Catégories
Uncategorized

Des cellules du cerveau humain utilisées pour rendre des souris plus intelligentes

Le lien entre la souris et l’homme n’est plus à faire, comme les chercheurs du monde entier l’ont depuis longtemps compris.

Il existe tant de parallèles entre le rongeur et l’humain que presque tous les tests et essais cliniques se font maintenant sur des souris. Cependant, rien ne nous préparait à cette nouvelle révélation, publiée dans le cadre d’une étude que rapporte The National Library of Medicine.

Selon des chercheurs en neurologie de l’Université South Florida à Tampa, une expérience concluante aurait permis de transplanter des cellules cérébrales humaines sur des souris, les rendant ainsi plus intelligentes!

« C’est excitant. Les cellules étaient encore fonctionnelles et agissaient comme sur les humains, et ont même amélioré certaines capacités d’apprentissages », déclare avec enthousiasme le Dr Steven Goldman de l’Université de Rochester.

Les conclusions de cette recherche inédite, publiée dans l’édition du 7 mars du journal Cell Stem Cell, tendent à démontrer que de nouvelles techniques similaires pourraient être envisagées comme traitement de certaines maladies dégénératives ou cérébrales, comme le Parkinson ou l’Alzheimer.

Catégories
Uncategorized

Un test de dépistage… du suicide

Top Santé rapporte une percée par l’entremise des chercheurs australiens concernant un fléau universel.

On parle du suicide, un sujet toujours chaud et un problème de société qu’il faut absolument combattre avec force.

C’est justement la mission que se sont donnée les chercheurs de l’Université New South Wales, en tentant de créer le premier test de dépistage du suicide au monde.

Ce sont d’abord les Suédois qui ont parlé en premier de cette possibilité, en faisant la découverte et démontrant l’impact d’une molécule neurotoxique appelée acide quinoléique. Cette dernière pourrait être à blâmer dans différents cas de suicides, en plus d’être déjà au banc des accusés en ce qui a trait à plusieurs maladies dégénératives comme l’Alzheimer.

« Nous connaissons maintenant le mécanisme et la molécule impliquée, donc nous devons trouver un moyen simple de le tester. Nous pensons que cela prendra environ 12 mois pour développer un test qui pourrait donner aux médecins des résultats en 24 à 48 heures. », explique le professeur Gilles Guillemin, de l’équipe de chercheurs impliquée dans le dossier.

Si plusieurs autres spécialistes doutent de la possibilité d’un test de dépistage du suicide, on ne pourra pas blâmer les chercheurs australiens, puisqu’eux, ils auront tenté le coup.

Catégories
Uncategorized

Un nourrisson infecté par le VIH en rémission

Il s’agit d’une première mondiale. Des scientifiques annoncent qu’un bébé infecté du VIH serait guéri.

Ces révélations ont été faites lors de la Conference on Retroviruses and Opportunistic Infections (CROI), le 3 mars dernier, à Atlanta. Selon les chercheurs, il s’agit d’une preuve solide selon laquelle les nouvelles façons de faire en matière de traitement du VIH fonctionnent.

On parle ici notamment du traitement rétroviral, qui semble efficace lorsqu’appliqué sur un nouveau-né, quelques moments à peine suivant sa venue au monde.

Le nourrisson qui fait l’objet de cette première a été traité dans les 30 premières heures suivant sa naissance, et les médecins ont pu observer une décroissance de la terrible maladie. À un point tel qu’à un certain moment, ils ont pu conclure à une rémission.

Les chercheurs, des universités du Mississippi et du Massachusetts, croient que bien qu’il s’agisse d’une grande nouvelle, plusieurs étapes restent à franchir avant de pouvoir parler d’une révolution complète dans le domaine.

Catégories
Uncategorized

Les neurones survivraient à leur propriétaire

C’est une découverte aussi intéressante que troublante que rapporte Top Santé, alors que des chercheurs ont établi que les neurones du cerveau peuvent vivre, et survivre, souvent bien plus longtemps que l’humain lui-même.

Après avoir tenté diverses expériences sur des rats, les scientifiques de l’Université de Pavie, en Italie, ont découvert que non seulement les neurones ont une capacité de survie après la mort de l’hôte, mais qu’ils pouvaient aussi être « transférés » dans un autre cerveau!

