mathieu Dandenault

Les joueurs n’aimaient pas Patrick Roy parce qu’il était tout simplement trop bon. Selon Dandenault, Roy avait un certain « swagger », qui le rendait détestable.

Il était si dérangeant pour les Red Wings que l’organisation a été chercher Dominik Hasek pour une seule et bonne raison : neutraliser et contrer Patrick Roy. C’est complètement fou. Imaginez que le CH effectue une transaction pour aller chercher un gardien top-3 de la LNH seulement pour contrer Linus Ullmark des Bruins.

La rivalité entre Détroit et le Colorado était très intense. Comme l’explique Dandenault, Joe Sakic est un des joueurs les plus appréciés dans le monde du hockey, mais il était détesté par tous les joueurs des Red Wings pendant ces quelques années d’intense rivalité.

L’effet Patrick Roy a fonctionné avec l’Avalanche, lui qui a remporté deux Coupes Stanley pendant son passage au Colorado.

Même s’il a passé neuf saisons dans l’uniforme des Red Wings, c’est surtout son passage à Montréal qui a marqué Mathieu Dandenault. Lors de l’entrevue, il explique avoir reçu plusieurs offres alléchantes d’équipes partout dans la LNH, mais qu’il a finalement accepté un plus petit montant pour jouer avec le Tricolore.

Regrette-t-il cette décision? Pas du tout. Il a adoré jouer à la maison devant sa famille et ses amis. Ce qui l’a le plus marqué, c’est de pouvoir faire partie de l’organisation des Anciens Canadiens.

Parlant des Anciens Canadiens, Mathieu Dandenault a créé une enchère sur le site de l’organisation ou les gens peuvent essayer de se mériter un après-midi sur son ponton avec lui.

En rafale

– Drôle d’excuse.

– Il a attiré beaucoup de partisans, c’est certain.

– Ça n’ira pas plus loin.

– Les Packers ont confiance en leur nouveau quart.

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Patrick Roy remporte la Coupe Mémorial à sa dernière année dans la LHJMQ

C’est en ce dimanche soir que la finale de la Coupe Mémorial avait lieu. Bien que ce soit un tournoi de la Ligue canadienne de hockey, les Remparts de Québec affrontaient les Thunderbirds de Seattle.

Plutôt ironique que ce soit une équipe américaine qui soit en grande finale du tournoi junior canadien.

Du côté de Seattle, les partisans du Canadien de Montréal gardaient un oeil sur l’espoir du CH, Jared Davidson.

Le talentueux attaquant de 20 ans a connu une très bonne saison et se situait au troisième rang des pointeurs de la Coupe Mémorial (6 points) avant ce match ultime. Le natif d’Edmonton est derrière son coéquipier Kyle Crnkovic (8 points) et Logan Stankoven (9 points).

C’était aussi le dernier match de Patrick Roy derrière le banc des Remparts. Il y a de l’intérêt pour lui dans la LNH et pourrait se retrouver du boulot dans la grande ligue, après son passage de trois ans avec l’Avalanche du Colorado de 2013 à 2016.

Les Remparts sont tout feu tout flamme dans leurs 29 derniers matchs, eux qui n’ont perdu que trois fois durant cette séquence.

Fait intéressant, les deux équipes sont au sommet de la LCH pour le moins de buts accordés en saison régulière. Seattle est premier avec 155 buts alloués, alors que Québec est à 160.

La première période a été chaudement disputé alors que les deux clubs ont eux quelques bonnes chances de s’inscrire au pointage.

C’est les Remparts qui ont fait scintiller la lumière rouge pour la première fois du match.

Lors d’une montée à deux contre un, le défenseur Vsevolod Komarov a complété la passe de Kassim Gaudet. Nathan Gaucher a aussi été crédité d’une mention d’aide.

C’est sur un pointage de 1-0 que la première période s’est terminé. Seattle a mené 10-9 au chapitre des tirs.

