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De nouveaux tests sanguins pour détecter les signes précoces de cancer

www.nlm.nih.gov rapporte qu’une nouvelle étude parle de la possibilité de voir apparaitre de nouveaux tests sanguins, qui pourraient s’avérer fort utiles dans le dépistage du cancer.

Selon les conclusions de l’étude, les praticiens de partout pourraient avoir accès à ces nouveaux types de tests et ainsi être en mesure de diagnostiquer plus rapidement les signes précurseurs de cancer chez leurs patients.

Cependant, les recherches n’en sont qu’à leur stade préliminaire, et les questions concernant cette percée sont encore nombreuses, notamment concernant les coûts et l’interprétation des résultats de ces tests.

Malgré tous ces points d’interrogation, il n’en demeure pas moins qu’un test sanguin basé sur l’ADN et la génétique serait toute une avancée dans le domaine.

C’est ce que croit le Dr Victor Velculescu, codirecteur du programme Cancer/Biologie du Johns Hopkins Kimmel Cancer Center de Baltimore : « Ce serait une bonne façon de détecter les stades précoces du cancer chez nos patients, et d’en déterminer le niveau au fur et à mesure des traitements ».

D’autres tests sont aussi en essais, dont un qui pourrait même aller jusqu’à détecter les cellules cancéreuses dans le sang bien avant le développement de la maladie.

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Un médicament contre le psoriasis pourrait être utilisé dans des cas d’Alzheimer

C’est une nouvelle stupéfiante que nous rapporte Santelog.com, alors que des chercheurs de Zurich prétendent pouvoir faire un lien entre un médicament utilisé contre le psoriasis et la maladie d’Alzheimer.

C’est que ce traitement pourrait aussi être utilisé pour contrer les effets de la terrible maladie d’Alzheimer, pour laquelle on cherche toujours activement des traitements efficaces.

Ces conclusions ont été publiées dans le magazine Nature Medicine et révèlent que les chercheurs de l’Université de Zurich ont effectué sur des animaux des tests qui leur permettent de croire au double effet du médicament.

De plus, vu la composition du traitement en question (l’ustekinumab, aussi appelé Stelara), ces conclusions vont de pair avec la théorie qui veut que le développement de la démence soit encouragé par un système immunitaire déficient.

Plusieurs autres études et tests seront effectués sur le sujet, mais les données enregistrées sur des souris permettent de croire que ce type de traitement peut « bloquer » la progression de la maladie d’Alzheimer.

Le même processus pourrait aussi s’appliquer sur des patients souffrant de déficience cognitive légère, ce qui s’avère une excellente nouvelle.

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Une avancée prometteuse concernant le virus de la grippe

Le virus de la grippe, l’influenza, n’est peut-être pas mortel dans la grande majorité des cas, mais il en importunera plus d’un encore cet hiver.

Pour contrer le phénomène, les recherches et études sur le sujet sont nombreuses. Une toute récente étude parle d’ailleurs d’une avancée majeure, selon ce qu’annonce Santelog.com.

C’est que des chercheurs du Scripps Research Institute (IRST) auraient réussi à cerner le processus de réplication de l’influenza. Ils concluent que lorsque le virus se multiplie, il perd également des forces. Il serait donc plus vulnérable chaque fois qu’il se duplique.

Le professeur Ian A. Wilson, de l’IRST, se dit fort excité d’avoir réussi à recréer avec son équipe ce qui serait le modèle le plus réaliste et précis du virus de la grippe jusqu’à maintenant.

Ces travaux permettent de mieux comprendre le fonctionnement de l’influenza ainsi que ses méthodes de duplication. En isolant les points faibles de la structure du virus, les chercheurs croient qu’il sera bientôt possible d’offrir de meilleurs traitements contre l’ennemi hivernal numéro un.

Les résultats de ces recherches ont été publiés récemment dans la revue spécialisée Science.

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Une nouvelle génération de pacemakers prometteuse

La technologie avance à pas de géant chaque année et permet d’améliorer le sort de millions de patients dans le monde. C’est peut-être au tour des gens qui ont besoin d’un pacemaker, cet outil qui permet de régulariser le rythme cardiaque.

Ce dernier en a d’ailleurs sauvé plus d’un, rappelle www.nlm.nih.gov, au fil des 50 dernières années, mais un seul problème a toujours subsisté : il faut changer les piles.

Voilà qu’un nouveau prototype pourrait voir le jour. Les chercheurs sont en tout cas très optimistes dans ce dossier. Sans pile, le pacemaker du futur fonctionne en se régénérant directement par le cœur du patient.

L’appareil utilise des aimants et des vibrations de la cavité thoracique afin de créer une énergie, suffisante au bon fonctionnement de l’appareil.

C’est ce qu’explique David Inman, du département d’aérospatiale du Michigan : « En ce moment, remplacer la pile d’un pacemaker nécessite une chirurgie majeure, et ça doit se passer tous les sept ans, environ. Pour un bambin qui se fait greffer à deux ans, ce qui est commun, cela veut dire dix opérations à cœur ouvert au fil de sa vie ».

On comprend mieux pourquoi les chercheurs veulent enrayer ce problème à tout prix, et ils sont peut-être sur le point de réussir.

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Les « cellules T reprogrammées » prometteuses dans la lutte au cancer

Santelog.com rapporte une annonce du Human Gene Therapy, une revue spécialisée scientifique, sur des percées prometteuses qui ont été effectuées grâce aux « cellules T reprogrammées ».

