L’entrevue a eu lieu dans une résidence pour personnes âgées, et c’est lors d’un segment de questions posées par les résidents qu’il s’est confié sur la chanson Quand j’aime une fois, j’aime pour toujours.
«J’aimerais ça savoir si vous avez emmené votre guitare pour jouer Quand j’aime une fois, j’aime pour toujours?», demande madame Fournier.
«Non, et je vais vous dire pourquoi je ne la chante pas cette chanson-là. Quand mon père est décédé, c’est l’une des chansons que ma mère avait choisie aux funérailles. Jamais je ne pourrais chanter cette chanson-là sans casser en deux en plein milieu», dévoile un Gildor Roy fort émotif.
Si vous souhaitez entendre Gildor Roy interpréter cette chanson, elle est disponible en duo avec Isabelle Boulay sur l’album Scènes d’amour.
Un changement dans sa vie qui a été majeur… et malgré le fait que plusieurs personnes l’avaient averti du fait que sa vie changerait du tout au tout, il n’était pas prêt à cela.
«On se fait dire tout le temps: Tu vas voir, ça change une vie, tu vas voir c’est quoi aimer pour vrai… Je ne suis pas imbécile je pense que j’ai compris! (…) Mais, tu ne comprends pas tant que tu ne le vis pas. Je le mangerais (…) Tu me dis là: Il faut que je meure dans les prochaines 10 secondes pour lui… Go!», témoigne avec amour Baron.
Cela lui a certainement permis de découvrir une facette plus douce et vulnérable de sa personnalité et de devenir un homme de plus en plus émotif, comme on a pu le constater sur le plateau.
Une entrevue très touchante en compagnie de l’ex-lofteur!
C’est via une publication sur X par Nathalie elle-même, et un avis de décès publié dans La Presse, que la nouvelle du décès de son père, André Petrowski, a été annoncée.
Rappelons que Nathalie a également perdu sa mère en 2021.
Toutes nos pensées vont à cette dernière, à la famille et aux proches.
Jean-Sébastien Girard était de passage sur le plateau de l’émission Je viens vers toi, accompagné de Marc Labrèche et de ses chakras, un moment très intéressant où il abordait sa relation avec son père.
Comme nous le savons, ce dernier est très proche de sa mère, qui le suit partout dans sa carrière et pour une rare fois, il révélait sa relation plus difficile avec son papa.
Il évoquait notamment que ce dernier était très différent de sa propre personnalité, étant un homme plus passionné par le monde du sport, contrairement à lui, qui avait des intérêts différents.
Ce qui a certainement causé une chimie moins dynamique qu’avec sa mère!
«J’incarnais un monde qu’il ne connaissait pas. Je sentais que je n’étais pas exactement l’enfant qu’il aurait voulu avoir. Ce n’était peut -être pas le père non plus (…) Ça n’a pas été le meilleur match cosmique, ça arrive des choses comme ça», témoignait Jean-Sébastien.
Une confidence très poignante et un moment très touchant en compagnie de l’homme aux multiples talents…
Un triste lien unit les deux candidats de l’aventure dans la jungle, comme ils l’ont découvert lors d’une discussion où Dave aborde l’importance de la famille pour lui.
Un sentiment familial que la comédienne partage, malgré la récente perte de son père.
«Nous aussi on a grandi dans cet esprit-là à la maison. Mes parents ont été ensemble pendant 25 ans. J’ai perdu mon père il y a deux ans. Ça a été…», débute la jeune femme avec émotion.
«As-tu pu lui parler avant qu’il parte?», demande Dave.
Une question à laquelle Audrey répondait par la positive… mais néanmoins une période pénible pour elle, en plus d’avoir encore à ce jour beaucoup de peine lorsqu’elle pense à son père.
Ce moment de confidence a rappelé à Dave la perte de son propre père juste avant la pandémie, mais aussi le suicide de son frère survenu quelques années plus tôt.
«J’ai un frère que j’ai perdu du suicide plus jeune, ça a fait exploser la famille. Que mon frère parte, on ne voulait pas en parler. Tu sais, tu parlais de ton père, mais on ne voulait plus parler de mon frère (…)», témoigne un Dave Morissette bouleversant.
