Catégories
Uncategorized

Nouvelle percée majeure contre le cancer de la prostate

Santelog.com rapporte une nouvelle percée dans la lutte au cancer, plus particulièrement contre le cancer de la prostate.

C’est encore un traitement par l’utilisation d’un virus qui réussit sa mission, alors qu’on entend de plus en plus parler de ce type de façon de faire.

Récemment, on apprenait que certains patients atteints de cancer (notamment une fillette atteinte de leucémie) étaient en rémission à la suite de ce genre de traitement.

Cette fois, on parle de virus oncolytique, transmis par des cellules macrophages dans l’organisme afin de traquer les cellules cancéreuses et ainsi venir à bout de toute trace de tumeur restante.

Il s’agit d’un traitement parallèle à la chimiothérapie, permettant de maximiser ses effets et de combattre la maladie sur deux fronts.

Pour l’instant, ce traitement a été tenté sur des souris, et les chercheurs affirment avoir réussi à prouver l’efficacité de ce nouveau traitement par virus oncolytique.

Il reste donc à tenter les essais cliniques, mais il apparait de plus en plus clair que les spécialistes dans la lutte au cancer ont bon espoir de voir ces nouvelles méthodes porter des fruits et augmenter grandement les chances de survie à la suite d’un diagnostic de cancer.

Catégories
Uncategorized

Percée majeure dans la lutte à la maladie de Crohn

La maladie de Crohn fait des ravages, notamment parce qu’elle est complexe et difficile à analyser. Les traitements sont donc difficiles pour ce syndrome qui touche, selon les statistiques, 150 personnes sur 100 000.

Voilà qu’une nouvelle découverte permettrait aux chercheurs d’avancer dans la quête de traitement, selon ce que rapporte www.nlm.nih.gov.

En effet, des chercheurs de l’University College London, en Angleterre, ont réussi à identifier plusieurs nouveaux gènes relatifs au développement et à l’hérédité de la maladie. Cette percée porte maintenant le compte des gènes identifiables liés à la maladie de Crohn à 200.

« La découverte de tant de gènes et de leur localisation s’avère une étape importante dans la compréhension de la maladie, qui possède une base génétique très compliquée. Nous souhaitons que la méthode utilisée ici puisse servir à identifier les gènes d’autres maladies aussi complexes, par exemple dans le cas de certains cancers et du diabète », exprime le Dr Nikolas Maniatis, auteur en chef de l’étude.

Il s’agit donc d’une bonne nouvelle, non seulement concernant la lutte à la maladie de Crohn, mais qui s’applique à plusieurs autres maladies et problèmes de santé chroniques.

Catégories
Uncategorized

Percée majeure dans le domaine des neuro-prothèses

Santelog.com rapporte une percée importante dans le domaine de la robotique, plus particulièrement celui des neuro-prothèses.

Ces dernières viennent en aide aux gens souffrant d’un handicap majeur comme la paralysie partielle ou totale, afin de les aider à recouvrer certains mouvements. Le principe est déjà connu et utilisé, mais une percée majeure viendrait d’être effectuée.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Pittsburgh qui ont réussi à faire bouger un bras robotisé par une dame de 52 ans complètement paralysée.

Ces résultats ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Lancet et font état de la procédure.

Il semble que les chercheurs américains avaient franchi une première étape en installant des microélectrodes dans le cerveau de la patiente en février 2012. Ces électrodes comprennent des puces qui permettent de transformer les pensées en signaux numériques, acheminées vers un ordinateur.

Au final, ce processus permet donc d’activer et de faire bouger un membre artificiel… par la pensée.

Andrew Schwartz, de l’équipe de chercheurs de Pittsburgh, résume : « C’est une avancée majeure dans la technologie d’interface cerveau-machine. La participante s’est montrée capable d’effectuer des mouvements des mains plus complexes avec son bras robotique. Le mouvement devient plus naturel et plus réaliste ».

Ces recherches sont cofinancées par la Defense Research Agency des États-Unis.

Catégories
Uncategorized

Cellules T : Un dérivé du VIH pour lutter contre la leucémie

On vous apprenait récemment certaines percées importantes en matière de lutte au cancer, notamment grâce aux cellules T.

Ces cellules sont celles qui peuvent être « reprogrammées » afin de traiter certains patients aux prises avec des maladies très graves.

On apprend maintenant que deux cas sont venus démontrer l’efficacité de cette nouvelle façon de faire, alors que deux jeunes patients auraient vu leur cancer s’affaiblir ou disparaitre grâce à cette technique très moderne.

