Catégories
Sport et Santé

Les prothèses contrôlées par la pensée désormais sur le marché

Relevant autrefois davantage de la science-fiction, il est désormais possible pour l’homme de faire bouger une prothèse par la pensée, et il pourra bientôt ressentir des sensations à l’aide de celle-ci.

Des membres robotisés pour les individus amputés seraient intégrés aux os, muscles et nerfs. Les électrodes neuromusculaires permettent au cerveau d’adapter les mouvements de la prothèse, selon que la personne manipule des oeufs ou pousse une tondeuse, par exemple.

Science World Report mentionne qu’un homme a eu la chance d’en faire l’essai dans la vie de tous les jours en Suède. Le scientifique Max Ortiz Catalan explique que la fusion entre la robotique et le corps humain a atteint de nouveaux niveaux : « Cela crée une union intime entre le corps et la machine; entre la biologie et la mécatronique ».

La seule chose qu’il manque, à l’heure actuelle, est la sensation. « Le retour sensoriel intuitif est essentiel pour interagir avec l’environnement », ajoutent les chercheurs. « Nous y travaillons et avons bon espoir de l’intégrer d’ici peu. »

La recherche a été publiée dans la revue Science Translational Medicine, et une vidéo de la prothèse peut être visionnée ici.

Catégories
Uncategorized

Une douleur chronique peut-elle être psychologique?

Les psychologues pensent autrement. Il existe un lien entre la douleur chronique et le psychique, ce qui ne signifie pas pour autant que les gens s’imaginent qu’ils souffrent.

On peut lire les commentaires de Martine Derzelle, psychologue-psychanalyste, dans Le Figaro : « C’est l’histoire de la poule et de l’œuf. Un patient douloureux est-il déprimé à cause de sa douleur ou celle-ci est-elle d’autant plus lancinante qu’il est déprimé? » Derzelle avoue que « le sens psychologique d’une douleur est très technique ».

Pour le psychologue clinicien Frederick Dionne, auteur québécois du livre Libérez-vous de la douleur par la méditation, les pensées réactionnelles proviennent fréquemment de l’anxiété et la colère.

La douleur chronique « peut » être dans votre tête, mais pas au sens qu’elle n’existe pas. Au contraire, une souffrance physique pourrait être le fruit d’une incapacité à mettre en mots une souffrance psychologique.

Pour les douleurs chroniques, psychologiques ou non, Dionne encourage à suivre la thérapie ACT (d’acceptation et d’engagement). Parce qu’il ne faut pas chercher de traitement miraculeux, mais aussi apprendre à vivre avec la douleur.

Catégories
Uncategorized

Le blocage de la carotide pourrait expliquer certains problèmes cognitifs

Si les spécialistes s’inquiètent davantage du risque d’attaque due au blocage de la carotide, cette artère située au niveau du cou, il semble que ce problème puisse également occasionner certains problèmes cognitifs.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude qui sera officiellement présentée mercredi (23 avril) lors du congrès annuel de l’American Academy of Neurology (AAN) organisé à Philadelphie, rapporte The National Library of Medicine.

« À ce jour, l’accent du diagnostic et de la prise en charge des blocages de la carotide a été mis sur la prévention des attaques, puisqu’il semblait s’agir du seul problème lié à ces blocages. Ces résultats parlent d’une minimisation des problèmes causés à la mémoire et à la pensée chez les patients aux prises avec une artère de la carotide rétrécie », explique le Dr Brajesh Lal, du Baltimore VA Medical Center.

C’est après avoir analysé le dossier de 67 patients aux prises avec le problème que les chercheurs américains ont pu constater un lien entre le blocage de la carotide et certains troubles cognitifs liés à la pensée et à la mémoire.

Le Dr Lal souhaite maintenant que d’autres recherches se penchent sur ce dossier afin d’en arriver à de nouvelles pistes de traitements.

Catégories
Uncategorized

Penser au présent influence négativement les choix alimentaires

On nous parle souvent de l’importance de profiter du moment présent et de privilégier celui-ci au lieu d’avoir la tête dans le futur, mais cette idéologie pourrait bien être plus néfaste qu’autre chose en matière d’alimentation.

Selon une étude américaine en provenance de l’Université du Delaware, les personnes aptes à manger de façon équilibrée ou à tenir le coup face à un régime seraient celles dont les pensées sont axées vers le futur, rapporte Top Santé.

Parfois hors de contrôle, le réflexe de se concentrer sur le présent et sur les choses réconfortantes de l’environnement immédiat survient souvent lors de mauvaises passes et de moments de déprime, selon le professeur Meryl Gardner.

