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Le risque de problèmes cardiaques est transmissible de père en fils

Une recherche de l’Université de Leicester, publiée en ligne dans la revue médicale britannique The Lancet, révèle que les hommes avec une version particulière du chromosome Y sont 50 % plus susceptibles de souffrir d’une maladie coronarienne.

Cette maladie réduit la livraison de sang oxygéné vers le muscle cardiaque et touche généralement plus les hommes que les femmes. Elle peut provoquer des attaques cardiaques, de l’angine et de l’insuffisance cardiaque.

La variante du chromosome Y identifiée dans l’étude apporte d’ailleurs de nouvelles hypothèses sur l’origine des maladies cardiaques, car elle est indépendante aux facteurs traditionnels qui peuvent conduire à un trouble cardiaque, comme l’hypercholestérolémie et l’hypertension artérielle.

La mauvaise alimentation, le tabagisme et les facteurs héréditaires peuvent influencer le développement de troubles cardiaques.

Selon les chercheurs, le risque accru de crise cardiaque est transmis à la descendance mâle, puisqu’un fils peut recevoir un chromosome Y uniquement de la part de son père. À moins qu’il y ait une mutation aléatoire, le chromosome hérité est identique, ce qui signifie que si le père souffre de problèmes cardiaques, le fils a de fortes chances d’en être atteint également.

Les spécialistes croient que l’augmentation du risque peut être liée à l’influence du chromosome sur le système immunitaire, qui augmente la probabilité d’inflammation et qui est connue pour être liée à la maladie de l’artère.

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Le parent parfait n’existe pas

À la venue d’un nouveau-né, bien des parents tentent de tout faire à la perfection. Or, cette attitude leur nuirait plus qu’autre chose, lit-on dans Personality and Individual Differences.

Une recherche vient de démontrer qu’une mère aura moins confiance en ses compétences parentales et qu’un père vivra plus de stress s’ils s’en font trop avec ce que leur entourage pourrait penser.

Malgré tout, il s’est avéré qu’une pression dirigée vers soi-même quant à l’atteinte de la perfection avait un effet assez positif sur les pères. Avec le temps, toutefois, cette exigence ne sera pas nécessairement bonne.

Cette étude, qui est parmi les premières à explorer la quête de la perfection chez les nouveaux parents, fait partie d’un vaste projet, le New Parents Project.

Aux fins de l’analyse ici présentée, 182 couples qui avaient eu un bébé pour la première fois entre 2008 et 2010 ont été interrogés.

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L’obésité vient-elle du père?

Il semble qu’un homme qui a un surpoids ou qui est obèse pourra nuire à la santé future de sa progéniture. Des chercheurs australiens viendraient de démontrer un lien entre le poids du père et les risques futurs d’obésité de ses enfants.

Nous lisons en effet sur Fox News, qu’après avoir suivi plus de 3000 familles de 2004 à 2008, les chercheurs ont remarqué que les enfants issus d’un père en surpoids seraient plus enclins à avoir le même problème plus tard.

Précisément, un enfant de quatre ans dont le père est obèse ou a un surpoids sera plus à risque que les autres à avoir le même problème une fois qu’il aura atteint l’âge de huit ans.

Dans la même suite d’idée, un enfant dont les deux parents sont obèses sera encore plus enclin à souffrir lui aussi d’un problème de poids.

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Quand un frère ou une soeur meurt du cancer

Selon une étude parue dans Cancer Nursing, la première sur le sujet, la plupart des enfants dont un frère ou une sœur meurt du cancer vivront des changements dans sa vie au cours de l’année suivante, mais ceux-ci ne sont pas les mêmes pour tous.

On a analysé les changements individuels et ceux touchant les relations avec les autres chez des enfants endeuillés, et ce, en fonction de trois perspectives : la mère, le père, et les frères et sœurs.

Parmi les changements positifs et négatifs vécus, les frères et sœurs en deuil ont remarqué chez eux une plus grande maturité subséquente. Une grande partie des enfants ont aussi fait état d’une plus grande compassion, et des transformations dans leurs priorités se sont opérées.

Leurs parents ont pour leur part remarqué que leurs enfants vivaient de la tristesse, de la colère et qu’ils avaient tendance à s’isoler. De plus, ils ont relevé que les enfants avaient plus peur qu’une autre mort survienne.

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Le divorce et la famille

Lors de la réunion annuelle de l’American Acdemy of Psychiatry and the Law, des experts ont relevé certains faits entourant un divorce sain pour tous les membres de la famille.

Entre autres, comme nous le lisons sur Pediatric News, il semble qu’en ce qui concerne la mère, l’élément le plus important soit sa stabilité émotionnelle, pour que tout fonctionne bien pour les enfants comme pour les parents.

Quant au père, la présence ou non d’un casier judiciaire est ressorti comme l’élément ayant le plus d’impact. Une mère aura de quatre à cinq fois plus de chances d’obtenir la garde exclusive des enfants si le père a déjà connu des arrestations.