Mais il y a plus…

En effet, selon ce qu’explique santelog.com, il semble que ce traitement soit possible grâce à un dérivé du virus du VIH, dans une forme sécurisée. Aussi incroyable et paradoxal que cela puisse paraître, les spécialistes utilisent ce « dérivé » du VIH afin de créer des cellules tueuses qui attaquent les tumeurs.

Ces résultats, incluant les rapports qui confirment le succès de ce type de traitement sur plusieurs patients, ont été dévoilés lors d’une réunion de l’American Society of Hematology qui se tenait au début du mois (décembre).

L’équipe de l’Université de la Pennsylvanie se dit très heureuse de ces résultats et est portée par un vent d’optimisme concernant cette nouvelle méthode de traitement contre le cancer.

Catégories
Uncategorized

Percée importante dans la lutte au VIH en France

Santelog.com rapporte de bonnes nouvelles concernant la lutte au VIH, du côté de la France. Une équipe de chercheurs français aurait en effet réussi à « bloquer » le virus par un gel microbicide, ce qui s’avère une découverte remarquable.

Si le procédé n’a été testé que sur des primates pour l’instant, les spécialistes ont bon espoir de pouvoir recréer le modèle sur des humains lors d’éventuels essais cliniques.

Les résultats de ces tests préliminaires ont été publiés dans la plus récente édition du magazine PLoS Pathogens, qui parle d’une « étape prometteuse » dans la lutte au VIH.

Il semble que l’idée d’un gel virucide pour contrer le VIH soit sur la table depuis longtemps, la communauté scientifique mondiale croyant fermement que cette avenue peut s’avérer prometteuse.

C’est le CEA français qui est à l’origine de la percée, mais il faut mentionner que les travaux s’effectuent en collaboration avec plusieurs autres équipes de chercheurs réputées, dont celles de l’Imperial College (Londres), de l’Institute of Tropical Medicine, et de l’Université d’Antwerp (Belgique).

Les essais cliniques chez l’homme devraient commencer sous peu, et un vent d’optimisme se fait sentir dans ce dossier fort important.

Catégories
Uncategorized

La voix de la conscience démystifiée : vers un traitement de la schizophrénie?

Ceux qui sont familiers avec ce que l’on appelle communément « la petite voix » seront soulagés d’apprendre que des chercheurs ont réussi à la définir de façon scientifique, rapporte Topsante.com.

Et ils sont nombreux à entendre cette voix dans leur tête, bien qu’ils ne soient pas tous enclins à s’en vanter lors de réceptions ou d’apparitions publiques.

Pourtant, il semble que le phénomène soit tout à fait normal. Il appert que la voix provient des zones auditives présentes dans le cerveau, qui stockent toutes les pensées que nous accumulons quotidiennement.

Les chercheurs à la tête de cette étude peu banale publiaient leurs conclusions dans la plus récente édition de The Journal of Neuroscience. On y apprend que le cerveau peut avoir des réactions qui sont similaires à des voix, comme si quelqu’un d’autre nous parlait.

Pour le prouver, les scientifiques ont fait lire des sujets, silencieusement, et ont analysé les réponses cérébrales qui s’ensuivaient. Clairement, ils ont constaté que le système de traitement de la voix du cerveau est actif lorsqu’on « lit dans notre tête ».

Cette percée, qui peut sembler banale à première vue, pourrait mener à des traitements éventuels de la schizophrénie, ainsi que de certains types de comportements dépressifs.

Catégories
Uncategorized

Nouvelle stratégie pour combattre efficacement l’influenza et l’inflammation

Des chercheurs auraient trouvé une nouvelle technique pour contrer les effets de l’influenza, mieux connue sous le nom de virus de la grippe, et ses possibles complications.

Même si une grippe n’est souvent pas mortelle pour celui qui la contracte, elle peut apporter son lot de désagréments et de complications qui peuvent rapidement dégénérer. Plusieurs ont sans doute vécu le phénomène d’une grippe qui s’aggrave au point de former une bronchite ou une pneumonie, par exemple.

C’est que le corps humain répond à la présence du virus par le système immunitaire, ce qui peut parfois mener à une inflammation (des poumons, entre autres).

Voilà que des chercheurs de l’INRA affirment être en mesure de régler le problème « à la source », après avoir isolé et supprimé la protéine PAR1 chez des souris. Cette protéine serait à l’origine du processus qui mène à une inflammation, rassemblant toutes les cellules inflammatoires au site de l’infection, selon ce qu’explique santelog.com.

Les chercheurs auraient donc réussi à protéger complètement les rongeurs d’une possible infection, ce qui permet de croire que le processus s’appliquerait aussi sur l’humain.