«La cure pour le suicide, c’est de l’écoute, c’est du soutien, c’est de l’amour. C’est ça que ça prend! Puis ce n’est pas que tu ne veux pas vivre, c’est que tu veux arrêter de souffrir», ajoute l’ancien joueur de hockey sur l’importance d’être à l’écoute.
Un moment incroyablement bouleversant entre Audrey et Dave.
Ne manquer pas l’excellente émission Sortez-moi d’ici! tous les dimanches dès 18h30 sur TVA.
Un diagnostic qui est survenu dans son cas à l’âge de 62 ans et qui a profondément affecté la famille Lépine-Blondeau.
Les deux jeunes femmes souhaitaient parler de ce trouble neurologique dégénératif qui connaît la croissance la plus rapide au monde et qui reste souvent mal compris, en plus d’être entouré de tabous.
Pour le moment, Marc Blondeau semble garder le moral et bien se porter malgré les circonstances, si l’on se fie au témoignage de Magalie, elle qui estime qu’un bon entourage peut jouer un rôle majeur dans le quotidien d’une personne aux prises avec la maladie de Parkinson.
«(…) Avoir un tissu social, avoir des activités sociales, avoir un entourage présent, aimant, c’est presque une prescription. C’est-à-dire que ce n’est pas un remède, ça demeure une maladie incurable, mais ça aide vraiment à vivre, même physiquement», lance-t-elle.
Par ailleurs la comédienne est désormais la nouvelle porte-parole de Parkinson Québec, un organisme dédié à aider les personnes atteintes de la maladie de Parkinson et leurs proches aidants.
Ce n’est pas tout, car en compagnie de sa sœur, elle animera un Balado sur Odhio en mai, qui mettra en lumière différents aspects de la maladie de Parkinson, qu’ils soient de nature scientifique, sociale, familiale ou médicale.
Mentionnons que cette maladie touche plus de 23 000 personnes au Québec, dont 20% sont âgés de moins de 50 ans.
Le 11 avril prochain se tiendra la Journée mondiale de la maladie de Parkinson.
Il est possible de faire un don dès maintenant en vous rendant sur le site officiel de Parkinson Québec.
La jeune femme, qui a opté pour interpréter la chanson N’importe quoi dans l’espoir de se qualifier pour la finale, a révélé que cette musique lui rappelait sa première grande peine d’amour.
Une épreuve difficile de son enfance, puisqu’il s’agit de son père, qui l’a délaissée très tôt dans sa vie.
«Pour moi, la plus grande peine d’amour, ça a été celle que j’ai vécu quand j’étais toute petite. Quand mon papa est parti. Dans ma tête d’enfant qui ne savait pas c’était quoi une peine d’amour, j’avais l’impression que les paroles de cette chanson-là étaient parfaites pour exprimer comment je me sentais. Je l’ai tellement chantée, cette chanson-là, en pensant à mon papa et je me suis toujours dit que si jamais il revenait, je la lui chanterais, à lui», lance une Naadei bouleversante sur le plateau.
Bonne nouvelle, puisque son papa est bel et bien revenu dans sa vie et Naadei a pu ainsi lui dédier sa performance.
Une douloureuse histoire du passé qui s’est manifestée lors de sa prestation et qui a profondément ému le public en studio.
L’animatrice Véronique Cloutier l’a d’ailleurs remerciée d’avoir été aussi ouverte et d’avoir partagé avec nous la petite fille qu’elle a été à travers sa chanson.
Et ce, particulièrement, à l’époque où Dominic pratiquait le hockey.
La situation était donc extrêmement compliquée.
«Ce n’était pas un père bien, bien présent, il avait un problème d’alcoolisme. Quand tu dis alcoolique, au plus haut point. Quand tu rentrais dans la maison (…) tu avais le divan qui était-là avec comme un genre de jupe de divan… bien il cachait un 10 onces là. Il avait des 10 onces dans l’auto. Il venait me porter au hockey, mettons… tous les pères sortaient avec leur fils et tout le kit. Moi, mon père me droppait à la porte et je ne le voyais pas pendant les deux premières périodes. À la troisième période, il arrivait, mais je le voyais dans son visage… juste dans les yeux, je le voyais», témoigne Dominic Paquet avec beaucoup de courage et de vulnérabilité.
