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Un peu d’eau de Javel contre l’eczéma

Une équipe de dermatologues de la Faculté de médecine de l’Université Northwestern de Chicago affirme que des bains contenant un peu d’eau de Javel peuvent soulager les sensations de picotements chez les enfants qui souffrent d’eczéma.

Les chercheurs ont travaillé avec 31 enfants, âgés de 6 mois à 17 ans, dont la maladie de peau était de modérée à sévère. La moitié d’entre eux ont trempé deux fois par semaine dans des bains contenant environ une demi-tasse de javellisant.

Trois mois plus tard, le degré de sévérité de l’eczéma chez les enfants ayant pris des bains javellisés avait diminué.

« Nous présumons que le javellisant a des propriétés antibactériennes et diminue le nombre de bactéries sur la peau », a noté l’un des auteurs, la Dre Amy S. Paller.

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Lien entre le psoriasis et le diabète

Une recherche menée par le Dr Abrar Qureshi, de la Faculté de médecine de l’Université Harvard, l’amène à conclure que les femmes aux prises avec le psoriasis sont plus à risque d’être touchées par le diabète et l’hypertension artérielle.

Selon le chercheur, la maladie cutanée fait augmenter de 63 % le risque de diabète et de 17 % celui de la haute pression, comparativement aux participantes n’ayant jamais connu d’épisodes de psoriasis.

Ce phénomène pourrait être attribué à l’inflammation, souvent associée à l’hypertension et à la résistance à l’insuline.

« L’inflammation pourrait être une explication biologique plausible, car le psoriasis est une maladie inflammatoire chronique et l’inflammation est un facteur de risque de l’hypertension », a mentionné le Dr Qureshi.

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Un gène associé au cancer de la peau

Des chercheurs oeuvrant pour l’Institut de recherche sur le cancer de l’Angleterre affirment que plus de 70 % des mélanomes sont dus à une mutation génétique qui rend cancéreuses les cellules après une exposition aux rayons du soleil.

Les scientifiques ont remarqué que les patients souffrant de la forme la plus maligne de ce cancer de la peau présentaient un gène, appelé BRAF, qui était endommagé.

« Notre étude montre que le gène BRAF endommagé est le premier pas vers le cancer de la peau. Mieux comprendre ce phénomène nous aidera à développer de meilleurs traitements contre la maladie », a mentionné l’auteur principal, le Dr Richard Marais.

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Les baies de Goji contre le cancer de la peau

Une des dernières tendances dans la lutte contre le cancer de la peau est la consommation d’un petit fruit rouge rempli d’antioxydants appelé baie de Goji. Des études sont en cours pour révéler les effets bénéfiques de ce fruit sur la santé. 

Par exemple, selon ce que rapporte le Daily Telegraph d’Australie, des études, menées sur des souris à l’Université de Sydney, ont mené à une fascinante découverte sur les avantages derrière les pouvoirs de cet aliment.

Des souris de laboratoire, qui ont été nourries avec du jus dilué de baie de Goji et ont ensuite été exposées à de forts rayons UV, ont démontré une incidence moindre d’inflammations cutanées. La Dre Vivienne Reeve, membre de la faculté des sciences vétérinaires de l’université explique : « Le jus semble protéger le système immunitaire, car elles n’ont pas d’immunosuppression, qui est un facteur de risque majeur dans le développement du cancer sur des peaux surexposées de façon chronique. » 

Dre Reeve ajoute que dans d’autres études, pour le cancer de la peau introduit aux souris, le développement d’une tumeur était ralenti de façon considérable.

Par contre, des experts en cancer mentionnent que des études réalisées sur des souris doivent être considérées avec prudence, car les souris et les humains ont un type de peau différent.

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Les risques associés au mélanome

Le risque d’être frappé par un autre type de cancer est doublé lorsque les patients ont déjà souffert de mélanome, la forme la plus virulente du cancer de la peau, nous apprend une étude publiée dans le British Journal of Cancer.

Afin d’identifier le risque d’être touché par une autre forme de cancer, les scientifiques de l’Université Queen de Belfast ont analysé 21 000 sujets ayant été traités pour des cancers non mélaniques de la peau et 1 800 ayant reçu un diagnostic de mélanome malin.

