Selon un article publié dans l’édition de mai de l’American Journal of Obstetrics & Gynecology, le mérite de cette découverte revient à Steven Graves, qui dirige la portion chimie de l’étude à l’Université Brigham Young dans l’Utah, ainsi qu’à Sean Esplin, professeur de l’Université et obstétricien. Le début de leurs recherches remonte à 2002.
L’analyse sanguine, effectuée durant le 2e trimestre de grossesse, identifie une différence significative des peptides, associés à certaines molécules de protéines. Ces informations permettent de déterminer si la femme enceinte est à risque ou non d’un accouchement prématuré.
L’Université Brigham Young a légué le droit d’utilisation de cette découverte à la compagnie Sera Prognostic. L’entreprise espère tester cette nouvelle méthode de dépistage sur le marché dès le premier semestre de 2012.