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Le Pentagone affirme que des extraterrestres pourraient pénétrer notre système!

Des responsables du Pentagone, dans le cadre d’un projet «spécial», ont affirmé que des extraterrestres seraient en mesure de pénétrer notre système solaire afin de déposer des sondes minuscules dans le but d’étudier notre planète.

Un peu comme les missions menées par la NASA.

Le projet de ce rapport de recherche a été composé par Sean Kirkpatrick, directeur du All-Domain Anomaly Resolution Office (AARO) du Pentagone, et Abraham Loeb, président du département d’astronomie de l’université de Harvard.

Voici ce que stipule une partie du rapport:

«Un objet interstellaire artificiel pourrait potentiellement être un vaisseau parent qui libère de nombreuses petites sondes lors de son passage proche de la Terre, une construction opérationnelle qui n’est pas très différente des missions de la NASA. Ces graines de pissenlit pourraient être séparées du vaisseau mère par la force gravitationnelle de marée du Soleil ou par une capacité de manœuvre.»

Cela dit, lors des dernières années, plusieurs objets ont été détectés proches de la terre, comme ç’a été le cas en octobre 2017 avec un objet interstellaire qui a été baptisé «Oumuamua».

En 2020, soit trois ans plus tard, un autre objet a également été aperçu, et celui-ci, comme celui de 2017, ne présentait aucune traînée cométaire.

«Avec une conception appropriée, ces minuscules sondes pourraient atteindre la Terre ou d’autres planètes du système solaire à des fins d’exploration, lorsque le vaisseau mère passerait à une fraction de la distance Terre-Soleil, comme l’a fait Oumuamua. Les astronomes ne pourraient pas remarquer la pulvérisation des mini-sondes parce qu’elles ne reflètent pas suffisamment la lumière du soleil pour que les télescopes d’étude existants les remarquent», ont aussi écrit les auteurs de l’étude.

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Coronavirus: Le Pentagone achète 100 000 sacs mortuaires

Le département de la défense des États-Unis, dont les bureaux sont regroupés au Pentagone, fera parvenir ces 100 000 sacs à l’agence Federal Emergency Management (FEMA) qui dispose déjà de 50 000 sacs mortuaires et qui coordonne les efforts américains pour combattre la COVID-19.

La FEMA est cette même agence qui a fait parvenir des camions réfrigérés dans les dernières heures à New York. Ces camions serviront de morgues temporaires si la situation se détériore dans la mégapole américaine.

L’État de New York est fortement touché par le coronavirus avec 92 381 patients infectés et plus de 2 300 morts. La ville de New York, avec ses 52 000 cas à elle seule, ne disposerait selon le gouverneur Andrew Cuomo que de six jours de ventilateurs avant d’être en rupture de stock.

À l’échelle nationale, les États-Unis comptent plus de 236 000 personnes infectées à la COVID-19. 

Le pays est de loin celui qui est le plus touché par le virus dans le monde, alors que 204 pays combattent la pandémie.

Photo : Cover Images

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De nouvelles armes contrôlées par la pensée

Un nouveau programme top-secret du département de la défense américaine serait développé par la  DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), affirme le site spécialisé Popular Mechanics.

Si cela s’avère, des armes seraient contrôlées par la pensée à l’aide d’un casque spécial ou d’un appareil installé sur la tête des soldats.

Le résultat se traduirait par une rapidité d’exécution inégalée sur les champs de bataille. Un net avantage face à l’ennemi.

Cette information, quoiqu’ultra confidentielle, semble se vérifier à même des rapports émis par la DARPA. Cette dernière a confirmé travailler sur des expériences avec les «champs magnétiques, électriques et acoustiques».

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L’objectif de DARPA serait de créer un système d’opération utilisant la pensée et qui pourrait ensuite être branché aux différents systèmes de contrôle actuels des armes utilisées par l’armée.

Photo : U.S. Army