Pas moins de huit pénalités mineures ont été décernées lors de cet engagement. Le petit frère de Kirby Dach, Colton, a été puni à deux reprises.

Québec a été puni trois fois, alors que Seattle ont eu cinq joueurs au cachot dans la première période.

Encore une fois, la deuxième période était très serrée, mais un peu avant la mi-chemin du match, les Remparts ont doublé leur avance grâce à James Malatesta qui connait une Coupe Mémorial du tonnerre.

Il a inscrit son cinquième but en quatre matchs seulement et c’était son 10e but à ses neuf derniers matchs, si on prend en compte les séries de la LHJMQ.

Sur la séquence, Komarov a obtenu son deuxième point du match et Théo Rochette est l’autre complice du but de Malatesta.

Définitivement, les arbitres ont eu beaucoup de boulot à décerner des pénalités. Avec un peu plus de 6 minutes à faire, Reid Schaefer a retardé le match lors d’un désavantage numérique, ce qui a donné un 5 contre 3 aux Remparts.

Malheureusement pour la troupe de Patrick Roy n’a toujours pas concrétisé à son cinquième avantage numérique.

Même si les Thunderbirds ont écopé de huit pénalités mineures dans les deux premières périodes, dont une double, il y a eu trois 4 contre 4, ce qui n’a pas donné d’avantage numérique.

Cette fois-ci, Québec a eu les devants au chapitre des tirs avec 12 tirs contre 11. Il y a maintenant une égalité à 21 tirs chacun.

Jusqu’ici dans ce match, on peut observer la grande efficacité du gardien des Remparts, William Rousseau, mais aussi le danger constant que Malatesta provoque. Ses qualités de franc-tireur ne peuvent pas être négligées, lui qui mène au chapitre des buts dans ce tournoi.

De son côté, Rousseau a été plus qu’excellent, bloquant tous les tirs dirigés vers lui.

Québec a continué à appliquer de la pression à Seattle et a contrôlé le reste du match, malgré quelques bonnes chances des T-Birds.

La pression a par la suite porté fruit, alors que Kassim Gaudet a complété la savante passe de Jordan Dumais avec moins de 8 minutes à faire au match..

Quelques minutes plus tard, les Remparts ont enfoncé le dernier clou dans le cercueil avec un quatrième but sans riposte. C’est Zachary Bolduc qui a inscrit le but.

Finalement, Charles Savoie a inscrit le cinquième but de son équipe pour officiellement enterrer le cercueil.

C’est donc sur un pointage de 5-0 en faveur de Québec que le match s’est terminé.

On peut imaginer à quel point c’est la folie à Québec présentement. Lorsque les Remparts reviendront à la maison, les partisans de Québec les attendront à l’aéroport, lundi.

Cette victoire des Remparts constitue leur quatrième Coupe Mémorial de leur histoire et c’est du même coup le quatrième triomphe consécutif d’un club de la LHJMQ, une première dans l’histoire.

En rafale

– Maintenant que le long parcours de Patrick Roy avec les Remparts est officiellement terminé, il peut maintenant se concentrer à trouver un nouveau boulot, idéalement dans la LNH. Il y avait les Blue Jackets de Columbus qui semblat donner de l’intérêt pour le bouillant entraîneur, mais avec l’annonce de Mike Babcock comme prochain coach, les Rangers de New York semble être l’équipe favorite pour combler son poste d’entraîneur-chef vacant.

– Maintenant que Jared Davidson est éliminé, son séjour dans les rangs juniors a pris fin. On peut se demander ce qui adviendra de lui. Il pourrait signer un contrat professionnel pour pouvoir rejoindre les Canadiens de Montréal dès l’an prochain. Il y a aussi l’option de signer un contrat avec le Rocket de Laval, ce qui ne serait pas une mauvaise chose non plus.

– Même si les Thunderbirds sont bien garnis en espoirs de premier tour, Québec a donné le ton tout au long du match, malgré les 12 joueurs de 19 ans ou moins.

