Catégories
Ton petit look

Comment prendre soin de soi pendant la pandémie

Encore un article sur le confinement? Oui! Je crois qu’il est important de partager notre quotidien, de voir comment les autres vivent cette situation, et de trouver nos propres outils qui nous aident à nous sentir mieux. Ensemble, bien qu’à distance, nous réussirons à passer au travers.

C’est l’hiver, comme si le froid, les tempêtes et le manque de soleil n’affectaient pas déjà notre moral, il y a un confinement. Il semble plus ardu de prendre soin de soi et de notre santé mentale depuis que nous sommes pris entre nos 4 murs, et je me demande chaque jour comment me changer les idées.

Je peux évidemment vous conseiller mille et un trucs pour prendre soin de vous, mais la vérité c’est que vous les connaissez sûrement déjà. Il est tout à fait impossible de réinventer la roue, mais voici quelques activités qui me font du bien au quotidien:

  • Marcher (durant les heures permises)
  • Jouer à des jeux vidéo en ligne avec des amis
  • Bouger dans le salon, ou dans la cuisine
  • Appeler les gens qu’on aime
  • Profiter d’un spa maison
  • Essayer les Perler Beads
  • Faire le ménage de l’appartement
  • Écrire un livre, ou un article

Une multitude d’activités s’offre à nous, mais l’important c’est d’être honnête envers soi-même en choisissant seulement les activités qui NOUS font du bien! Il est aussi primordial de prendre le temps de vivre nos émotions, même lorsqu’on n’arrive pas vraiment à les exprimer pour le moment, parce que ça fait vraiment toute la différence. Voici donc mon processus en 2 étapes (presque simples) pour essayer de prendre soin de soi.

Faire des activités qui NOUS font du bien

Hier, je suis allée faire du ski-doo en fin de journée, et honnêtement, je pense que c’est l’activité qui m’a fait le plus de bien depuis très longtemps. Je ne dis pas ça nécessairement pour que vous alliez faire du ski-doo. En plus, si vous habitez en ville, ce n’est peut-être pas l’activité la plus simple à faire.

Ce que je veux dire, c’est que c’est important de trouver une activité qui vous fait vibrer. Qu’aimez-vous faire? Qu’est-ce qui vous allume? Qu’est-ce qui fait en sorte qu’à la fin de la journée, vous vous sentez bien dans votre corps?

Ne pas avoir peur de vivre nos émotions

Ce qui me fait aussi du bien, c’est de faire un braindump. Je prends tout ce qui me tourne dans la tête, et je l’écris sur papier. Tout, tout, tout! Pourquoi? Il y a beaucoup de pensées qui nous sont inutiles et qui nous bloquent au quotidien. Même de petites choses. En les mettant sur papier, on en prend conscience, et on fait de la place pour du nouveau.

À partir de là, on peut essayer de laisser entrer plus d’émotions positives en faisant l’étape #1, soit des activités qui NOUS font du bien, mais aussi en pensant à des choses qui nous motivent. Si vous aimez coudre, par exemple, eh bien, vous aurez plus de place pour penser à ce que vous pourriez coudre, et donc vous concentrer sur des activités que vous aimez, des choses que vous aimez.

La vérité, c’est qu’il n’y a pas de recette secrète. La seule recette qui peut fonctionner, c’est nous qui pouvons la créer. N’ayez donc pas peur d’essayer des choses, de faire de la place pour du nouveau, et de mettre à votre agenda des activités qui vous rendent heureux.se.s.

Qu’aimez-vous faire pour prendre soin de vous durant ce confinement?

Catégories
Uncategorized

Qui sont ces personnes aux pensées suicidaires?

Réalisée en 2010 auprès de femmes et d’hommes âgés de 40 à 59 ans, la plus récente étude de la Direction de la recherche, des études et de l’évaluation des statistiques (Drees) avance que 5 % de ces personnes confient avoir eu des pensées suicidaires.

Parmi le groupe de recherche, 9 % des hommes et 7 % des femmes étaient qualifiés comme étant dépressifs, deux semaines avant l’enquête.

Les personnes qui ont des problèmes de santé qui les empêchent de jouir de leur vie quotidienne ou des troubles auditifs ou visuels sont trois fois plus nombreuses à avoir pensé au suicide.

Les personnes qui fument ou boivent de l’alcool de façon régulière sont deux fois plus concernées par les idées noires, tout comme celles qui souffrent de douleurs, troubles du sommeil ou digestifs.

