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Cette application québécoise va tout changer pour le recrutement d’employés

La pénurie de main-d’oeuvre reste importante dans de nombreuses entreprises du Québec. Et une firme bien de chez nous a décidé de prendre les choses en main en mettant sur pied une plateforme visant à résoudre le problème, rapporte TVA Nouvelles

Evolia est spécialisée en ressources humaines. Sa plateforme offre aux employés et aux employeurs un nouveau logiciel de recrutement afin d’afficher les quarts de travail qui ne sont pas comblés. Les employés peuvent ensuite inscrire leurs disponibilités et opter pour les quarts qu’ils désirent. 

« Ça permet au travailleur de faire son horaire de rêve. On le sait qu’aujourd’hui, le gros bout du bâton dans le marché (de l’emploi), c’est le travailleur qui l’a, ce n’est plus l’entreprise. Donc, il faut que l’entreprise s’adapte à cette réalité-là », a fait savoir Martin Ouellet, président et fondateur d’Evolia, lors de son passage à l’émission À vos affaires.

Ainsi, environ 1 000 employeurs sont déjà inscrits sur la plateforme qui intéresse autant le secteur de la restauration que celui du service à la clientèle, en passant par les manufactures, le réseau de la santé et bien d’autres.

D’ailleurs, les employeurs n’ont pas à payer pour utiliser l’application.

« Ils peuvent publier autant de quarts de travail qu’ils veulent et après, quand ils sont intéressés par un candidat, ils vont juste payer pour le candidat qui les intéresse », précise Martin Ouellet, qui croit que de plus en plus d’entreprises risquent de s’inscrire à la plateforme.

« Souvent, l’entreprise n’est pas capable d’offrir un 40 heures qui plairait, donc ils sont obligés de faire des compromis de ce côté-là », ajoute M. Ouellet, qui prédit que la pénurie de main-d’oeuvre est « pire que jamais » et ne s’estompera pas de sitôt. 

« Ça ne changera pas. Ça ne s’estompera pas dans les prochaines années », conclut-il. 

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Mauvaise nouvelle pour les fans de la sauce Siracha

Alors qu’une pénurie de sauce Sriracha a frappé le continent en 2022, voilà que la situation pourrait bientôt se répéter, rapporte le Journal Métro.

Selon ce qu’a indiqué la société Huy Fong Foods, basée à Irwindale (Californie), celle-ci serait confrontée à une «pénurie de stocks sans précédent» et à l’heure actuelle, la compagnie dit ignorer quand cette situation prendra fin.

Parmi les facteurs qui sont pointés du doigt par Huy Fong Foods, la sécheresse qui a frappé le Mexique l’année dernière aurait joué un rôle majeur puisqu’elle a gravement nui aux récoltes de piments jalapeños rouges, qui constituent l’ingrédient principal de la sauce Sriracha.

Le Los Angeles Times a rapporté que la société utilise annuellement environ 50 000 tonnes de ces piments afin de produire ses célèbres sauces.

Crédit photo: Adobe Stock

Certains restaurants et supermarchés ont d’ailleurs commencé à se préparer à une éventuelle pénurie en rationnant le nombre de bouteilles vendues ou utilisées.

L’automne dernier, Huy Fong Foods avait annoncé que la production avait repris, mais elle avait toutefois prévenu qu’elle disposait seulement d’un approvisionnement limité.

Il existe des alternatives à la fameuse sauce Sriracha, mais les amateurs de ce type de sauce préfèrent souvent s’en tenir au produit classique.

Rappelons enfin que la sauce Sriracha est produite à partir de poivrons rouges mûris au soleil au Mexique et assaisonnée de vinaigre, de sel, de sucre et d’ail.

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L’Ontario aussi aux prises avec une pénurie de donneurs d’organes

C’est maintenant au tour de l’Ontario de se joindre au Québec dans un nouvel effort de sensibilisation aux dons d’organes, rapporte Radio-Canada.

Le dossier des donneurs d’organes, ou plutôt de la pénurie de donneurs, est un dossier chaud au Québec. Il appert que la province ontarienne voisine est aux prises avec le même problème, des situations qui sont inacceptables pour plusieurs spécialistes et observateurs.

On estime à 1500 le nombre de patients ontariens qui sont en attente d’une transplantation et qui regardent la mort bien en face à cause de la pénurie d’organes créée par le manque de donneurs.

La directrice de l’agence Trillium pour le don de la vie, Mme Ronnie Gavsie, rappelle qu’il est important pour les donneurs de prévenir leur famille de leur choix et d’officialiser le tout sur papier, afin que les proches ne changent pas la décision le moment venu.

La moitié des familles seulement donnerait son accord pour le don d’organes à la suite d’un décès. Une décision que l’on peut facilement comprendre en période de deuil et de drame, mais qui s’explique mal lorsqu’on sait (selon Triilium) qu’un seul donneur peut sauver jusqu’à huit vies.

