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Les pédiatres recommandent que les adolescents commencent l’école plus tard

NBC News rapporte une nouvelle campagne menée par les pédiatres visant à faire comprendre aux commissions scolaires le besoin de sommeil des jeunes du secondaire.

L’American Academy of Pediatrics stipule que l’horaire des cours ne devrait pas commencer avant 8 h 30, et que 9 h serait l’idéal.

Un débat dans les différents États aux États-Unis a lieu à l’heure actuelle à ce propos. En Californie et en Caroline du Nord et du Sud, plusieurs districts ont modifié les horaires de classe pour tester la théorie.

« Notre recherche est claire, les adolescents qui ont suffisamment de sommeil réduisent le risque d’obésité, de dépression, d’accidents de la route et ont de meilleurs résultats scolaires », explique Dre Judith Owens. « Autrement, ils sont en état de décalage horaire en permanence. »

Après seulement une semaine d’essai, les élèves démontraient des comportements plus positifs et, surtout, ils étaient éveillés pendant les cours.

« Autour de la puberté, un changement s’opère au niveau du rythme circadien (horloge interne) », mentionne la Dre Owens. « La plupart des ados ne s’endorment pas avant 23 h et ont tout de même besoin d’au moins 8 heures de sommeil ».

L’étude se poursuit, mais elle est déjà concluante.

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Ce que pensent les mères des conseils parentaux de leur entourage

She Knows a récolté des avis de vraies mamans, et non d’experts en la matière. Il faut savoir écouter, mais aussi ne pas se préoccuper sans arrêt de l’avis des autres.

– L’avis de grand-mère : Elle était là avant vous, peut vous ramener aux bases, et vous pouvez lui faire confiance et vous confier à elle. Son avis fait assurément partie de ceux dont vous devez tenir compte. Écoutez attentivement.

– Le pédiatre : Ils sont plus à l’écoute que vous le croyez. Certains peuvent même vous aider dans des situations familiales, par exemple, au niveau des conseils pour les repas et sur le plan humain aussi. Des conseils qui sont les bienvenus auprès des mères.

Les autres conseils appréciés sont ceux où les gens vous demandent : « As-tu essayé de cette façon? » contrairement aux avis qui implicitement signifient : « Je suis un meilleur parent que toi », « Tu ne t’y prends pas de la bonne façon » et « Je connais mieux ton enfant que toi ».

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7 étapes pour faire de l’allaitement un succès

Comme l’indique la spécialiste en allaitement Nancy Mohrbacher sur fitpregnancy.com, ces étapes peuvent faire toute la différence.

1. Passez du temps avec d’autres mamans qui allaitent. Prenez note des conseils et n’hésitez pas à poser des questions.

2. « Magasinez » votre pédiatre ou demandez une recommandation. Assurez-vous qu’il soutient l’allaitement. Ainsi, vous vous sentirez appuyée, et il pourra mieux répondre à vos questions le temps venu.

3. Choisissez l’hôpital où vous accoucherez en fonction de l’importance qu’ils accordent à l’allaitement. Si vous ne vous sentez pas à l’aise à un endroit, visitez un autre établissement.

4. Insistez pour que le médecin patiente avant de couper le cordon ombilical. Il est prouvé qu’à la suite de l’accouchement, un dernier apport très important en fer est transmis au bébé par le cordon et lui donnera une vigueur supplémentaire lors du premier allaitement.

5. Préférez une position semi-couchée plutôt qu’assise pour donner le sein, avec un contact ventre contre ventre.

6.  Oubliez l’horloge. Fiez-vous plutôt à votre instinct et nourrissez votre bébé lorsqu’il a faim, simplement. Ne le forcez pas et ne l’empêchez pas de boire.

7. Profitez des 6 premières semaines pour apprendre à connaitre votre bébé. Peu importe les autres ou le ménage. Passez le plus de temps possible alitée avec lui.

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Comment choisir le bon pédiatre

Dès que vous savez que vous attendez un enfant, commencez à chercher un médecin. Une fois que vous aurez le bébé, vous n’aurez ni le temps ni l’envie de devoir en chercher un. Parlez-en à vos copines, qui pourront vous suggérer leur pédiatre.

