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Cancers pédiatriques : les patients risquent plus de problèmes cardiovasculaires

Selon une nouvelle étude publiée dans la revue Cancer, les enfants qui souffrent d’un cancer, une fois guéris, devront être très vigilants concernant leur hygiène de vie.

En effet, une fois rendus grands, ces petits qui ont été touchés par le cancer et ont pris très tôt plusieurs médicaments toxiques pour le coeur risquent beaucoup plus d’être atteints d’un problème cardiovasculaire ou métabolique.

Selon une étude du St. Jude Children’s Research Hospital de Memphis (Tennessee, États-Unis) effectuée auprès de 1600 patients, guéris depuis au moins 10 ans d’un cancer qu’ils ont eu lorsqu’ils étaient enfants, les gens qui ne respectent pas une bonne hygiène de vie et ne font pas attention à eux ont deux fois plus de risques de souffrir d’AVC, infarctus, autre maladie cardiovasculaire, diabète, pression artérielle (touche davantage les hommes), cholestérol, glycémie élevée ou excès de graisse abdominale (concerne plus les femmes que les hommes).

Pour éviter de faire face à ces troubles de santé, les gens qui ont eu un cancer pédiatrique devraient « ne pas fumer et appliquer des règles de vie saines », à savoir le maintien d’un poids normal, une activité physique régulière et un régime incluant des fruits et légumes tout en limitant les sucres ajoutés, l’alcool en excès, les viandes rouges et le sel », explique la Dre Kirsten Ness dans des propos cités par Top Santé.

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Une découverte pour le traitement des cancers pédiatriques

Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.

Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.

L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.

Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.

La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.

Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.

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Une découverte pour le traitement des cancers pédiatriques

Cette découverte peut avoir des conséquences importantes sur le traitement de cancers infantiles, notamment sur celui du cerveau, un cancer mortel qui est insensible à la chimiothérapie et la radiothérapie.

Pour une première fois, les chercheurs ont identifié deux mutations génétiques qui sont responsables, jusqu’à 40 %, des glioblastomes chez les enfants.

L’un de ces gènes est gardien du patrimoine génétique. Il est un élément clé dans la modulation de l’expression de nos gènes. Lors de mutations, celles-ci empêchent les cellules de différencier normalement et d’aider à protéger l’information génétique de la tumeur, ce qui la rend moins sensible à la radiothérapie et la chimiothérapie.

Publiée dans la revue Nature, l’étude révèle qu’une équipe de recherche internationale, dirigée par l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR CUSM), a fait une percée majeure génétique qui pourrait changer la façon dont les cancers pédiatriques sont traités à l’avenir.

La réglementation inappropriée de ce gène a aussi été observée pour d’autres cancers tels que du colon, du pancréas, le lymphome et la leucémie. Des recherches futures pourraient donc révéler des traitements améliorés pour ces maladies.

Les tumeurs cérébrales sont la principale cause de décès chez les enfants atteints de cancer en Europe et en Amérique du Nord. Le diagnostic de glioblastome chez un enfant ou un adolescent demeure une condamnation à mort, et environ 200 enfants au Canada meurent chaque année de ce cancer. La plupart des enfants vont mourir dans les deux ans suivant leur diagnostic, indépendamment du traitement.