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P.K. Subban sur le Canadien : Si un joueur devient plus gros que l’équipe, il est échangé

P.K. Subban a fait la pluie et le beau temps lors de son séjour avec le Canadien de Montréal.

Reconnu pour être un joueur électrisant sur la glace, mais aussi comme une personne très extravagante, l’ancien défenseur du CH n’a pas peur de dire les vraies affaires.

Cette semaine, P.K. Subban était de passage au Shots Podcast et il y est allé d’une déclaration choc au sujet de la plus grande organisation de hockey de tous les temps.

L’ancien joueur étoile de la LNH a parlé d’une certaine tradition qui semble s’installer dans l’histoire du club.

En parlant de sa propre marque de vêtements qui commençait à prendre de l’ampleur au moment qu’il était avec le CH, il a dit que si un joueur étoile des Habs qui avait le malheur de devenir plus gros, plus populaire que l’équipe, il se ferait échanger éventuellement.

Je vous invite à écouter ce segment juste ici.

Si vous voulez regarder l’épisode au complet de P.K. Subban, vous n’avez qu’à cliquer ici.

Plusieurs sujets intéressants ont été abordés avec l’ancien récipiendaire du trophée Norris.

Dans le cours segment, Subban n’a pas développé beaucoup sur le sujet. Mais si on cherche un peu, les faits sont là et ce n’est pas la première fois que ça arrive.

L’exemple qui me vient à l’esprit en premier, c’est celui de Patrick Roy.

D’un autre côté, son cas est plutôt différent que celui que Subban explique dans le segment, puisque c’est Roy qui a demandé un échange.

La façon que ça a été fait, c’est ce qui rend son cas un peu plus similaire. Roy était évidemment une des superstars de la ligue, mais a tout de même utilisé cet avantage pour forcer la direction à l’échanger.

Le nouveau directeur général à l’époque, Réjean Houle, était sous pression et a échangé rapidement Roy, plutôt que d’essayer de régler les tensions entre Roy et Mario Tremblay, entraîneur-chef du club au moment de l’échange.

Lorsque l’on cherche un peu plus, on peut trouver d’autres exemples intéressant, dont celui de Guy Lafleur.

Lafleur a été en quelque sorte poussé à la retraite, puisqu’il ne voulait pas jouer défensivement. Après avoir obtenu plusieurs saisons de plus de 50 buts et de 120 points, Lafleur était un des joueurs les plus dominants.

Lors de la saison 1984-85, c’était Jacques Lemaire l’entraîneur-chef du club et avait un système de jeu principalement défensif et il ne donnait pas beaucoup de temps de jeu à Lafleur, dû à ses lacunes défensives et son déclin progressif.

Après ce fameux match contre Detroit, Lafleur a alors annoncé sa retraite, annonce qui a surpris la planète hockey entière.

C’est en effet en 1985 que le défunt Démon blond a pris sa retraite temporaire du hockey. Il est finalement revenu de sa retraite de 3 ans, pour jouer trois autres saisons.

Sa première saison à son retour a été disputé avec les Rangers de New York, avant de se faire échanger aux Nordiques de Québec, où il a terminé officiellement sa carrière.

Subban a mentionné que son cas n’est pas tant différent de l’histoire. En développant sa propre marque, son propre logo, etc., il commençait de plus en plus à devenir plus gros que le club. Il ne voyait cependant pas ça comme un conflit d’intérêts avec sa carrière de joueur.

L’organisation du CH semblait en avoir assez de la personne qu’était Subban hors-glace et voyait son extravagance comme une nuisance dans le vestiaire.

C’est alors que Marc Bergevin a décidé d’en surprendre plus d’un avec un échange un contre un. P.K. Subban a été échangé à Nashville en retour du vétéran Shea Weber.

Un changement complet de personnalité et de type de joueur.

L’ancien numéro 76 voulait rester à Montréal, mais ça semblait poser problème envers l’organisation. Il tentait de faire fonctionner le tout, mias en vainc.

« Ok, parlons de comment ces deux marques (le Canadien de Montréal et sa propre marque) peuvent coexister. Je crois que c’était le problème principal, car je développais ma propre fan base, ma propre audience. » – P.K. Subban

Il doit y avoir d’autres exemples dans l’histoire du CH pour appuyer le point de Subban, mais c’est plutôt difficile à moins qu’il soit dans notre mémoire.