Dans le premier groupe de participants, ce risque était 57 % plus élevé que dans le reste de la population, alors qu’il doublait chez les patients traités pour un mélanome.

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Essai concluant pour un traitement du cancer de la peau

Une équipe de scientifiques de l’Université Queensland, en Australie, a réussi à mener à terme les essais cliniques d’un vaccin contre le cancer de la peau administré à des souris.

La prochaine étape sera de faire les tests sur des humains dès l’an prochain. S’ils sont concluants, les chercheurs espèrent que leur traitement sera disponible d’ici 10 ans.

Malgré tout l’espoir que suscite ce vaccin, le Dr Ian Frazer affirme qu’il ne pourra pas traiter tous les types de cancers de la peau. La prévention contre les rayons UV demeure le meilleur moyen de se protéger contre ce type de cancer, qui est en constante progression depuis les 30 dernières années.

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Des rougeurs causées par le cellulaire

Selon l’Association britannique des dermatologues, l’usage intensif du téléphone cellulaire pourrait causer des rougeurs et une réaction allergique aux oreilles et aux joues des utilisateurs.

Communément appelée la « dermatose du téléphone cellulaire », cette réaction est provoquée par une allergie au nickel que contiennent les portables et un usage un peu abusif des appareils.

« Les médecins doivent garder en tête cette condition si un de leurs patients se présente avec des rougeurs à la joue ou à l’oreille », souligne l’Association.

Le nickel est un métal que l’on retrouve aussi dans les bijoux et les boucles de ceinture. Il est l’une des principales causes d’allergies cutanées, selon la clinique Mayo aux États-Unis.

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Les limites des probiotiques

Le Dr Robert John Boyle, de l’Hôpital pour enfants de Parkville, en Australie, affirme que les probiotiques ne sont pas efficaces pour atténuer les symptômes de l’eczéma. Pire encore, ils pourraient causer des infections intestinales.

Selon la publication The Cochrane Library, 20 % des enfants souffriraient de cette maladie de la peau.

Plusieurs recherches semblaient démontrer que les intestins des personnes aux prises avec l’eczéma avaient une flore bactérienne différente des autres personnes qui ne souffraient pas de cette condition. C’est pourquoi plusieurs professionnels de la santé recommandaient l’usage de probiotiques à leurs patients pour traiter l’eczéma.

781 enfants ont participé à cette étude et les résultats n’ont démontré aucun lien significatif entre les probiotiques et la diminution des symptômes de l’eczéma.

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Du poisson au menu

Une recherche, publiée dans Archives of Disease in Childhood, démontre que les bébés de moins de 9 mois qui ont mangé du poisson sont moins enclins à souffrir d’eczéma.

Alors qu’en 2000, l’American Academy of Pediatrics recommandait aux parents avec un historique d’eczéma de ne pas donner de poisson à leur enfant avant qu’il n’ait atteint l’âge de 3 ans, l’association faisait volte-face en 2008, et affirmait que le poisson ne représentait plus un risque pour les enfants.

« Il y a eu une crainte face à l’introduction du poisson chez le bébé avec un historique d’allergies. Les chercheurs croyaient que ça pouvait causer de l’eczéma, mais à la lumière de nos recherches, nous recommandons maintenant aux parents de donner du poisson à leur bébé », a souligné l’auteur de l’étude, le Dr Bernt Alm, de l’Université de Gothenburg.

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L’effet domino du cancer de la peau

Le Dr Anthony Alberg, de la faculté de médecine de l’Université de Caroline du Sud, affirme que le cancer bénin de la peau, donc sans mélanome, double l’incidence de souffrir d’autres types de cancer.

769 patients ayant souffert de cancer de la peau sans mélanome ont participé à cette recherche qui a duré 16 ans.

Le taux de cancer chez ces sujets était de 293,5 pour 10 000 personnes, comparativement à 77,8 pour 10 000 chez le groupe test.

Le risque semble plus élevé chez les patients âgés de 25 à 44 ans et le Dr Alberg n’a pas émis d’hypothèse pour expliquer ce phénomène.

Selon la Société américaine du cancer, environ un million d’Américains reçoivent un diagnostic de cancer de la peau chaque année, ce qui en fait le cancer le plus fréquent.