Le Québec recensait 1047 patients en attente d’un organe en date du 31 décembre 2013.

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La pénurie d’infirmiers (ères) se poursuit au Québec

Alors que le nombre d’infirmiers et d’infirmières au Québec est toujours en progression, et que l’on croyait avoir enrayé le problème de manque, surtout parce qu’on en parle moins, Radio-Canada rapporte que la province est toujours aux prises avec un problème de pénurie.

Cette conclusion provient d’un rapport proposé par l’Ordre des infirmiers et infirmières du Québec (OIIQ) plus tôt cette semaine (5 mars), qui parle d’un manque à gagner de près de 2 %.

Si le nombre d’infirmiers et d’infirmières avait augmenté de plus de 8 % au cours des dix dernières années, il semble que seulement 50 % de ces travailleurs au public occupent un poste à temps plein.

De plus, un nombre grandissant d’infirmiers et d’infirmières travaillent maintenant dans le secteur privé ou auprès d’industries, ce qui ajoute au problème.

De nombreuses régions affirment être en pénurie, alors que d’autres refusent simplement d’augmenter le nombre d’infirmiers dans leurs établissements, pour une raison ou une autre.

Heureusement, le rapport confirme que les programmes en soin de santé sont pleins, refusant même des candidats et candidats, ce qui pourrait signifier une hausse des ressources de 3500 infirmiers et infirmières par année. Le nombre de retraites dans le domaine est évalué à 2300 par année.

Le problème n’est donc toujours pas résolu, mais il est permis de croire qu’il pourrait l’être au cours des prochaines années. 

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Un médecin proactif crée un site de placement médical en ligne

La proactivité est mère de bien des solutions, et un médecin à l’aube de la retraite entend faire sa part et contribuer à aider les patients qui n’ont pas de médecin de famille à se trouver un généraliste, rapporte Radio-Canada.

Il s’agit du Dr Pierre Beauchemin, qui prendra sa retraite le mois prochain après 41 ans de loyaux services comme médecin auprès des patients de sa communauté, et qui a décidé de lancer un projet afin d’aider ces derniers à retrouver un médecin, un peu poussé par sa conscience.

« C’est la réaction des patients qui m’a forcé jusqu’à un certain point à m’occuper de ça. Ils comprenaient que je prenne ma retraite après 41 ans, mais souhaitaient aussi savoir quel médecin prendrait la relève », explique le Dr Beauchemin.

Or, en l’absence justement de relève, le praticien a décidé d’agir.

« Il faut absolument que je les avertisse et que je fasse une recherche pour les diriger vers de potentiels médecins », s’est alors dit le proactif médecin, créant ainsi un site web capable de déterminer les offres et possibilités et de diriger les patients de sa région.

Le Dr Beauchemin y va par ailleurs en conclusion d’une déclaration stupéfiante et des plus importantes : « Le nombre de médecins est probablement suffisant. Ce que j’ai cru remarquer après 41 ans de pratique, c’est que les tâches administratives sont de plus en plus lourdes, ce qui nous laisse moins de temps pour s’occuper des patients, d’où l’importance du dossier électronique qui permet de faire circuler l’information des patients plus rapidement ».

Dommage que M. Beauchemin prenne sa retraite, car le gouvernement aurait bien besoin de ce genre d’avis, d’idées et de proactivité, en ce moment.

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Le paradoxe canadien des médecins spécialistes

Radio-Canada rapporte un paradoxe aussi frustrant qu’étonnant, alors qu’une nouvelle étude révèle qu’un taux élevé de médecins spécialistes canadiens peinent à se trouver un emploi.

Incroyable, quand on pense aux problèmes criants du système de santé actuel, spécialement au Québec. Ce serait donc 7,7 % des nouveaux médecins spécialistes qui affirment avoir du mal à se dénicher un emploi, un chiffre qui grimpe à 16 % sur l’ensemble du territoire canadien.

42 % affirment souhaiter suivre une formation complémentaire afin d’améliorer leurs chances, mais plusieurs se demandent comment les autorités peuvent se permettre de se priver de toutes ces ressources disponibles sur le marché.

C’est le cas de Danielle Fréchette, qui dirige l’étude commandée par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

« Pour nous, un neurochirurgien ou n’importe quel autre médecin spécialiste qui est sans emploi est problématique quand on pense aux listes d’attente des patients. Comment est-ce qu’on peut s’organiser pour répondre à leurs besoins? Il faut penser aux patients et aux listes d’attente que subissent ces patients. Pourquoi est-ce qu’on ne peut pas arrimer la production du système de formation avec les ressources qui sont disponibles et arrimer les ressources avec les besoins de la population? » s’interroge Fréchette, avec une pointe d’impatience bien sentie.