En supprimant PAR1, on s’attaque à la cellule hôte au lieu du virus en tant que tel. Une percée majeure qui pourrait mener à de nouveaux traitements efficaces, ce qui remonte le moral des chercheurs avec l’arrivée de nouvelles souches modernes et plus agressives de l’influenza.

Catégories
Uncategorized

Les rats et l’effet placebo

Une nouvelle étude arrive à la conclusion que les rats peuvent également ressentir le fameux effet placebo que l’on croyait réservé au complexe cerveau humain.

Des chercheurs de l’Université de Floride affirment qu’ils sont parvenus à prouver que les rats sont également réceptifs à l’effet placebo, annonce www.nlm.nih.gov.

L’effet placebo se décrit comme étant une « réaction positive à un faux traitement », ce qu’aurait vécu un groupe de rongeurs. Le cas échéant, ceci pourrait mener à de nouvelles stratégies efficaces en matière de traitement de plusieurs maladies graves.

« C’est ça, la grosse découverte… que les animaux qui s’attendaient à être soulagés de leur douleur l’ont été en ne recevant qu’une substance inerte, dans ce cas-ci de l’eau saline. Ça aide à valider notre modèle qui prône que ce que nous faisons aux rats peut se transposer chez l’humain », déclarait John Neubert, professeur et spécialiste de la douleur du département de dentisterie de l’Université de Floride.

L’étude, d’une durée de deux ans, comparait les réactions obtenues chez les rats en leur administrant soit des antidouleurs (comme de la morphine), soit de l’eau saline.

Au final, les rats qui avaient reçu de la morphine et à qui on administrait ensuite de l’eau saline ressentaient tout de même le soulagement attendu.

Catégories
Uncategorized

Une nouvelle percée permet de mieux comprendre le développement du SIDA

Santelog.com rapporte que des chercheurs ont réussi à décrypter le processus de déclenchement et de développement du virus du SIDA. Il s’agit d’une percée majeure qui pourrait bien paver la voie à d’autres avancées majeures.

Ce sont des bio-informaticiens de l’Université Pompeu Fabra, à Barcelone en Espagne, qui ont réussi le tour de force en utilisant la science et la technologie à leur avantage pour « décoder » la manière dont une protéine s’y prend pour déclencher la maturation du virus dans l’organisme.

Les chercheurs ont bon espoir de voir cette découverte permettre de faire avancer considérablement la quête de traitement du VIH, selon ce qu’ils déclarent dans un article paru dans la plus récente édition des Actes de l’Académie américaine des Sciences.

Utilisant des principes de simulation moléculaire, les chercheurs ont reconstitué les étapes de la maturation des virions, des particules virales, qui passent subitement de l’inertie complète à un mode infectieux radical. Le virus peut ensuite se répliquer à sa guise.

La protéine qui déclenche toute l’opération se nomme « protéase du VIH », et elle agirait comme des ciseaux, découpant toute la chaîne des protéines qui forment le VIH, les rendant « libres » et individuelles. Celles-ci sont ensuite à même de devenir des bases pour de nouvelles particules virales.

Il s’agit d’une découverte étonnante, car jamais on n’avait aussi bien compris le fonctionnement et le développement du VIH, concèdent les experts.

Catégories
Nouvelles quotidiennes

Une compagnie anglaise franchit une nouvelle étape vers le tourisme spatial

Il n’y a pas que l’excentrique milliardaire Richard Branson (Virgin) qui rêve de tourisme spatial. Les autorités de différents pays aussi, à commencer par l’Angleterre, où une compagnie vient d’annoncer une percée majeure dans le domaine de l’aérospatial.

C’est ce que rapporte travel.cnn.com, alors que les gens chez Reaction Engines Ltd. affirment détenir une nouvelle technologie qui permettrait au moteur Sabre de voir le jour et propulser des millions de personnes selon leurs désirs.

Le système de moteur Sabre permettrait à n’importe quel appareil de voler en orbite dans l’espace et d’ensuite revenir à son point d’origine, sans tracas. Le moteur permettrait aussi de rejoindre n’importe quelle destination sur Terre en moins de quatre heures, toujours selon les spécialistes.

Reaction Engines Ltd. aurait donc réussi à créer une technologie qui utilise des échangeurs de chaleur ultralégers (100 fois plus léger que les technologies précédentes) et qui permet le refroidissement de courants très chauds en un temps record (1000 degrés Celcius à -150 degrés Celcius en un centième de seconde).

Tim Hayter parle de la « … plus grande percée en matière de technologie de propulsion depuis l’avion à réaction ».

La compagnie, qui a reçu récemment le support de l’Agence Spatiale Européenne, est en négociations avec celle-ci pour une hausse de fonds.