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Michael Caine se fout d’être un pollueur

Ne demandez pas à Michael Caine si la pollution et les changements climatiques l’inquiètent au point de changer ses comportements de consommateur.

C’est précisément ce qu’un journaliste présent à la conférence de presse d’Interstellar, le nouveau film de Christopher Nolan, lui a demandé. La réponse de l’acteur a de quoi surprendre, rapporte BANG Media International.

« J’ai été si pauvre pendant si longtemps que je n’ai rien consommé. Je ne mangeais pas beaucoup, alors j’imagine que le monde a une dette envers mois. Je mange bien et j’ai une grosse voiture depuis longtemps maintenant », lance un Michael Caine très candide et peu préoccupé par son empreinte de carbone.

L’acteur de 81 ans ne pourra donc pas être taxé d’être un hypocrite, à défaut d’être soucieux de l’écologie et de l’environnement.

Interstellar, qui traite justement de la fin du monde par la main de l’homme, sera en salles dès le 7 novembre prochain. Le film de Christopher Nolan met également en vedette Matthew McConaughey et Anne Hathaway, notamment.

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Voici pour quelle raison il est essentiel de communiquer avec nos enfants

Ce sont surtout dans les familles à faible revenu et dans lesquelles les parents sont moins éduqués que les enfants souffrent des retards les plus importants. Lors de leur entrée à l’école, ils ont en moyenne 2 ans de retard en ce qui a trait au langage.

Anne Fernald, psychologue et enseignante à l’Université Stanford, a mené les plus récentes recherches, révélant un écart majeur chez les enfants issus de la pauvreté.

Les différences se situent tant au niveau du langage parlé qu’écrit, et l’écart se mesure à partir de 18 mois. À 24 mois, les enfants de familles à faible revenu démontraient déjà un retard de 6 mois sur ceux à revenu élevé.

Fernald croit avoir décelé la cause principale de ce retard. À l’aide de dispositifs d’enregistrement vocal, elle a pu établir une lacune au niveau du discours entre les parents et l’enfant de familles à faible revenu. Les bébés entendaient bel et bien des paroles, mais elles ne s’adressaient pas nécessairement à eux.

Le discours direct a prouvé un meilleur apprentissage du vocabulaire, et c’est pourquoi la chercheuse et son équipe mettent désormais sur pied des programmes pour aider les mères à faible revenu à mieux communiquer avec leurs bébés.

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Un meilleur accès à de bons aliments ne garantit pas une meilleure alimentation

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude en alimentation, qui constate un faible impact social découlant d’un meilleur accès à des aliments jugés « santé ».

En clair, proposer une plus grande offre de produits sains et de commerces en alimentation santé ne garantirait en rien une amélioration des habitudes de consommation des citoyens, selon l’étude proposée par des chercheurs de la Penn State University et de la London School of Hygiene and Tropical Medicine.

Les chercheurs ont analysé pour le bien de l’étude les impacts de l’ouverture d’un nouveau supermarché dans un quartier défavorisé de Philadelphie, l’un des 88 nouvellement ouverts en Pennsylvanie dans le cadre de la démarche Pennsylvania Fresh Food Financing Initiative.

En suivant 650 citoyens sur une période de quatre ans, les chercheurs ont constaté que bien peu avaient changé leurs habitudes alimentaires pour le mieux, même en étant conscients de la soudaine proximité d’aliments frais et bons pour la santé.

Seulement 27 % des citoyens ont utilisé le nouveau supermarché comme source principale d’alimentation, et à peine la moitié a fréquenté le commerce.

L’étude suggère donc que ces initiatives doivent être accompagnées de féroces campagnes de marketing, afin de sensibiliser et encourager les gens à changer leurs habitudes de vie et à profiter des nouveaux commerces qui leur sont offerts.

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L’exclusion sociale des enfants encore reliée à la pauvreté

L’étude menée par UNICEF France a colligé les données de questionnaires de 130 questions soumis à 22 500 enfants de 73 villes. Au total, 17 % des participants, âgés de 6 à 18 ans, sont exclus socialement. Selon le sondage, la pauvreté est trop souvent reliée à cette exclusion. Ainsi, le « statut social » des enfants serait jugé par leurs pairs.

Les variables mesurées comprenaient l’environnement scolaire, mais aussi le quartier dans lequel les enfants vivent et même leur famille.

Comme l’indique lexpress.fr, Catherine Dolto, médecin et coauteure de l’étude, dénonce cette disparité qui existe toujours dans la société d’aujourd’hui. « Il y a une spirale négative dans laquelle sont entraînés les enfants et les familles défavorisés ».

Ce qui est préoccupant pour les responsables de l’étude, c’est que la France dépense déjà beaucoup plus que ses voisins pour le bien-être des enfants. Mais encore, 1 enfant sur 6 souffre d’exclusion importante, et 7 % sont dans des situations d’isolation extrêmes.