Est-ce qu’il y a vraiment une corrélation sur ce que dit Subban? À vous d’en juger.

En rafale

C’est dans la victoire contre Montréal qu’il a inscrit son 30e tour du chapeau de sa carrière.

– Dommage.

– L’absence du vétéran à la défense fait très mal.

– On peut rêver de plus en plus à Connor Bedard.

– Il devra être surveillé de près au Championnat mondial junior.

– Impressionant!

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Patrick Roy lance une insulte en conférence de presse suite à une défaite

Patrick Roy est reconnu pour faire des siennes dans le monde du hockey, surtout depuis qu’il a commencé sa carrière d’entraîneur.

J’imagine que vous ne serez pas très surpris si je vous disais que le bouillant entraîneur-chef des Remparts de Québec a encore dépassé les bornes ce dimanche.

Suite à une défaite des siens de 5-1 face à Joshua Roy et le Phoenix de Sherbrooke, Patrick Roy a lancé une insulte en quittant la salle de point de presse.

Visiblement irrité par la défaite et par quelques questions des journalistes, Roy a insulté, entre autres, un des journalistes.

« Tu devrais retravailler tes questions! » – Patrick Roy

Je vous suggère d’aller voir le texte de Jérôme Gaudreau, pour un compte-rendu de l’après-match.

L’entraîneur y est allé d’une de ses décisions classiques en retirant son gardien de but, avec un peu plus de 10 minutes à jouer, à deux reprises.

Ce n’est vraiment pas tous les entraîneurs qui sont assez braves pour faire une telle chose, mais Roy nous a déjà habitué à plusieurs reprises depuis qu’il est derrière le banc.

Joshua Roy en a d’ailleurs profité pour compléter son tour du chapeau dans un filet désert.

Patrick Roy, qui est accompagné de Simon Gagne et de Jacques Tanguay derrière le banc des Remparts, a vu sa série de victoires prendre fin à 14.

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On se rappelle que l’an dernier, suite à l’élimination des Remparts face aux Cataractes de Shawinigan, Patrick Roy a lancé une flèche aux arbitres en critiquant leur travail dans les séries.

Un de ses joueurs, Vsevolod Komarov, s’est vu décerner une pénalité, que Roy n’a pas digéré. Il a critiqué cette décision particulièrement après le match.

«Eux autres, au premier match des séries, quand ils ont eu une séquence contre eux, ils ont vilipendé les officiels. Nous, on n’a pas dit un mot, encore aujourd’hui, on ne dira pas un mot. Je pense que c’est un manque de jugement. C’est décevant» – Patrick Roy

Vous pouvez voir l’extrait complet de cette conférence de presse, juste ici.

Plus récemment, dans le calendrier préparatoire cette saison, Roy y était encore allé d’une remarque face au travail des arbitres, plus particulièrement, le même arbitre ayant appelé la pénalité sur Komarov durant les dernières séries.

Il avait d’ailleurs été expulsé e tmis à l’amende pour sa réaction. Revoyez ses commentaires suite à son expulsion.

Si on remonte en 2016, quelques semaines avant le début du camp de l’Avalanche du Colorado, Roy, qui était entraîneur-chef et vice-président des opérations à l’époque, a quitté ses fonctions.

Décidément, Roy ne semble pas avoir fini avec ses montées de lait après les rencontres. Ce n’est pas sa première et ça risque aussi de ne pas être sa dernière.

Avec un tempérament bouillant de la sorte, il va devoir se calmer s’il veut demeurer un entraîneur.

Des fois, trop c’est comme pas assez.

En rafale

– Les Argos champions de la Coupe Grey.

– Un Québécois qui peut finalement jouer devant ses amis et sa famille, ça doit motiver un joueur.

– Malkin a d’ailleurs marqué à son 1000e match.

– Bel exploit pour le jeune gardien.

– Lourde perte pour les Trail Blazers.

– Avec une défensive déjà faible, ça n’aide pas la cause des Sens

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Patrick Roy demeurerait avec les Remparts

Patrick Roy aurait finalement pris une décision.