En effet, il appert que ce qu’il serait convenu d’appeler une transplantation neuronale ne relève pas de la fiction, mais qu’il s’agit d’un concept tout à fait réalisable.

« Vous pouvez étendre la durée de vie maximum d’un animal sans vous inquiéter que ses neurones meurent avant la mort de l’animal… (si vous viviez très vieux), vous ne perdriez pas vos neurones, parce que vos neurones n’ont pas une durée de vie limitée », lance le neurochirurgien Lorenzo Magrassi, co-auteur de l’étude en question.

Les applications possibles de ce processus sont pour ainsi dire infinies. Reste à savoir si ces découvertes s’appliquent chez l’Homme, ce que croient les spécialistes.

Catégories
Uncategorized

Des chercheurs parviennent à connecter deux cerveaux à l’aide d’une interface

Attention, la nouvelle qui suit risque de vous renverser. On nage ici en pleine science-fiction, comme quoi ceux qui croient que l’avenir est en fait maintenant ont peut-être tout à fait raison.

C’est Santé Log qui rapporte cette nouvelle étonnante expliquant que des chercheurs de l’Université Duke ont réussi à connecter deux cerveaux par le biais d’une interface, permettant ainsi l’échange d’informations cérébrales à distance.

On parle d’un système « d’ordinateurs biologiques » dans la publication des résultats de ces tests futuristes, parus dans l’édition du 28 février du Nature Scientific Reports. On n’a pour l’instant réussi la manœuvre que sur des rats, mais les tests sur ces rongeurs se sont avérés plus que concluants.

Outre ses aspects intéressants en matière de transfert de données, on croit également que cette découverte permettrait à certaines personnes paralysées de retrouver une certaine capacité motrice.

Lors des essais, le premier rongeur se trouvait au Brésil, et le deuxième en Caroline du Nord.

« Nos études précédentes sur les interfaces cerveau-machine nous avaient convaincus que le cerveau du rat est beaucoup plus plastique que nous l’imaginions », lance le professeur Michel Nicolelis, de Duke.

Il reste à voir s’il sera possible de transposer cet incroyable modèle chez l’homme.

Catégories
Uncategorized

Des millions de gens souffrant de problèmes auditifs pourraient améliorer leur sort

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) avance que parmi les millions de personnes aux prises avec des problèmes auditifs, une bonne partie pourrait voir sa situation s’améliorer grâce à l’arrivée de nouveaux traitements et aux avancées de la science moderne.

De plus, on croit que des milliers, voire des millions, d’autres cas pourraient être évités grâce à la prévention.

Ces deux écoles de pensées pourraient donc réduire dramatiquement le nombre de personnes qui voient ces troubles brimer leur qualité de vie, et ainsi améliorer leur sort.

C’est dans le cadre de la journée internationale de l’ouïe et des soins de l’oreille (Ear Care Day) que ces conclusions ont été dévoilées.

« Près de la moitié de tous les cas de perte d’audition ou de problèmes auditifs seraient réglables par la prévention, alors que bien d’autres peuvent maintenant être soignés grâce à des chirurgies ou des interventions médicales. Un soutien social est aussi offert aux gens qui souffrent de ce problème », résume la Dre Shelly Chadha de l’OMS.

Catégories
Uncategorized

Nouveau traitement expérimental prometteur contre le vitiligo

The National Library of Medicine annonce qu’un nouveau traitement expérimental contre le vitiligo donne de l’espoir aux chercheurs impliqués, qui croient que l’on pourrait bientôt enrayer le problème.

Cette maladie de l’épiderme se caractérise par des taches blanches sur les mains, le visage ou d’autres parties du corps. Une dépigmentation qui cause bien des problèmes chez les patients qui en souffrent.

Il y a toutefois de l’espoir, apprend-on de la bouche des spécialistes de la Loyola University Chicago Stritch School of Medicine, qui croient être dans la bonne direction.

Il n’est pas étonnant d’apprendre également que ce traitement se base sur des avancées génétiques récentes. Presque tous les traitements étudiés en laboratoire en ce moment se basent sur les théories et la promesse de la génétique, tous domaines confondus.

