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Mike Ward: «J’étais tellement pauvre»

Mike Ward était l’invité principal sur le plateau de Je viens vers toi en compagnie de Marc Labrèche et de ses chakras.

Lors de son passage, l’humoriste a abordé, une fois de plus, sans tabou, le fait qu’il gagne très bien sa vie aujourd’hui.

Cependant, il a rappelé que cela n’a pas toujours été le cas, comme on le sait.

Il a révélé avoir été confronté à une période de grande précarité au début de sa carrière dans le domaine de l’humour.

«J’étais tellement pauvre, moi dans les premières années… le fait de faire de l’humour un peu trash au Québec. Début ’90, mes amis gagnaient du 30 000$ par année, ce qui était énorme pour moi à l’époque. Puis, moi, mon premier rapport d’impôts, j’ai gagné 1900$… 1900$! Je ne sais pas si tu le sais, c’est un peu dur à arriver», explique Mike Ward.

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Une confidence fort intéressante!

Aujourd’hui nous ce n’est pas un secret, Mike Ward a fait sa marque dans le milieu et connaît beaucoup de succès notamment avec son très populaire podcast Sous Écoute.

Il est également en tournée pour son tout nouveau one-man-show, Modeste.

Rendez-vous sur son site officiel afin de vous procurer des billets!

Encore une fois, la semaine dernière nous avons offert des spectacles de qualités ! Voici un aperçu de ce que vous avez peut-être manqué !!

Posted by Bordel Comédie Club on Wednesday, February 28, 2024
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Michael Caine se fout d’être un pollueur

Ne demandez pas à Michael Caine si la pollution et les changements climatiques l’inquiètent au point de changer ses comportements de consommateur.

C’est précisément ce qu’un journaliste présent à la conférence de presse d’Interstellar, le nouveau film de Christopher Nolan, lui a demandé. La réponse de l’acteur a de quoi surprendre, rapporte BANG Media International.

« J’ai été si pauvre pendant si longtemps que je n’ai rien consommé. Je ne mangeais pas beaucoup, alors j’imagine que le monde a une dette envers mois. Je mange bien et j’ai une grosse voiture depuis longtemps maintenant », lance un Michael Caine très candide et peu préoccupé par son empreinte de carbone.

L’acteur de 81 ans ne pourra donc pas être taxé d’être un hypocrite, à défaut d’être soucieux de l’écologie et de l’environnement.

Interstellar, qui traite justement de la fin du monde par la main de l’homme, sera en salles dès le 7 novembre prochain. Le film de Christopher Nolan met également en vedette Matthew McConaughey et Anne Hathaway, notamment.

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Voici pour quelle raison il est essentiel de communiquer avec nos enfants

Ce sont surtout dans les familles à faible revenu et dans lesquelles les parents sont moins éduqués que les enfants souffrent des retards les plus importants. Lors de leur entrée à l’école, ils ont en moyenne 2 ans de retard en ce qui a trait au langage.

Anne Fernald, psychologue et enseignante à l’Université Stanford, a mené les plus récentes recherches, révélant un écart majeur chez les enfants issus de la pauvreté.

Les différences se situent tant au niveau du langage parlé qu’écrit, et l’écart se mesure à partir de 18 mois. À 24 mois, les enfants de familles à faible revenu démontraient déjà un retard de 6 mois sur ceux à revenu élevé.

Fernald croit avoir décelé la cause principale de ce retard. À l’aide de dispositifs d’enregistrement vocal, elle a pu établir une lacune au niveau du discours entre les parents et l’enfant de familles à faible revenu. Les bébés entendaient bel et bien des paroles, mais elles ne s’adressaient pas nécessairement à eux.

Le discours direct a prouvé un meilleur apprentissage du vocabulaire, et c’est pourquoi la chercheuse et son équipe mettent désormais sur pied des programmes pour aider les mères à faible revenu à mieux communiquer avec leurs bébés.

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Un meilleur accès à de bons aliments ne garantit pas une meilleure alimentation

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude en alimentation, qui constate un faible impact social découlant d’un meilleur accès à des aliments jugés « santé ».

