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Percée majeure dans le domaine des neuro-prothèses

Santelog.com rapporte une percée importante dans le domaine de la robotique, plus particulièrement celui des neuro-prothèses.

Ces dernières viennent en aide aux gens souffrant d’un handicap majeur comme la paralysie partielle ou totale, afin de les aider à recouvrer certains mouvements. Le principe est déjà connu et utilisé, mais une percée majeure viendrait d’être effectuée.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Pittsburgh qui ont réussi à faire bouger un bras robotisé par une dame de 52 ans complètement paralysée.

Ces résultats ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Lancet et font état de la procédure.

Il semble que les chercheurs américains avaient franchi une première étape en installant des microélectrodes dans le cerveau de la patiente en février 2012. Ces électrodes comprennent des puces qui permettent de transformer les pensées en signaux numériques, acheminées vers un ordinateur.

Au final, ce processus permet donc d’activer et de faire bouger un membre artificiel… par la pensée.

Andrew Schwartz, de l’équipe de chercheurs de Pittsburgh, résume : « C’est une avancée majeure dans la technologie d’interface cerveau-machine. La participante s’est montrée capable d’effectuer des mouvements des mains plus complexes avec son bras robotique. Le mouvement devient plus naturel et plus réaliste ».

Ces recherches sont cofinancées par la Defense Research Agency des États-Unis.

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Découverte concernant la pensée subjective

Des chercheurs américains ont découvert que la pensée subjective permet de ressentir des effets d’une chose que l’on désire, même si on ne la possède pas réellement.
 
Selon le Psychological Science, penser à une chose ou une situation précise nous permet d’en ressentir les effets.
 
« Nous nous sommes rendu compte que les effets de la suggestion étaient beaucoup plus surprenants que nous le pensions », mentionne la chercheuse Maryanne Garry.
 
Ce mécanisme est appelé celui de la « réponse attendue ». En termes clairs, lorsque nous nous attendons à un résultat en agissant d’une façon, ce résultat se produit.
 
« Si nous pouvons exploiter le pouvoir de la suggestion, nous pourrons améliorer la vie des gens », ajoute-t-elle.
 
De nombreuses études demeurent à être effectuées sur le sujet pour tenter de mieux comprendre ce phénomène qui s’apparente un peu à l’effet placebo.
 
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Les paroles des mamans influencent la façon de penser de leurs enfants

Les jeunes enfants dont les mères parlent fréquemment et de façon détaillée au sujet des sentiments des personnes ont tendance à mieux comprendre les points de vue que les autres enfants du même âge.

Voilà les conclusions des chercheurs de l’University of Western Australia, dans une nouvelle étude publiée dans le journal Child Development.

« Les parents qui se mettent souvent dans la peau de quelqu’un d’autre dans les conversations avec leurs enfants font en sorte qu’il est plus probable que leurs petits soient en mesure de faire la même chose », a expliqué le principal auteur de l’étude.

Les chercheurs ont donc examiné la façon dont les parents interagissent et parlent avec leurs enfants. L’étude, qui a duré deux ans, a suivi plus de 120 petits Australiens âgés de 4 à 6 ans.

Les mères influencent ainsi la capacité linguistique de leurs enfants et leur flexibilité cognitive, ont expliqué les experts.

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Penser à l’exercice augmente l’appétit

Penser à des exercices physiques augmente l’appétit, selon une étude rapportée par MedicMagic.
 
Le problème est que si, en fin de compte, on ne bouge pas, nous allons manger plus et donc, éventuellement, prendre du poids.
 
Les chercheurs ont étudié trois groupes de volontaires. Un premier devait lire un scénario qui disait qu’ils courraient 30 minutes en écoutant de la musique. Le deuxième groupe avait une lecture de scénario décrivant une activité physique fatigante et le troisième groupe avait un scénario qui n’était aucunement relié à l’exercice.
 
Après la lecture, on leur a remis un goûter comportant de nombreux aliments sucrés. Les participants des deux premiers groupes ont consommé 51,9 % plus d’aliments que le troisième groupe dont le scénario n’avait rien à voir à l’exercice.