Puis, renseignez-vous sur le passé et l’expérience des médecins qui vous intéressent. Une fois que la liste sera plus courte, appelez chaque cabinet afin de savoir si le médecin accepte de nouveaux patients. Vous pourrez aussi prendre rendez-vous pour rencontrer le premier pédiatre sur votre liste.

Finalement, vous devez impérativement vous sentir bien avec votre pédiatre et être à l’aise de lui poser toutes les questions qui vous passent par la tête.

Aussi, dites-vous que si cela ne fonctionne pas avec lui après un certain temps, vous pouvez changer de pédiatre sans trop de difficultés.

Rappelons que dans 76 % des cas, le médecin a l’entière confiance des parents. Toutefois, lorsqu’il est question des vaccins et d’autisme, ils trouvent les renseignements qu’ils cherchent auprès de différentes sources.

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Autisme : les parents font-ils confiance aux pédiatres?

C’est ce qu’ont avoué les pédiatres et parents ayant un enfant autiste interrogés dans le cadre de l’étude menée par la Dre Susan Levy, qui dirige le Centre régional de recherche sur l’autisme à l’Hôpital pour enfants de Philadelphie.

En matière de traitements, les parents seraient davantage portés à se fier à eux-mêmes et à se renseigner dans leur entourage pour trouver des spécialistes et des ressources communautaires, au lieu d’aller rencontrer un pédiatre. Un cheminement indépendant qui peut s’avérer stressant, complexe et déroutant, affirment les spécialistes en autisme.

Les parents ajoutent qu’il arrive fréquemment qu’ils se tournent vers un traitement alternatif pour aider leur jeune, mais qu’il est difficile de parler de ce choix avec les médecins. Ces derniers semblent souvent fermés à la médecine douce ou complémentaire.

Lors d’une récente réunion médicale à Toronto, des experts en autisme ont proposé qu’une formation spéciale soit offerte aux pédiatres pour qu’ils soient au moins aptes à diriger les petits patients aux bons endroits et aux bonnes ressources.

Les cliniques pédiatriques pourraient ainsi servir de « pôle central » où le pédiatre ferait la gestion de tous les aspects des soins de l’enfant, la réception des rapports, des consultations avec des spécialistes, et aiderait les parents à intégrer les traitements spécifiques selon le développement global de l’enfant.

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Nutrition au Québec : une étude inquiétante au sujet des familles

5,3 sur 10, voilà la note qui pourrait refléter les données recueillies et les constats établis par 107 pédiatres de l’Hôpital Sainte-Justine de Montréal.

« Il y a plus d’enfants avec surpoids (près d’un quart des 2-17 ans), manger est moins un plaisir qu’avant. On mange pour vivre, rapidement, avec des plats préparés », affirme un pédiatre à la nutritionniste Maryse Lefebvre dans un article de La Presse.

Il est ressorti de son étude que faute de temps et d’argent, la majorité des parents se tournent vers le plat congelé au lieu du bon plat mijoté rempli de légumineuses. « Les habiletés culinaires se perdent de génération en génération. Je pense que c’est un gros problème de société », a déclaré Mme Lefebvre.

L’accès facile et rapide à la malbouffe et aux machines distributrices fait en sorte que les familles québécoises mangent moins ensemble et consomment plus de collations dans une journée que de repas sains et diversifiés.

Selon la spécialiste, qui présentera au congrès de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS) les conclusions de son étude, il est important de savoir si les médecins ont à cœur l’alimentation, car ce sont eux qui servent de référence et qui influencent le plus souvent les parents.

Parmi les pédiatres interrogés, il n’y a que 43,9 % des pédiatres qui croient que les familles mettent la saine alimentation dans leurs priorités, et il n’y en a que 24 % qui estiment que les parents d’enfants de moins de 13 ans qu’ils rencontrent « ont les habiletés culinaires suffisantes pour manger sainement ».

Sur une note plus positive, 74 % des médecins de famille sont conscients qu’ils ont un rôle important à jouer pour transmettre des informations et connaissances pertinentes aux parents en matière de nutrition.

« Il peut y avoir des choses à faire, comme apprendre aux parents à manger pas cher sainement. Mais ça demande un suivi plus complet, pas 10 minutes de consultation », lance Mme Lefebvre.