En clair, proposer une plus grande offre de produits sains et de commerces en alimentation santé ne garantirait en rien une amélioration des habitudes de consommation des citoyens, selon l’étude proposée par des chercheurs de la Penn State University et de la London School of Hygiene and Tropical Medicine.

Les chercheurs ont analysé pour le bien de l’étude les impacts de l’ouverture d’un nouveau supermarché dans un quartier défavorisé de Philadelphie, l’un des 88 nouvellement ouverts en Pennsylvanie dans le cadre de la démarche Pennsylvania Fresh Food Financing Initiative.

En suivant 650 citoyens sur une période de quatre ans, les chercheurs ont constaté que bien peu avaient changé leurs habitudes alimentaires pour le mieux, même en étant conscients de la soudaine proximité d’aliments frais et bons pour la santé.

Seulement 27 % des citoyens ont utilisé le nouveau supermarché comme source principale d’alimentation, et à peine la moitié a fréquenté le commerce.

L’étude suggère donc que ces initiatives doivent être accompagnées de féroces campagnes de marketing, afin de sensibiliser et encourager les gens à changer leurs habitudes de vie et à profiter des nouveaux commerces qui leur sont offerts.

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L’exclusion sociale des enfants encore reliée à la pauvreté

L’étude menée par UNICEF France a colligé les données de questionnaires de 130 questions soumis à 22 500 enfants de 73 villes. Au total, 17 % des participants, âgés de 6 à 18 ans, sont exclus socialement. Selon le sondage, la pauvreté est trop souvent reliée à cette exclusion. Ainsi, le « statut social » des enfants serait jugé par leurs pairs.

Les variables mesurées comprenaient l’environnement scolaire, mais aussi le quartier dans lequel les enfants vivent et même leur famille.

Comme l’indique lexpress.fr, Catherine Dolto, médecin et coauteure de l’étude, dénonce cette disparité qui existe toujours dans la société d’aujourd’hui. « Il y a une spirale négative dans laquelle sont entraînés les enfants et les familles défavorisés ».

Ce qui est préoccupant pour les responsables de l’étude, c’est que la France dépense déjà beaucoup plus que ses voisins pour le bien-être des enfants. Mais encore, 1 enfant sur 6 souffre d’exclusion importante, et 7 % sont dans des situations d’isolation extrêmes.

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3 minutes supplémentaires par repas pour diminuer le risque d’obésité

C’est ce qu’explique Barbara H. Fiese, directrice du Family Resiliency Program.

La recherche effectuée vise à aider les familles qui vivent avec peu de moyens. Trop souvent, vu le manque de temps et d’éducation, le fait d’être monoparental ou la facilité d’accès à la malbouffe, les enfants de familles pauvres sont plus à risque d’obésité.

Dans l’étude proposée par Fiese, selon medicalnewstoday, les familles vivant de peu de moyens passent environ 15 à 17 minutes ensemble au repas.

Or, à partir de 20 minutes passées en famille par repas, et ce, au minimum 4 fois par semaine, les enfants du primaire étaient beaucoup moins à risque d’obésité que ceux des autres familles peu aisées.

En résumé, les parents, même monoparentaux, qui affirmaient que le rituel du repas revêtait de l’importance et qu’ils y passaient 20 minutes ou plus pour échanger avec leurs enfants, avaient des jeunes plus en santé.

Plus de 200 familles pauvres ont participé à la recherche. À la suite de ces résultats probants, Barbara H. Fiese doit poursuivre avec la prochaine étape, qui consiste à éduquer les familles en ce sens.

Il demeure que ces résultats peuvent s’appliquer à toutes les familles. Lorsque le repas est considéré comme un moment de qualité à passer en famille, les habitudes alimentaires s’améliorent, et le risque d’obésité chute considérablement.

Un truc facile, mais que l’on doit prendre le temps d’appliquer.

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L’accès à la garderie pour les démunis

Selon un récent rapport de la Direction de la santé publique de Montréal, les enfants pauvres auraient plus difficilement accès à des places de garderie à 7 $ par jour. La raison n’est pas que d’accessibilité géographique, mais bien économique.

On recommande donc que des mesures soient prises afin que ces enfants puissent plus facilement profiter des services d’un centre de la petite enfance.