Les gens qui ont pensé passer à l’acte sont souvent moins en couple, veufs ou séparés depuis au moins quatre ans. Ils n’ont pas un grand cercle social, 51 % n’ont pas eu d’activité sociale au cours de la dernière année.

Les personnes qui ne travaillent pas ou sont peu fières de leur parcours professionnel ou encore ceux qui travaillent, mais ne se sentent pas bien à leur boulot sont portées à commettre l’irréparable, énumère le site de Top Santé.

Catégories
Uncategorized

Contrôler ses gestes par la pensée

En contrôlant leurs gestes par leur pensée, les personnes handicapées physiquement pourraient gagner un peu d’autonomie et ainsi améliorer leur qualité de vie.

Le mouvement des muscles est contrôlé par le cerveau. Cependant, une lésion de la moelle épinière, un AVC ou des troubles neuromusculaires peuvent empêcher ce mouvement et, par le fait même, causer la paralysie.

Les chercheurs de la Brown University, du Massachusetts General Hospital et de la Harvard Medical School ont donc créé une interface cerveau-ordinateur, le BrainGate, qui rétablit la connexion entre le cerveau et un dispositif à l’extérieur du corps.

En fait, l’appareil détecte l’activité des cellules du cerveau et transforme ces signaux en données numériques qui activent les appareils externes.

Rappelons qu’une nouvelle approche d’intervention a vu le jour l’an dernier en Alberta dans le but de mieux traiter la paralysie cérébrale chez les enfants. Au lieu de se baser sur la posture ou les aptitudes à faire des mouvements, cette méthode d’intervention porte plutôt sur le milieu de vie de l’enfant et le jeu.

Catégories
Uncategorized

Favoriser le discours intérieur des enfants autistes

De nouvelles recherches publiées dans la revue Development and Psychopathology indiquent que la plupart des enfants apprennent à résoudre des problèmes en parlant à voix haute, mais à mesure qu’ils vieillissent, ils parlent davantage dans leur tête.

Bien que les individus atteints d’autisme détiennent cette même capacité, ils l’utilisent rarement. Les résultats suggèrent que les enfants autistes oublient de se parler intérieurement, s’ils ne parlent pas à voix haute.

L’enseignement à utiliser davantage le soi-disant « discours intérieur » pourrait faire une grande différence pour eux à long terme, pensent les spécialistes.

C’est dans le but de mesurer leur capacité de planification que des chercheurs britanniques ont fait répéter à voix haute des mots banals comme « mardi » ou « jeudi », durant toute la réalisation d’une tâche, à un groupe de personnes autistes et à un autre groupe sans problèmes neuraux.

Il s’est avéré que 90 % des gens ordinaires ont été grandement distraits avec l’idée de répéter un mot constamment, et leur tâche a été nettement moins bien accomplie. Quant aux gens autistes, ils n’ont rencontré aucune difficulté à bien réaliser la tâche demandée.

Catégories
Uncategorized

Les médicaments fonctionnent seulement si l’on y croit

Des chercheurs d’Oxford, de Cambridge et de deux universités allemandes ont étudié le rôle de la pensée consciente sur la perception de la douleur. 
 
Ils ont placé un dispositif très chaud sur la peau de 22 volontaires et ont installé des intraveineuses pour administrer des analgésiques. Au départ, sur une échelle de 0 à 100, le seuil de douleur des participants était en moyenne de 66, mentionne le journal Science Translational Medicine.
 
Lorsque les chercheurs ont commencé à donner des analgésiques, sans le dire aux participants, cette cote a chuté à 55 sur 100. Étrangement, dès que les volontaires ont su qu’ils recevaient des analgésiques, le seuil de la douleur a chuté à 39. Ensuite, les chercheurs ont annoncé aux personnes qu’elles ne recevaient plus d’analgésiques et le seuil de douleur a remonté à 64, même si les médicaments continuaient d’être administrés.
 
De plus, l’activité cérébrale de chacun des participants a été mesurée par l’imagerie par résonnance magnétique (IRM). La zone de la douleur était plus active lorsque les personnes croyaient qu’elles ne recevaient pas d’analgésiques.
 
Les chercheurs affirment que les médecins devraient tenir compte de la perception des patients dans les traitements qu’ils reçoivent. Une personne qui a consulté plusieurs médecins pour traiter ses douleurs chroniques en vain sera négative dès le départ et ne pourra croire à un soulagement.