La situation financière difficile au sein de la famille Paquet, à cette époque, a aussi nécessité des sacrifices de la part de Dominic, le forçant d’ailleurs à commencer à travailler à un jeune âge.
«J’ai commencé à 10 ans (…) Je plaçais les bouteilles vides au dépanneur et je pense que j’ai commencé à faire les publi-sacs à 11 ans, à peu près (…)», dévoile l’humoriste.
«Ça te permettait de t’acheter quoi, des vêtements (…)?», veut savoir l’animateur.
«Linge… je payais mes sports, mes affaires d’écoles. Toutes mes affaires…», ajoute la star.
Un peu plus tard dans l’émission, l’humoriste a également partagé qu’il n’avait pas eu l’occasion d’avoir une conversation significative avec son père avant sa mort.
Ce qu’il aurait aimé lui dire s’avère toutefois très émouvant…
«J’aurais aimé lui dire que je lui pardonne. Je le pardonne pour sa maladie. Dans le fond, il est né avec ça. Ce n’est pas… moi, ce que je regrette le plus et ce que j’ai le plus de misère à comprendre, c’est tout le côté: Comment un père peut ne pas jouer plus avec son enfant? Moi, mon gars, je vais le chercher, je lui donne un câlin, je lui dit je t’aime 42 fois par jour! (…) Je n’arrête jamais de lui dire: Tu es bon, je suis fier de toi.»
Un moment très touchant en compagnie de Dominic Paquet.
Le journaliste évoquait cette période difficile de sa vie après avoir revu un rôle dans lequel il incarnait un personnage atteint d’Alzheimer, à l’époque de l’émission Testé sur des humains. Cette expérience lui a ainsi rappelé la perte de son père.
«Ma performance d’acteur a été conditionnée par le fait que mon père a été porté disparu pendant de longs mois quand j’avais 18 ans, en 76. Et pendant des mois, on ne savait pas où il était. Il avait comme pété une fuse, comme on dit en latin. Parce que ma mère avait eu le cancer, puis les pronostics n’étaient pas très bons. Puis, bon, il était en dépression. Puis, il est parti. On n’a pas eu de ses nouvelles pendant quelques mois. Et après coup, ils l’ont retrouvé à New York. Il était complètement perdu, il était comme en perdition. Il s’est fait soigner, il est revenu (…)», témoigne avec vulnérabilité et émotions Denis Lévesque.
Une histoire qui le bouleverse encore aujourd’hui.
«Ça m’émeut encore d’en parler… voilà….», termine difficilement le journaliste et intervieweur chevronné.
Un instant qui a ému les personnes présentes sur le plateau, y compris l’animateur André Robitaille.
Mitsou Gélinas était de passage à l’émission Je viens vers toi où elle abordait son éducation particulière à l’enfance versus celle qu’elle a choisi d’adopter avec ses enfants.
Ses parents étaient de tendances hippies, libres, et ont choisi d’élever leurs filles selon la méthode Summerhill, qui consiste notamment à laisser l’enfant faire ses propres tests et règles.
«Alors tu pouvais toucher sur le poêle, parce que tu réalisais que c’était chaud et tu ne le refaisais plus après. Mais j’avais toute la liberté du monde ou presque (…) C’était vraiment hippie, mon père a habité dans une commune aussi. Ma mère a fait bâtir une maison à côté parce qu’elle voulait quand même le surveiller. Mais, moi, j’étais un enfant sale, tout nu dans la bouette», confie la chanteuse sans tabou face à cette époque.
«Moi, j’ai fait tout le contraire, parce que je voyais ma tante Suzanne (…) la sœur de ma mère, elle, elle pliait ses serviettes, puis elle avait des serviettes rangées toutes blanches la même couleur (…) Moi, je trouvais ça hallucinant. Alors, finalement, je suis devenue rigide avec mes propres enfants (…)», ajoute Gélinas.
Un moment intéressant en compagnie de Mitsou!
Avez-vous élevé aussi vos enfants différemment de votre propre éducation?