Ainsi, il est donc important de bouger réellement, sinon votre consommation calorique risque fort d’augmenter.

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Pouvoir poser des actions par la pensée

L’évolution technologique se fait rapidement depuis les dernières années. La réalité rejoint la fiction. Les gadgets vus dans les films de James Bond sont à notre portée, les technologies utilisées par les personnages de Star Wars seront bientôt existantes.
 
La compagnie Interaxon, à Toronto, est sur le point de lancer une technologie qui permettra à ses utilisateurs de poser des gestes simplement par la pensée.
 
Depuis quelque temps déjà, elle a permis au public de contrôler certains éclairages importants en Ontario, comme celui des chutes Niagara, de la Tour de Toronto et même du parlement, grâce à une interface cerveau-ordinateur.
 
Il est maintenant possible de convertir les effets de la pensée en action grâce à une interprétation des signaux cérébraux. « Nos cerveaux sont des organes électriques. Ils émettent un signal et on peut lire ça. De la même façon que nous utilisons une antenne pour syntoniser une station de radio, nous pouvons capter les stations du cerveau », mentionne le directeur d’Interaxon, Trevor Coleman.
 
On tentait de développer cette technologie pour les personnes handicapées, mais voilà que tout le monde risque d’y avoir accès par l’entremise des jeux vidéo. Dans ce domaine, c’est effectivement une voie que l’on souhaite exploiter sous peu.
 
Déjà, la compagnie américaine Emotiv s’apprête à révolutionner les jeux vidéo grâce à un casque avec 14 capteurs capables de contrôler les réponses émotionnelles de son utilisateur.
 
Ce n’est qu’une question de temps, et très peu de temps, avant de pouvoir réellement agir par la pensée.
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Il est réellement possible de communiquer par la pensée

Communiquer par la pensée ne fait plus partie de la science-fiction. Des chercheurs sont parvenus à le faire avec un individu de 29 ans, victime d’un grave accident de la route, maintenant incapable de bouger ou de parler. On le croyait plongé dans un état végétatif, mais les tests ont démontré une activité cérébrale très claire.
 
Les scientifiques ont utilisé une imagerie par résonnance magnétique particulière pour entrer en contact avec cette personne. Elle a été capable de répondre à des questions par oui ou par non en modulant ses pensées.
 
C’est une avancée importante qui permettrait aux médecins de mieux comprendre les besoins de leurs patients qui pourront maintenant s’exprimer.
 
Mis à part cet individu, le même test a été effectué chez 23 autres personnes considérées comme étant dans un état végétatif. Selon le New England Journal of Medicine, quatre d’entre elles ont présenté un état de conscience prouvant que l’état végétatif diagnostiqué était faux. Pour la première fois, ces personnes ont pu communiquer avec d’autres.
 
Par contre, on insiste sur le fait que ce ne sont pas toutes les personnes diagnostiquées dans un état végétatif qui sont conscientes, car certaines ne le seront plus jamais.
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Un journal pour les cancéreux

Des chercheurs américains encouragent désormais les patients atteints de cancer à écrire un journal. Selon eux, cet exercice littéraire permettrait d’améliorer la communication entre le médecin et son patient, mais aussi de favoriser le bien-être ainsi que la diminution de la douleur.

234 sujets cancéreux ont participé à cette recherche. Ils ont été répartis en 3 groupes. Les membres du premier groupe tenaient un journal dans lequel ils notaient en détail leurs symptômes. Le second groupe se contentait de répondre à un questionnaire sur leurs symptômes. Les patients du troisième, eux, suivaient simplement leurs traitements.

Le Dr M. Soledad Cepeda a découvert que le premier groupe avait un meilleur moral et avouait ressentir moins de douleur que les deux autres groupes ayant participé à l’étude.

Seule nuance au tableau, d’autres recherches devront être menées afin de corroborer cette hypothèse auprès des cancéreux en phase terminale.