Et selon Stéphane Turcot, Roy demeurerait avec les Remparts, pour une dernière saison.

Roy aura pris son temps pour prendre sa décision et je le comprends. Mais le temps commence à presser pour les Remparts. Comme le mentionne Turcot, le repêchage européen est vendredi prochain et les Remparts ont besoin d’un autre Européen. Le repêchage de la LHJMQ, quant à lui, se tiendra les 4 et 5 juillet, et pour faire une transaction, ça prend un DG!

Il est aussi important, cependant, de spécifier que Turcot mentionne ne pas avoir parlé à Roy ou s’être fait confirmer la nouvelle par un membre de l’organisation. Tout porterait cependant à croire que Roy reviendrait pour une dernière saison.

Et honnêtement, je comprends Patrick Roy de vouloir passer à autre chose. Il n’a, selon moi, plus rien à prouver dans la LHJMQ, autant comme entraîneur que comme dirigeant. Surtout si l’on considère le fait que lors de son premier passage dans la LNH comme entraîneur-chef, il avait réussi à mettre la main sur le trophée Jack Adams.

Il est grand temps qu’il obtienne une deuxième chance dans la grande ligue. Oui, il a un caractère bouillant. Oui, il donne un show. Mais il a également des connaissances hockey incroyable et il est un solide communicateur. Je ne le vois pas derrière le banc du Tricolore, surtout que Martin St-Louis a bien fait l’an dernier. Mais dans un plus petit marché, qui se cherche une identité, il pourrait être le candidat parfait.

En rafale

– J’ai hâte de le voir à l’oeuvre.

– Ouch…

– Intéressant.

– À surveiller.

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Carey Price préféré à Patrick Roy!

Faire un classement des meilleurs joueurs de l’histoire du Canadien de Montréal, on ne se le cachera pas, est un exercice difficile. Avec la quantité de bons joueurs qui ont fièrement représenté le CH au cours des 110 dernières années, il est clair qu’il y a plus de choix déchirants que pour ceux qui se prêtent au jeu pour les Golden Knights de Vegas.

TSN, malgré tout, a choisi de se lancer, et ce, pour les sept équipes canadiennes. Ils ont commencé en force aujourd’hui avec le Canadien… et Patrick Roy n’est pas de l’alignement!

Ken Dryden et Carey Price ont reçu la palme et Jacques Plante s’est aussi vu être ajouté à l’alignement.

En regardant les commentaires sous la publication, il est clair qu’on y retrouve quelques « oubliés » : Jacques Lemaire, Yvan Cournoyer et même Andrei Markov ou Shea Weber, si on pousse ça un peu plus loin. C’est normal.

Mais aucun oubli ne fait réagir autant que celui de Roy.

En rafale

– Ce n’est pas étonnant.

– Oui, tout le monde travaille fort pour un retour au jeu

– Il devrait y avoir du baseball en 2020 dans la MLB. C’est du moins ce qu’un informateur rapporte. [Passion MLB]

– Bonne nouvelle à Boston.

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Patrick Roy comprend la déception des partisans du Canadien

Comme tout le monde, Patrick Roy a suivi la journée de lundi, soit celle de la date limite des transactions. Dans le monde du hockey, il s’agit d’un must et l’ancien gardien n’y a pas fait exception.

Roy a d’ailleurs discuté de cette journée-là au micro de Stéphane Leroux. En premier lieu, il a ciblé la déception des partisans de la Flanelle, qui doivent voir leur équipe rater les séries et devoir attendre en raison d’un plan qui n’est pas forcément en place. « Les partisans du Canadien sont passionnés et ils veulent voir l’équipe gagner année après année, » a-t-il dit.

En fait, à ses yeux, il s’agit d’un grand engagement de la part des partisans. Après tout, adopter les jeunes et de leur faire confiance n’est pas toujours facile.

Et puisque c’est le chemin qu’il prend à Québec, il sait de quoi il parle.

D’un autre côté, il comprend Marc Bergevin. À l’ère du plafond salarial, des décisions doivent être prises et le fait d’avoir confiance en ses jeunes aidera l’équipe à long terme.