– William Rousseau est le quatrième gardien de l’histoire à effectuer un jeu blans en finale de la Coupe Mémorial. Il a arrêté les 32 tirs dirigés vers lui

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Les Remparts ont vendu l’entièreté des billets du match #5 en… 18 minutes

Les séries de la LHJMQ retiennent l’attention du partisan de hockey moyen au Québec. Plusieurs espoirs du Canadien de Montréal se sont démarqués durant les séries éliminatoires dans la LHJMQ, comme Joshua Roy et Riley Kidney, entre autres.

Cependant, depuis l’élimination du Phoenix de Sherbrooke et des Olympiques de Gatineau, il n’y a plus d’espoirs du Tricolore à regarder dans la LHJMQ.

Heureusement, il y a toujours Logan Mailloux avec les Knights de London (OHL), Owen Beck avec les Petes de Peterborough (OHL) et Jared Davidson des Thunderbirds de Seattle (WHL) qui sont toujours en action dans les finales respectives de leur ligue.

Les Remparts de Québec, qui affrontent les Mooseheads d’Halifax en grande finale, ont la recette gagnante pour attirer les regards.

Encore une fois, Québec a épuisé ses billets lors d’un match de séries éliminatoires, mais cette fois-ci, ça a été fait en 18 minutes seulement.

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Et dire que pendant ce temps-là, il y a les Coyotes de l’Arizona qui peinent à survivre dans la LNH et qui jouent devant moins de 5000 personnes.

Je ne suis pas en train de dire que le retour des Nordiques devrait être envisagé plus sérieusement, mais cette statistique parle d’elle-même.

Parlant de statistique, en voilà une autre concernant les Remparts, ce qui démontre encore plus la passion du hockey des gens de Québec.

Rappelons que les Remparts ont vendu plus de 100% de leurs billets, alors que les Panthers de la Floride, eux qui ont récemment obtenu leur billet pour la finale de conférence, ont rempli à 98,23% leur capacité.

Tout simplement fou de voir une équipe junior à Québec jouer devant autant de partisans déchaînés, match après match.

Alors, pourquoi Gary Bettman s’entête à faire vivre les Coyotes, une équipe perçue comme étant la risée de la ligue, alors que des destinations comme Québec, Hartford ou même Milwaukee auraient mieux à offrir…

Ramener une équipe à Québec ferait possiblement revivre la rivalité Canadiens-Nordiques, ce qui engendrerait bien évidemment du profit pour la LNH.

Plusieurs savent que Bettman n’est pas le plus grand partisan du Canada en général, probablement encore moins du Québec (donc, forcément du CH). Ajouter une deuxième équipe québécoise aiderait la LNH et ça ferait une équipe supplémentaire à haïr pour le commissaire de la LNH.

À suivre. 

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Kevin Weekes lie mystérieusement Patrick Roy aux Rangers de New York

Les Rangers n’ont plus d’entraîneur-chef. Gerard Gallant a quitté l’équipe samedi et ils doivent trouver un remplaçant d’ici la prochaine saison. Ce n’est pas pressant, mais l’informateur Kevin Weekes semble déjà avoir trouvé un candidat intéressant.

Pour ceux qui n’avaient pas compris, Weekes lierait les Rangers de New York à Patrick Roy. Ce serait une solide bombe dans le monde du hockey.

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Roy a été entraîneur pendant trois saisons dans la LNH, lui qui occupait aussi le poste de vice-président des opérations hockey de l’Avalanche en même temps de les diriger. Il prenait l’entièreté des décisions en compagnie de Joe Sakic et ça semble avoir fonctionné. Ils ont repêché Mikko Rantanen ensemble en 2015 et Roy a pris la décision de repêcher Nathan MacKinnon au premier rang en 2013.

L’ancien gardien du CH a quitté son poste chez l’Avalanche en août 2016 pour ensuite retourner dans la LHJMQ comme entraîneur-chef des Remparts de Québec en 2018. Il devrait toutefois quitter les Remparts cet été pour céder sa place à Simon Gagné.