Ces cellules, qui ciblent et détruisent les cellules tumorales, apparaissent comme de véritables sauveuses. Les plus grandes avancées se feraient dans les cas de cancer du cerveau.

C’est le Dr Richard Morgan qui mène cette vaste équipe internationale à la tête du projet, dont les membres font partie de l’Institut National du Cancer (NCI), du National Institute of Health (NIH) à Bethesda et de l’Université Duke.

Ceux-ci ont été en mesure de créer des cellules (Lymphocytes) T, qui cibleraient les antigènes retrouvés dans les cellules souches de gliomes, caractéristiques à plusieurs types de cancers agressifs au cerveau.

Souvent accompagnés d’un diagnostic mortel et d’une longévité maximale de deux ans, ces types de cancers pourraient bien être finalement contrés de façon efficace.

De son côté, Cellectis Therapeutics annonçait, au congrès de l’European Society of Gene & Cell Therapy, qu’elle venait de réussir à reprogrammer des cellules T qui enrayent et tuent les cellules cancéreuses.

On prévoit être en mesure éventuellement de produire ces cellules massivement, afin de soigner des patients atteints de cancer (cerveau, prostate, leucémie, poumon, etc.).

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Du sang neuf pour contrer la maladie d’Alzheimer

Du sang de jeunes souris transfusé sur des souris plus âgées aurait permis d’inverser certains effets du vieillissement, ce qui donne de l’espoir concernant les traitements de la maladie d’Alzheimer, rapporte une étude.

C’est que nous apprend Santelog.com, alors que des chercheurs croient de plus en plus que le processus pourrait s’appliquer chez l’homme. C’est le cas du Dr Saul Villeda, de Stanford, qui dirige l’étude.

Il explique : « Je pense que de donner du sang neuf pourrait avoir un effet sur l’homme. Je n’y croyais pas, il y a seulement trois ans. C’est une technique qui pourrait bien contribuer à préserver les humains des pires effets du vieillissement, dont l’Alzheimer ».

Voilà des propos plus qu’optimistes, qui donnent de l’espoir à la communauté scientifique ainsi qu’aux patients.

Le Dr Villeda a donc connecté les systèmes circulatoires de deux souris, l’une âgée et l’autre jeune, afin de mélanger le sang. Après seulement quelques jours, le processus de vieillissement cérébral avait ralenti. Le nombre de cellules souches du cerveau avait même augmenté, ce qui est extraordinaire.

Cette étude complète des travaux effectués sur le même sujet par l’Université Stanford depuis 2011 et vient démontrer que le sang jeune pourrait bien sauver les gens plus âgés de terribles maux, un jour.

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Percée encourageante pour la maladie de Parkinson

Le Lancet Neurology rapporte que les chercheurs de l’Université de la Floride ont découvert qu’une stimulation cérébrale profonde donne des résultats encourageants pour traiter le Parkinson.
 
Une centaine de personnes ont été traitées efficacement. Elles ont été suivies pendant douze mois et elles mentionnent une amélioration globale de leur qualité de vie, une plus grande aisance dans leurs activités quotidiennes, une plus grande mobilité et un meilleur état émotionnel.
 
Seulement cinq personnes ont eu des effets indésirables de troubles d’élocution.
 
La technique consiste à implanter une ou deux électrodes dans différentes zones du cerveau afin de recevoir une faible stimulation électrique pour freiner le signal qui cause les symptômes de la maladie.
 
On espère que ces résultats mèneront à une nouvelle thérapie pour les personnes atteintes de la maladie.
 
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Un nouvel espoir contre la dengue

Des chercheurs australiens viennent de faire une percée dans la lutte contre la dengue. Il s’agit d’une fièvre tropicale qui cause de la forte fièvre, des maux de tête sévères et des douleurs musculaires et articulaires. Elle peut même entraîner la mort.
 
La dengue est transmise par des moustiques. Jusqu’à présent, il n’existe aucun traitement ni vaccin pour contrer cette maladie qui touche 50 millions de personnes par année.
 
Selon la revue Nature, les moustiques infectés par une certaine bactérie ne peuvent transmettre la maladie. Les chercheurs ont découvert que les femelles résistantes qui s’accouplent avec des mâles résistants ou ordinaires ont des bébés résistants. Toutefois, si des femelles ordinaires s’accouplent avec des mâles résistants, leurs rejetons meurent.
 
Ainsi, il serait possible de réduire le nombre de moustiques capables d’infecter les humains.
 
140 000 moustiques résistants ont été relâchés dans deux communautés isolées du nord-est de l’Australie. Maintenant, les scientifiques doivent savoir si leur stratégie s’avère efficace. À suivre…
 
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De la peau transformée en sang

Cette équipe de l’Université McMaster est parvenue à créer du sang à partir de peau humaine de tous les âges.
 
La nouvelle technique permet de transformer des cellules de la peau d’une personne en cellules sanguines avec la même signature génétique, et ce, sans avoir besoin des cellules souches embryonnaires, une méthode controversée.
 
Un seul rectangle de peau de 4 cm par 3 cm est suffisant pour produire assez de sang pour une transfusion.
 
Cela pourrait éventuellement assurer les réserves des banques de sang, traiter les cancers comme la leucémie et traiter les maladies du sang comme l’anémie.
Des tests cliniques débuteront en 2012. S’ils sont concluants, cette méthode pourrait être utilisée d’ici cinq à dix ans, rapporte la revue Nature.
 
Il s’agit donc d’une découverte majeure pour le milieu médical.