Les chercheurs ont donc créé une protéine modifiée qui permettrait d’inverser carrément le processus de la maladie, un effet déjà confirmé chez les souris.

Bien que ces essais ne se matérialisent pas à tous les coups de façon positive chez les humains, on croit que les essais cliniques qui s’entament bientôt seront concluants.

Les conclusions des chercheurs concernant ce traitement sont publiées dans l’édition actuelle du journal Science Translational Medicine.

Catégories
Uncategorized

Un traitement contre le cancer de la prostate découvert à Sherbrooke

Radio-Canada rapporte que des chercheurs de l’Université de Sherbrooke et du CHUS auraient découvert un traitement pour venir à bout du cancer de la prostate.

Cette spectaculaire nouvelle aurait mené à une subvention de 1,2 million de dollars pour l’équipe de chercheurs, qui croit être en mesure de ralentir la prolifération des cellules cancéreuses en cause dans le développement du cancer de la prostate.

Ce dernier est un réel fléau qui touche de plus en plus d’hommes à travers le monde. Si l’explication du traitement est complexe, son implication n’en demeure pas moins claire : on pourrait bientôt traiter le cancer de la prostate efficacement.

« L’enzyme peut être considérée comme des ciseaux moléculaires. On utilise une molécule pour empêcher ce ciseau d’avoir son action. Les molécules, que nous avons produites, doivent être encore développées pour améliorer leur stabilité et leur accessibilité aux tissus chez les humains. Nous sommes présentement en train de développer ces étapes », résume Robert Day, de la Faculté de médecine de l’Université de Sherbrooke.

Après des essais fructueux sur des souris, les chercheurs se disent maintenant prêts à commencer les essais cliniques sur des humains. La planète entière se croise les doigts.

Catégories
Uncategorized

Découverte d’un « chaînon manquant » cellulaire

Des chercheurs auraient franchi une étape importante en ce qui concerne les cellules souches, la moelle osseuse et le système immunitaire.

En effet, selon les travaux rapportés par Santé Log, on pense avoir découvert un nouveau type de cellule qui échappait jusqu’à maintenant aux plus éminents spécialistes.

Qualifiée de véritable « chaînon manquant » cellulaire, cette cellule permettrait de faire le pont entre les cellules souches de moelle osseuse et celles du système immunitaire.

Ainsi, il est permis de croire que l’on pourrait bientôt « manipuler » certains processus qui régulent notamment le bon fonctionnement du sang et de ses vertus protectrices (globules), et ainsi améliorer ou réparer le système immunitaire chez certains patients.

Même chose pour la moelle osseuse, qui pourrait elle aussi se voir manipulée ainsi, permettant à des patients jusqu’ici qualifiés d’incurables de retrouver possiblement le chemin de la santé.

Tous ces constats ont été imaginés par les chercheurs jusqu’à maintenant, mais plusieurs clés restent à trouver afin de passer de la théorie à la pratique. Cette percée semble jeter un vent d’optimisme au sein de la communauté scientifique.

L’étude a été publiée dans l’édition de février du magazine Nature Immunology.

Catégories
Uncategorized

Un nouveau test de dépistage du Parkinson pourrait voir le jour

Santé Log rapporte une possible percée en matière de dépistage de cette maladie. Elle pourrait, qui plus est, être effectuée dans un avenir rapproché.

Ce sont des spécialistes de la fameuse clinique Mayo qui font cette promesse, alors qu’ils affirment avoir mis au point un nouveau système qui permet de détecter les cas de Parkinson.

Le test s’effectue à partir de la glande sous-maxillaire et des glandes salivaire des patients. Il pourrait non seulement améliorer les diagnostics, mais aussi préparer le terrain pour de nouveaux traitements.

On apprend du même coup que 30 % des diagnostics de Parkinson sont émis à tort, un chiffre qui a de quoi surprendre.

On est déjà bien avancé dans les phases de test, affirment les chercheurs de la clinique Mayo. D’ailleurs, ils présenteront le fruit de leurs efforts dans une étude détaillée qu’ils déposeront en mars prochain.

On aurait déjà testé le procédé sur 15 patients, fin soixantaine, atteints de Parkinson depuis au moins dix ans. 9 résultats sur les 11 cas détectés se sont avérés concluants à l’aide de la biopsie de la glande sous-maxillaire.