Parallèlement, plusieurs études soutiennent qu’une situation inverse comporte de nombreux avantages pour les enfants. Il semble que fréquenter un service de garde de qualité diminue les inégalités, une fois que les enfants vont à la maternelle.

Ces inégalités touchent principalement le développement. On a remarqué de plus faibles différences quant à la socialisation et au développement du langage des tout-petits.

En ce moment, selon le rapport ici présenté, près de la moitié (40 %) des enfants qui vivent au sein de quartiers pauvres de Montréal accusent un retard sur un point ou plus de leur développement, en comparaison aux autres.

Les services de garde de moindre qualité se trouvent aussi en plus grande partie dans les quartiers pauvres de la ville. On a plus difficilement accès à des places à 7 $ par jour dans les secteurs Centre-Sud, Lachine, LaSalle, Anjou et Verdun, notamment.

Finalement, on note que les parents prestataires d’aide sociale ne sont pas souvent accueillis par les centres de la petite enfance.

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À propos de la santé des enfants défavorisés

Une étude controversée menée en Espagne fait un lien entre la sédentarité des enfants et la situation socioéconomique de leur famille. Publiée dans l’European Journal of Public Health, elle confirme que les jeunes défavorisés étaient moins enclins à être actifs.

Elle soutient aussi que la sorte d’emploi que le parent occupe a une plus forte influence que l’éducation sur le temps passé par l’enfant à faire des activités sédentaires. Cela confirme, de plus, l’hypothèse selon laquelle les enfants dont la mère est à la maison sont plus sédentaires.
 
Des modèles comportementaux s’installeraient donc dès l’enfance et l’habitude de regarder la télévision ou jouer à des jeux vidéo demeurerait. Cela a des impacts sur le développement et sur la santé en général d’une personne.

L’étude en question a consisté en l’analyse des activités sédentaires que faisaient des jeunes, puis celles-ci ont été mises en corrélation avec le statut économique de leurs parents.

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Les pauvres survivent moins au cancer

Les personnes pauvres ont moins de chances de survivre à un cancer que celles plus aisées. C’est la triste conclusion à laquelle parviennent des chercheurs de l’Université Queen, en Ontario, dans leur nouvelle étude.
 
Les experts se sont penchés sur des cas enregistrés de six cancers divers entre 2003 et 2006 et constatent qu’il y a un écart important pour les chances de survie entre les riches et les pauvres pour les cancers colorectaux et du col de l’utérus.
 
Par le passé, une étude américaine expliquait le tout par le fait que les diagnostics étaient faits plus tard pour les personnes démunies. Toutefois, les Ontariens observent qu’il n’en est rien. Selon leur étude, les patients auraient été diagnostiqués au même stade, peu importe leur classe sociale.
 
Ce qui peut désavantager les pauvres serait notamment le fait qu’ils souffrent souvent d’autres maladies pouvant entraver les traitements et que le coût des médicaments nécessaires est trop élevé pour qu’ils puissent se les procurer.
 
Pour le cancer du sein par exemple, 77 % des femmes démunies sont encore en vie après cinq ans alors que ce taux est de 84 % chez les plus riches. Pour le cancer colorectal, le taux de survie est de 52 % pour les démunis et de 60 % chez les plus nantis.
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Quand la pauvreté joue sur la taille des enfants

Des chercheurs de l’Université de Montréal se sont penchés sur les effets de la pauvreté sur la croissance des enfants. Ils concluent que les bambins, de deux ans et demi à quatre ans, qui sont issus de milieux défavorisés accusent des retards de croissance, comparativement aux enfants nés dans des familles plus riches.

1 929 mères ont été questionnées par la Dre Louise Séguin et son équipe à propos de la taille de leur enfant et la situation économique au sein de leur famille.

La taille des sujets de milieux défavorisés était plus petite que celle des enfants mieux nantis, et ce, peu importe l’hérédité des parents et leur niveau de scolarité.

Ces résultats viennent donc confirmer les effets de la pauvreté, souvent associée à la malnutrition et à un taux élevé de stress, sur le développement des enfants.

« Même si le Québec fait plus pour les familles avec de jeunes enfants que d’autres provinces, il y aurait encore bien des choses à faire pour s’assurer que chaque enfant a droit à l’égalité des chances pour croître et se développer du mieux qu’il peut », souligne Mme Séguin.