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Santé des enfants : le Canada ne fait pas si bonne figure

Le 10 janvier dernier, la Société canadienne de pédiatrie a dévoilé un rapport intitulé En faisons-nous assez?, question à laquelle elle répond non, en ce qui concerne la santé des enfants et des adolescents, et surtout des autochtones.

Des 30 pays les plus riches du monde, le Canada arrive au 20e rang pour ce qui est de la pauvreté des enfants. Le gouvernement devrait davantage aider les quelque 639 000 enfants vivant sous le seuil de pauvreté.

Pour le volet psychique, l’accès aux soins psychiatriques est nettement insuffisant au pays, alors que 14 % des Canadiens de moins de 20 ans ont un problème de santé mentale.

D’ailleurs, la Société canadienne de pédiatrie déplore également le manque de pédiatres, ce qui engendre dès le départ un mauvais suivi auprès des enfants.

Par contre, la bonne couverture vaccinale des enfants, le dépistage des problèmes auditifs chez les nouveau-nés et la lutte contre le tabagisme sont, quant à eux, des éléments qui permettent d’améliorer la réputation du pays.

Selon les auteurs du rapport, des lois devraient être mises au point, au Québec, pour empêcher la cigarette en voiture lorsqu’un jeune de moins de 16 ans s’y trouve, et le port du casque de vélo devrait être obligatoire. Les accidents de vélo provoquent la mort d’une vingtaine de jeunes Canadiens annuellement.

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Le psoriasis infantile est mal suivi

Des chercheurs américains soutiennent que le psoriasis infantile est traité de manière inconstante. Selon leur recherche parue dans Archives of Dermatology, le type de traitement dépendrait du fait qu’un enfant est suivi par un pédiatre, un interne ou un dermatologue.

Ils ont passé en revue les visites médicales de jeunes patients atteints du psoriasis des 30 dernières années. Cela fait 3,8 millions de visites chez le médecin. Sur ce nombre, 63 % ont été suivis par un dermatologue, 17 % par un pédiatre et 14 % par un interne.

Les chercheurs ont remarqué que l’approche différait d’un professionnel de la santé à un autre, quant aux traitements et aux médicaments prescrits. La plupart des enfants recevaient une prescription de corticostéroïdes, mais les médicaments variaient d’un endroit à un autre.

Par exemple, les dermatologues prescrivaient majoritairement de puissants stéroïdes, alors que les pédiatres choisissaient plus le tacrolimus, un médicament immunosuppresseur.

Les chercheurs suggèrent fortement que des lignes directrices soient émises en ce qui concerne le traitement du psoriasis infantile.

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Les parents font-ils confiance au pédiatre?

Une étude nationale menée par des chercheurs du Michigan a démontré que les parents faisaient confiance au pédiatre de leur enfant pour demander des conseils sur la santé. Dans 76 % des cas, le médecin a leur entière confiance.

Toutefois, lorsqu’il est question des vaccins, ils trouvent les renseignements qu’ils cherchent auprès de différentes sources.
 
Celles-ci peuvent être d’autres représentants de la santé, d’autres parents, des amis ou des membres de leur famille. Il semble même que les parents se fient à ce que disent des célébrités lorsqu’il est question des vaccins.
 
Si les parents se fient à d’autres membres du corps médical dans presque 60 % des cas, leur famille et leurs amis représentent une source fiable de renseignements pour 67 % d’entre eux.

Les résultats complets de cette vaste étude sont parus dans Pediatrics.

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L’acupuncture, pour les enfants?

Il semble que l’acupuncture soit de plus en plus populaire, selon The Courier-Journal. La méthode chinoise, dont les bienfaits sont reconnus depuis longtemps, serait très profitable aux enfants aussi.

En effet, plusieurs pédiatres suggèrent cette méthode en remplacement des techniques traditionnelles pour soulager certains maux des enfants. De plus, le nombre de pédiatres suggérant l’acupuncture ne cesserait d’augmenter.
 
Selon les données recueillies par le National Health Interview Survey, en 2007 par exemple, 150 000 enfants avaient reçu durant l’année un traitement d’acupuncture pour soigner la douleur, l’anxiété, des nausées ou des migraines.

L’avis de certains médecins pour expliquer cet engouement est que nous réalisons peu à peu que certains maux ne peuvent tout simplement pas être traités par la médecine occidentale.