Cette dernière, qui dirige l’étude, explique : « Lorsque nous nous sentons mal à l’aise ou de mauvaise humeur, nous savons que quelque chose ne va pas. C’est logique de se concentrer sur ce qui est proche de nous physiquement et temporairement. Si les personnes de mauvaise humeur choisissent souvent des aliments qui leur fournissent une récompense immédiate, il serait plus efficace de les encourager à améliorer leur humeur d’une autre façon. Si vous ne vous sentez pas en phase avec vous-même, au lieu de vous concentrer sur la nourriture et les étiquettes, essayez de parler à des amis ou d’écouter de la musique ».

Comme ces recherches l’indiquent, il est possible de conditionner un patient à prendre les bonnes décisions alimentaires lors de phases de déprime ou de détresse psychologique, et ainsi éviter de compenser ou de se réconforter dans la nourriture.

La clé résiderait donc dans la capacité à penser au futur et à se tourner vers l’avenir, afin de se concentrer sur de meilleurs jours à venir et les conséquences de mauvais choix alimentaires, et non sur ce gâteau au chocolat disponible au présent.

Catégories
Uncategorized

Contrer l’obésité à l’aide d’un traitement qui fait oublier la nourriture

Comme l’indique Kerri Boutelle, psychiatre et professeure en pédiatrie, certaines personnes héritent d’une sensibilité accrue à la nourriture. Elle prend toute leur attention et mène inévitablement à l’obésité.

La spécialiste et ses collègues de l’école de médecine de l’Université de Californie ont recruté 24 enfants de 8 à 12 ans dans le cadre d’une étude pilote. Ils leur ont fait passer des tests de redirection de l’attention. « C’est basé sur le réflexe de Pavlov », explique Boutelle.

Des mots associés à la nourriture apparaissaient à l’écran, puis rapidement, d’autres mots non associés et des lettres disparates apparaissaient à leur tour dans différentes zones de l’écran. Les enfants devaient appuyer lorsqu’ils voyaient les lettres apparaître.

« C’est surprenant, puisque des différences dans les habitudes alimentaires ont été observées dans tous les cas, après seulement une séance », a déclaré le physicien. « C’est encourageant, puisque cela signifie de meilleurs résultats à long terme. »

Boutelle et son équipe sont d’avis que si ces données se répercutent sur un plus gros échantillon, il y aurait matière à développer ce programme sous forme de jeu pour prévenir l’obésité infantile.

Catégories
Uncategorized

Discipline chez les 24 mois et moins, mission impossible?

Malheureusement, la discipline et ce sentiment de découvrir le monde ne vont pas toujours de pair, comme le mentionne More4kids.

Tant que les jeunes enfants ne se blessent pas ou ne blessent pas autrui, la curiosité dont ils font preuve devrait être encouragée. Les deux principales raisons qui font qu’il est si difficile de les maintenir en place, c’est qu’ils découvrent leurs capacités motrices (toucher, tenir, manipuler des objets) et, éventuellement, qu’ils sont en mesure de se déplacer seuls. Qu’ils rampent, marchent à 4 pattes ou courent, pour eux, le monde leur appartient.

Ils expérimentent également le son de leur voix. Lorsqu’un bambin découvre sa voix, la force de celle-ci, les différents sons et les intonations, il est en mode découverte. Il mesure l’impact des différents sons auprès de ses parents et des autres. Bien qu’ils puissent être irritants, ces essais font partie du développement.

Finalement, de 12 à 24 mois, les enfants développent aussi leur indépendance. Ils comprennent qu’ils ont leurs propres vision et pensée, bien que celles-ci soient limitées. Ils voudront essayer plusieurs choses, même s’ils n’ont pas encore la capacité ou la motricité pour réussir.

Afin d’éviter les frustrations inutiles, la meilleure solution consiste à les laisser faire des erreurs et à leur faire comprendre par la suite qu’il vaut mieux éviter ceci ou cela. Évidemment, il faut tout de même éviter les situations dangereuses, mais vous ne pourrez pas toujours l’empêcher de se faire mal.

Catégories
Uncategorized

Trop de temps d’écran réduit les capacités intellectuelles des enfants

Comme le mentionne SheKnows, il y a plus de 30 ans, il n’y avait que Sesame Street et son pendant francophone, Passe-Partout, qui constituaient des émissions de télévision éducatives pour les enfants.