Le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada doit tenir un sommet l’hiver prochain, afin de voir comment cette situation pourrait être améliorée.

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Le Myanmar victime de sa nouvelle popularité

On parlait depuis l’automne dernier de cette ascension touristique du côté du Myanmar, et il semble que la réalité ait dépassé les prévisions les plus optimistes.

En effet, rapporte CNN, le Myanmar jouit en ce moment d’une popularité sans précédent auprès des touristes du monde entier, notamment à la suite du passage du président américain Barack Obama, à un point tel que les installations ne sont pas suffisantes pour accueillir tout ce beau monde.

Les hôtels de la région affichent complet, au plus grand bonheur des tenanciers, mais on conseille vivement aux voyageurs de ne pas attendre d’avoir mis le pied au Myanmar pour boucler une réservation.

Par ailleurs, on ne croit pas que le problème pourrait se régler rapidement, puisque la demande croissante écrase les prévisions en matière de nouvelles constructions.

Le Myanmar voit de plus en plus de gens débarquer sur son territoire, des hausses de 25 % chaque année depuis 2009. On note une hausse incroyable de 54 % en termes d’arrivées d’étrangers au Myanmar pour l’année 2012!

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Suivi médical des mères et dés bébés : le Québec manque à l’appel

Dans un rapport déposé le 23 février à l’Assemblée nationale, le commissaire à la santé et au bien-être, Robert Salois, met en avant-plan le manque et l’absence de suivi médical chez les femmes enceintes et les bébés, pendant et après la grossesse.

Avec la pénurie de spécialistes et le nombre de naissances grandissant, M. Salois propose que le Québec s’aide en s’outillant d’un réseau de cliniques du nourrisson qui permettrait d’offrir un meilleur encadrement, notamment lors du premier trimestre de grossesse qui s’avère très déterminant.

Ces cliniques rassembleraient en un endroit des personnes qui pourraient échanger, en privé ou en groupe, avec une personne-ressource pendant et après la grossesse. Selon lui, un site internet complet avec des informations sur la petite enfance et davantage de cours postnataux devrait être offert.

Le commissaire a interrogé 200 personnes, 49 familles et 27 experts, qui ont tous conclu que le Québec éprouve de grandes difficultés et ne fait pas de l’enfant sa priorité.

La province connaît une hausse du taux de natalité depuis quelques années. En 2010, 88 000 naissances ont d’ailleurs été enregistrées. On compte 500 000 enfants de 0 à 5 ans. Selon le rapport, il semblerait que seuls 68 % des bébés ont eu droit à des visites postnatales à la maison.

Pour le ministre de la Santé, Yves Bolduc, qui a pris connaissance du document, il n’y a pas place à l’inquiétude, car toutes les femmes finissent par avoir accès à un professionnel de la santé durant la grossesse. De plus, le taux de mortalité infantile au Québec est parmi les plus bas du Canada.

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Pénurie de médicaments à venir?

Plusieurs pays dans le monde manquent de médicaments. Cette situation guette également le Canada.
 
Selon les experts, la décision de Santé Canada de bannir les médicaments fabriqués par l’entreprise américaine Ben Venue Laboratories est déjà un signe de problèmes en approvisionnement et en sécurité.
 
Ben Venue Laboratories ne respectait pas les normes de l’industrie. Le Canada continuera donc d’importer uniquement les médicaments qui sont nécessaires ou qui peuvent traiter les maladies graves et pour lesquels il n’existe encore aucun substitut.
 
Les normes plus rigoureuses et les besoins grandissants de la population mondiale en médicaments expliquent en partie les raisons pour lesquelles certains commencent à manquer.
 
Pour l’instant, il n’y a pas lieu de s’inquiéter, mais la situation est surveillée de très près.
 
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Des mesures contre la pénurie d’infirmières

Le ministre de la Santé et des Services sociaux a donné suite aux recommandations proposées par la Table nationale de concertation sur la main-d’oeuvre en soins infirmiers en annonçant une série de mesures visant à pallier la pénurie d’infirmières, ce qui totalise un investissement de 80 millions.

Parmi les mesures adoptées par le Ministère, se trouvent :
 
  • la réorganisation du travail;
  • la mise en place d’un programme de mentorat;
  • l’amélioration des équipements pour les soins à domicile et en établissements.
« Nous devons tout mettre en oeuvre pour garder dans notre réseau public les infirmières et infirmiers auxiliaires qui font le choix de cette profession. Les recrues comptant moins de trois années d’expérience et oeuvrant sur les quarts de soir et de nuit pourront ainsi bénéficier du soutien de collègues expérimentées. Cette mesure aura des impacts positifs, tant pour les nouvelles venues que pour les infirmières chevronnées, qui y verront une opportunité de prolongation de carrière», a mentionné M. Couillard.