Il soutient aussi que Bergevin a raison de parler de chance puisque le repêchage est une science inexacte. En faisant des liens avec ses années au Colorado, il tient à rappeler que l’Avalanche a aussi eu son coup de chance en mettant la main sur Nathan MacKinnon et sur Cale Makar.

Il ne l’a pas spécifié, mais on se souviendra c’est lui qui a poussé pour mettre la main sur le dynamique attaquant des Mooseheads.

Du côté plus personnel, il s’est dit heureux à Québec avec ses jeunes joueurs qui progressent. Il atteindra sous peu le plateau des 400 victoires comme entraîneur dans la Q, mais ce n’est pas quelque chose qu’il regarde.

Il propose aussi de commencer la saison plus tôt et de réduire le nombre de matchs. « Nous n’avons eu que 65 pratiques cette saison et nous sommes une ligue de développement. Ce n’est pas assez, » soutient-il.

Il a aussi parlé de l’idée de tenir des programmes doubles afin de limiter le voyagement et d’éliminer les batailles dans la LHJMQ.

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Patrick Roy n’a remporté qu’un seul de ses neuf derniers matchs

Lorsque Patrick Roy a accepté de revenir coacher les Remparts la saison dernière, il savait que ça n’allait pas être facile. L’équipe était à la croisée des chemins et Roy avait non pas seulement la tâche de fouetter et motiver les jeunes, mais aussi celle de construire une équipe qui allait pouvoir compétitionner à moyen terme.

L’an dernier, les Remparts ont maintenu une fiche de 27-28-13 et ils ont été éliminés en sept matchs face aux Mooseheads en première ronde éliminatoire. Les Mooseheads se sont ensuite rendus jusqu’en grande finale, avant de s’incliner devant les Huskies à la Coupe du Président… mais aussi à la Coupe Memorial.

Revenons aux Remparts…

L’équipe a connu un début de saison relativement intéressant cette année… mais elle a subi hier soir un 8e revers à ses 9 dernières rencontres… devant leurs partisans, de surcroît!

Les Remparts ont bousillé une avance de deux buts et se sont inclinés par la marque de 4 à 3 face aux Tigres de Victoriaville (16e au classement).

Bref, les partisans de Québec et de Montréal traversent une mauvaise séquence au même moment.

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Patrick Roy aurait lui-même contacté les Sénateurs

On a appris durant le weekend que Patrick Roy allait être interviewé par Pierre Dorion pour le poste vacant d’entraîneur-chef des Sénateurs. À première vue, on peine à imaginer comment un gars comme Patrick Roy pourrait accepter d’aller coacher avec un DG et un président (lorsqu’il sera embauché) en haut de lui pour prendre les décisions hockey

Et avec un proprio comme Eugene Melnyk au-dessus de tout ce beau monde-là.

Surtout que Roy aime gagne et qu’à court terme, le mot victoire ne semble pas faire partie du lexique de l’organisation.

Et je n’embarque (vraiment) pas dans la théorie voulant que tout ça cache un déménagement des Sens à Québec dans les prochains mois…

Mike Bossy a apporté de nouvelles informations concernant la candidature de Patrick Roy dimanche soir sur les ondes de TVA Sports. Selon Bossy, Roy est tout simplement prêt à tout faire pour revenir dans la Ligue nationale de hockey.

« J’ai entendu dire que c’est lui qui a téléphoné (le directeur général Pierre Dorion) pour obtenir une entrevue. Plus t’es loin de la LNH, moins on pense à toi. Même si Patrick n’a pas le poste, les gens vont savoir qu’il veut être instructeur. C’est plutôt ça. » – Mike Bossy au sujet de la candidature de Patrick Roy

Roy a déjà avoué dans le passé qu’il voulait carte blanche sur son roster lorsqu’il coachait. Il est difficile d’imaginer Melnyk, son futur président et Dorion lui donner une telle chose…

Or, c’est davantage pour ramener son nom dans les médias et dans la tête des DG qui se cherchent un coach que Roy aurait appelé lui-même les Sénateurs pour passer une entrevue cette semaine.

Et ça se comprend!

Au final, Ottawa demeure peut-être la seule option à court terme pour Roy (dans la LNH). #ÀQuelPointVeutIlRevenirDansLeShow?