Aujourd’hui, toutes les chaînes de télé se disputent les cases horaires pour abreuver les jeunes d’émissions de toutes sortes. Sans compter que désormais, nous avons les tablettes et iPod qui maximisent le temps passé devant les écrans.

Or, selon la Dre Rita Eichenstein, spécialisée en développement psychologique et en neuropsychologie, le phénomène de l’abrutissement devant l’écran influence directement la pensée de l’enfant. « C’est principalement dû au caractère passif du visionnement à l’écran. »

C’est une étude canadienne, menée auprès de 2000 enfants de 2 ans et demi, qui mentionne que chaque heure de trop passée devant la télévision indispose les enfants d’âge préscolaire à effectuer la transition vers la maternelle. Les chercheurs ont noté que plus les enfants étaient exposés à la télévision, pires étaient leurs aptitudes mathématiques, leur vocabulaire et leur attention.

De même, ceux-ci avaient des capacités physiques réduites, et un risque beaucoup plus élevé de subir de l’intimidation à la maternelle.

Pour l’article complet, suivez ce lien.

Catégories
Uncategorized

Obsession de la minceur : de précieuses minutes gaspillées chez les deux sexes

À moins que vous n’appréciiez vraiment vous en faire pour votre poids et culpabiliser dès que vous envoyez un aliment dans votre estomac, vous conviendrez que l’obsession de la minceur n’est pas le meilleur des passe-temps.

Pourtant, selon le Daily Mail (UK), cette obsession pour notre poids prendrait de plus en plus de temps dans une journée. Chez la femme, bien entendu, mais également chez l’homme, le phénomène n’étant plus du tout exclusif ou réservé à un genre.

Selon les statistiques rapportées par une équipe de chercheurs britanniques, une femme passerait jusqu’à 21 minutes par jour à penser à son poids, ce qui représente un nombre considérable. En fait, sur toute une vie d’une durée, disons, de 67 ans, cela signifie qu’une année entière aura été consacrée à l’obsession de la minceur.

Mais attention, les hommes ne sont pas loin derrière, avec une moyenne de 18 minutes par jour!

La pression devient de plus en plus forte, et même s’il s’agit d’une bonne chose de surveiller ce qu’on ingère, il faut aussi profiter de la vie et éviter de sombrer dans les troubles obsessifs. 

Catégories
Uncategorized

Le stress et le pouvoir de la pensée pourraient nuire à votre santé

Le cercle vicieux du stress peut s’avérer dommageable pour votre santé, c’est bien connu, mais la force de votre pensée peut aussi boucler la boucle de ce cycle fatal.

En effet, selon des statistiques démontrées par la NHS en Angleterre, ici rapportées par le Daily Mail (UK), la perception du stress et de ses impacts sur notre santé pourrait être suffisante pour nous causer du tort.

Donc, une personne qui se dit stressée, tendue, et qui croit fermement que cet état d’esprit va lui causer des problèmes de santé fait bondir ses chances de crise cardiaque, par exemple, de 50 %…

Un autre bel exemple du pouvoir de la pensée, donc, énoncé dans cette recherche britannique qui fait état, pour l’une des premières fois, d’un véritable lien entre la pensée humaine et un effet réel sur l’organisme.

Cette cause à effet a été avancée à la suite de recherches effectuées sur 7000 patients, et ce, sur une période de 18 ans.

Catégories
Uncategorized

La pensée magique au service du vieillissement en bonne santé

Ceux qui croient que la pensée n’a aucun pouvoir sur la matérialisation des choses risquent d’être abasourdis par cette nouvelle étude sur le vieillissement.

Rapportée par Santé Log, cette nouvelle recherche parle de l’importance de ne pas « s’imaginer vieux et fragile », puisque le corps pourrait bien transposer ces pensées en une triste réalité.

Ainsi, les chercheurs de l’Exeter Medical School, qui présentaient ces conclusions au début du mois lors de la conférence de la British Psychological Society, croient qu’il faut plutôt voir l’avenir avec optimisme et chasser les idées préconçues voulant que vieillir se fait inévitablement dans la douleur et la maladie.

C’est après avoir analysé les comportements et les réactions subséquentes de 29 personnes âgées que les chercheurs ont pu tester et confirmer leur théorie.

« En se voyant vieux et fragile, on agit comme si l’on est vieux et fragile. », croit l’un des sujets de l’étude en question.

Cette étude est révélatrice en ce qui concerne la force de la pensée sur le corps, et montre à quel point un comportement enthousiaste et optimiste peut soulever des montagnes. Tout porte à croire que cette façon de voir la vie est payante à tout âge!