Cette semaine, on a appris qu’Yvon Pedneault et Michel Bergeron croyaient à un retour de Roy dans la LNH comme entraîneur des Sénateurs d’Ottawa. L’idée de New York semble étrange, mais si ça peut permettre à Roy de revenir dans la LNH, pourquoi pas.

Tout le monde s’enflamme, mais ce n’est qu’une publication nébuleuse de Kevin Weekes. Les Rangers ont tout leur temps pour se trouver un nouvel entraîneur-chef, mais c’est vrai que Patrick Roy pourrait bien faire partie des candidats.

En rafale

– Ils auront vraiment besoin de confiance.

– Les Stars devront faire attention.

– Les entraîneurs sautent vite dans la NBA.

– Le duo Hughes devra repartir la machine des Devils.

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Habsolument Fan

À VOIR : l’ancienne maison de Patrick Roy est en vente pour la modique somme de 11.9 millions

L’ancienne demeure de Patrick Roy à Lac-Beauport dans la région de Québec est de nouveau en vente.

En effet, celle-ci avait été vendue en 2022 pour le prix de 5,7 millions. La voilà de nouveau sur le marché, cette fois pour plus du double.

La maison construite en 1987 a fait l’objet de plusieurs rénovations dans la dernière année. 

Située au 367, chemin du Tour-du-Lac, au Lac-Beauport, la maison qu’a habitée Patrick Roy pendant plusieurs années est franchement d’une beauté à couper le souffle. Voyez par vous-mêmes.










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Habsolument Fan

Serge Beausoleil accuse Patrick Roy de lui avoir manqué de respect

Après avoir passé le balai aux Islanders de Charlottetown en première ronde, les Remparts de Québec affrontent présentement l’Océanic de Rimouski qui doit relever le défi énorme de battre les champions de la saison régulière.

Ça commence mal, puisque les Remparts ont dominé le deuxième match après une victoire écrasante de 6 à 3 lors de la première partie.

Alors que la troupe de Patrick Roy avait une avance confortable de 5 à 1 en fin de troisième période, les joueurs ont décidé de prendre leur temps avec la rondelle dans leur propre zone, puisque leurs adversaires ne mettaient aucune pression.

L’entraîneur-chef adverse, Serge Beausoleil, n’a vraiment pas apprécié le geste, accusant Roy de vouloir lui manquer de respect :

« J’ai trouvé ça très triste et une part de mon respect est partie ce soir. Il [Donald Dufresne, entraîneur adjoint] disait:  »Serge, c’est quelque chose que tu fais sur la route, quand un club ferme le jeu. » L’ironie dans tout ça c’est que les Remparts appliquent exactement le même échec avant 1-1-3 en zone neutre. Il [Patrick Roy] a tenté de nous ridiculiser devant ses partisans. Il va probablement trouver des raisons pour ça mais pour moi, c’est extrêmement triste ce qu’il a fait là »

Serge Beausoleil

Beausoleil semble mécontent à l’idée que son adversaire exposait sa stratégie d’échec-avant devant la foule à Québec, persuadé que c’était une tentative d’humiliation. D’ailleurs voici les images comme le rapporte Mikaël Lalancette sur Twitter :

L’entraîneur des Remparts s’est justifié après avoir entendu ces commentaires, expliquant l’autre côté de la médaille :

« On n’a pas voulu les embarrasser. Il restait sept minutes et les gars voulaient protéger l’avance. C’est sûr que Serge n’est peut-être pas content de la défaite et il pense peut-être qu’il méritait de sortir d’ici avec une égalité de 1-1. Je vais plutôt mettre le blâme là-dessus. On a toujours le même respect pour l’organisation. Le but n’était pas de les embarrasser et l’initiative est venue des joueurs. Ce n’est pas moi qui leur ai demandé »

Patrick Roy

Les deux clubs se dirigent donc vers Rimouski pour les deux prochaines rencontres, où l’Océanic tentera d’empêcher Québec de balayer deux équipes consécutives.