Roy est actuellement coach et DG des Remparts de Québec. Il possède encore une année de contrat. Rappelons que les Remparts ont été éliminés en sept rencontres par les Mooseheads de Halifax. Tant qu’il souhaitera demeurer avec les Remparts, ceux-ci le garderont en poste.

Au final, Bossy a soulevé une très bonne interrogation. Est-ce que Patrick Roy accepterait d’aller toucher à Ottawa un salaire plus petit que ce qu’il touche présentement chez lui à Québec?

« On le sait qu’à Ottawa ils ne veulent pas payer. Moi, je pense que Patrick Roy gagnerait moins d’argent à Ottawa qu’à Québec! »

Quoique des sous, Roy en a en masse de côté! Mais son égo accepterait-il qu’il soit l’un des coachs les moins bien payés du show? Pas sûr…

Bref, ce serait très surprenant de voir Patrick Roy être nommé head coach des Sénateurs (quoique l’on pourrait être surpris). Le candidat le plus plausible demeure toujours Jacques Martin. Si ça n’a pas fonctionné avec Guy Boucher, un candidat intense, émotif et qui ne fait pas l’unanimité, pourquoi est-ce que ça fonctionnerait avec Patrick Roy?

Quoique le nom de Patrick Roy servirait d’outil marketing incroyable pour les Sens…

La grande question maintenant : Comment peut-on ignorer Benoit Groulx présentement à Ottawa?

En rafale

– Les Bruins disputeront un match intra-équipe devant public question de se tenir en forme en attendant la finale. Les Blue Jackets avaient fait la même chose après avoir balayé le Lightning.

– Des joueurs des Hurricanes ont passé sous le bistouri.

– Un nouvel adjoint pour Bob Hartley.

– Il faudra encore être patient avec Browne, Novillo et Bayiha. Cabrera a rejoint le groupe, lui.

– On espère que l’ancien gérant des Expos se remettra rapidement de cette sérieuse opération.

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Patrick Roy ira-t-il rejoindre Rob Blake à L.A.?

Ce matin, selon Dennis Bernstein, Todd McLellan décrochait le poste d’entraîneur-chef des Kings de Los Angeles, mais cette rumeur a été réfutée par Pierre LeBrun quelques minutes plus tard.

Qui a raison? Là est la question, mais au lieu de tourner autour de ça, ajoutons un peu de spéculations à ce dossier du nouveau pilote des Kings : et si Rob Blake donnait le boulot à un ancien coéquipier avec qui il a gagné, Patrick Roy? En 2011, Blake a été acquis par l’Avalanche et il a pu soulever la Coupe Stanley accompagné du Roy Patrick. Allons plus loin encore : et si Blake décidait de ramener son ancien coach chez l’Avalanche pendant cette conquête, Bob Hartley? Ce n’est pas moi qui sort ça tout bonnement comme ça pour faire du bruit, mais bien Elliotte Friedman via son dernier 31 Thoughts.

Au sujet de Patrick Roy, je peine à croire qu’il revienne au sein de la LNH, surtout de la façon dont s’est produit son départ de l’Avalanche. Un départ nébuleux qui indiquait que Joe Sakic et lui n’avaient pas la même vision. En plus de ça, s’il revient, il ne voudra pas seulement être entraîneur-chef. Il voudra plus. Pour le moment, son derrière semble confortable chez les Remparts de Québec.

Dans le cas de Bob Hartley, lorsqu’il a quitté Calgary en 2015-16, son nom n’a plus jamais circulé dans les rumeurs lorsqu’une formation se cherchait un coach. Cependant, il est revenu dans la Ligue nationale en 2012-13, après avoir remporté un championnat en Suisse. Cette année, il a la chance d’entraîner une équipe de la KHL (Avangard), où David Desharnais et Max Talbot jouent. Cette équipe s’est faufilée jusqu’en finale de championnat et pourrait gagner.

Qui sait, il reviendra peut-être dans la Ligue nationale s’il gagne ce championnat-là…

En rafale

– Excellente nouvelle pour cet ancien de l’Armada, que le Canadien n’a pas pu signer…

– La chronique chaude de Marc Denis.

– Il n’a pas connu une grande saison…

– Il n’est qu’à 159.1 kilomètres de sa destination

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Patrick Roy encense Carey Price

Lorsque Patrick Roy parle, la terre arrête soudainement. C’est simple, le Québec se prosterne devant lui. Donc, si Roy dit que Carey Price doit se retrouver parmi les finalistes pour l’obtention du trophée Vézina, on se doit d’avaler ses paroles, non? Au sujet de Price, le Roy a-t-il raison? À première vue, ma réponse est… Absolument. Pendant les moments plus laborieux de ses coéquipiers, Price a été tout simplement fumant. Très fumant. Il a réalisé des arrêts spectaculaires à outrance et si le Canadien est toujours classé dans la course aux séries aujourd’hui, c’est en grande partie grâce à lui.

Comme l’a rapporté le site Habsolumentfan, l’ancien numéro 33 s’est présenté sur les ondes de l’émission de JiC afin de livrer son avis au sujet de Carey Price ainsi que des meilleurs gardiens. Même s’il ne suit plus les activités du grand show depuis qu’il a quitté celui-ci, il est conscient que Price mène son équipe d’une façon magistrale depuis quelques mois. Pour le Hart, peut-être pas, mais pour le Vézina, son nom doit certes apparaître.

Des cerbères comme Andrei Vasilevskiy et Marc-André Fleury risquent de se situer tout juste devant Carey Price, mais disons Vasilevskiy, aussi bon soit-il, profite de la présence d’une attaque dévastatrice et d’une défensive très étanche. Malgré cela, Price n’est qu’à quatre victoires du cerbère du Lightning, qui en a 37 (Price, 33).

Au passage, le roi Patrick a également spécifié que quelques joueurs du Lightning toucheront des honneurs individuels, dont Nikita Kucherov, qui devrait décrocher le titre de MVP (remis au meilleur joueur de l’année). Kucherov, c’est du lourd, du très lourd et cet honneur n’appartient pas à personne d’autre que lui. Le numéro 86 est tout simplement hallucinant et inhumain, observez-le bien attentivement.

En rafale

– Cette publicité avec Mitch Marner est vraiment trop cocasse.

– Sans aucune surprise, Tomas Plekanec supporte le Canadien.

– Le papa de KK est entré en Finlande.

Capture d’écran Instagram

– Frederik Andersen s’éloigne de plus en plus du Vézina.

– Encore plus que ça, il mérite amplement cet honneur.

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Quand Patrick Roy inspire une star de la NBA

Le Jazz de Utah l’a emporté par la marque de 100 à 94 hier. Le meilleur pointeur de la rencontre à été Donovan Mitchell, avec 28 points.

Mais ce qui a le plus fait jaser les gens (au Canada du moins) dans la soirée de Mitchell, ce n’est pas sa performance sur le court. C’est son habillement d’avant-match.

Le garde du Jazz (originaire de la région new-yorkaise) s’est pointé à l’aréna avec un jersey de Patrick Roy.

Mitchell, 22 ans, est-il un fan de Casseau? Non! Pas à ce que je sache du moins…

Il a plutôt décidé de porter ce chandail du bleu-blanc-rouge car Roy, c’est R-O-Y… Soit l’acronyme de Rookie of The Year.

Mitchell est une jeune vedette de la NBA. Il a été nommé sur l’équipe d’étoiles en 2017-18, tout en remportant le concours de dunks. Mais il n’a pas été élu recrue de l’année. Il s’est fait coiffer par Ben Simmons des 76ers. La décision avait été très controversée, puisque Simmons en étant à sa deuxième saison (il s’était blessé gravement durant sa première année). Mais tout était légal.

Cocky, vous dites?

À noter que Mitchell a de fortes chances de participer au match des étoiles de la NBA. On peut voter pour lui sur le site officiel de la NBA.

Il a plus de 400 000 abonnés sur Twitter.

En rafale

– Un ancien porte-couleurs du Canadien est au ballottage ce midi.

– Les Panthers auront ce look-là ce soir au Centre Bell :

– Il faudra toutefois faire attention et ne pas prendre l’adversaire à la légère.

– Pourquoi répondre à une (pseudo) insulte en insultant ensuite le soccer? En rabaissant ce sport?

– Bonne question!

– Puisqu’il était question de basketball en début d’article…