En comparaison, on apprend que le père se retrouve avec 10 fois plus de chances d’obtenir la garde exclusive si la mère a été l’objet de mesures appliquées par les services sociaux.

Finalement, les experts n’ont pu que constater l’idée largement répandue selon laquelle une garde exclusive entrait en corrélation avec un revenu et un degré d’éducation plus élevés.

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Un test de paternité sur Internet

Les achats sur Internet incluent désormais un test de paternité. Un homme pourrait donc découvrir s’il est le père d’un enfant en commandant un ensemble sur Internet.

Une fois qu’il reçoit son ensemble de test de paternité, le sujet doit subir une prise de sang, puis la retourner au laboratoire de l’entreprise. Il recevrait son résultat après une attente de cinq à sept jours seulement.

On trouve aussi dans cet ensemble des formulaires de consentement aux examens, ce qui constitue une nouveauté. L’été dernier, l’entreprise DNA Diagnostic Center avait déjà commercialisé ce test de paternité sur Internet; cette fois, EasyDNA innove, en quelque sorte, avec cet ajout.

Rappelons que le présent test peut être efficace dès la 12e semaine de grossesse. À cet effet, Le Figaro souligne que les femmes enceintes se retrouvent ainsi la cible de ce type d’entreprise.

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Effets de la dépression du papa

Selon une récente recherche de la New York School of Medicine, la dépression d’un père de famille pourrait avoir de graves conséquences sur les enfants.

Comme nous le lisons dans Pediatrics, un enfant qui vit au sein d’une famille où le père présente des symptômes de dépression ou qui souffre d’un autre problème de santé mentale fera face à d’importants enjeux. Il sera plus enclin que les autres enfants à avoir des problèmes de comportement ou affectifs.

Pour tirer ces conclusions, on a suivi plus de 20 000 enfants qui vivaient avec leurs deux parents. Il s’est avéré que si la mère a des symptômes dépressifs, l’enfant risque encore plus d’avoir des problèmes émotifs ou comportementaux si son père en présente aussi.

En résumé, le taux de problèmes de comportement et affectifs, chez les enfants, s’est avéré de 25 % si les parents avaient les symptômes cités, 19 % si seule la mère en souffrait, et 11 % si la situation ne touchait que le père.

Six pour cent des enfants présentaient finalement des problèmes si aucun des parents ne souffrait d’une dépression ou d’un autre problème de santé mentale.

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Devenir père transforme les hommes

Une récente recherche de l’Oregan State University présente la paternité comme une expérience transformatrice, lit-on dans le Journal of Marriage and Family. S’étant étalée sur 19 ans, elle a suivi plus de 200 hommes, depuis l’âge de 12 ans jusqu’à 31 ans.

Il en est ressorti qu’un homme pourrait voir sa vie complètement transformée par la venue d’un enfant. En vivant l’expérience de la paternité, il aurait même tendance à abandonner le tabac, l’alcool, voire le crime.

C’est la première fois que l’on s’attarde à cet effet transformateur dû à la naissance d’un enfant. Auparavant, on avait plutôt étudié ce qui se passait à la suite du mariage.

Il semble finalement qu’avoir un enfant à la fin de la vingtaine ou dans la trentaine fait en sorte qu’un homme sera plus enclin à vivre pleinement sa paternité et à changer ses choix de vie.

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La mort selon les enfants

En cette journée de l’Halloween, il est à propos de se demander comment nos enfants voient la mort. Il semble que la plupart en aient peur, selon un récent sondage de Listen et Wide.

Menée auprès de 1000 adultes et 650 enfants, cette recherche nous apprend en effet que 60 % des enfants ont peur de la mort. Précisément, comme nous le lisons sur RTL.be, 59 % d’entre eux ont peur du décès de leurs parents, et 21 % craignent la mort de leurs grands-parents.

Quant au concept de mort dans l’absolu, la moitié en sont effrayés. Les autres peurs les plus courantes sont l’abandon (19 %) et les accidents (17 %).

L’Halloween, toutefois, n’effraie pas les enfants. Il s’agit au contraire d’une fête où les éléments potentiellement effrayants sont présentés d’une façon ludique, où tout est bien dirigé et rassurant.

Mais quelle est la perception de papa et maman? Selon eux, les peurs principales de leurs enfants sont de faire l’objet de moqueries et de ne pas avoir suffisamment d’amis.

On apprend aussi, dans ce sondage, que les parents encouragent généralement leurs enfants à parler de leurs peurs, plutôt que se concentrer uniquement à expliquer les événements de manière rationnelle.

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L’alimentation du père lié à l’obésité infantile

Europe 1 révèle une étude selon laquelle l’alimentation du père, même avant la conception de l’enfant, joue un rôle important dans les risques d’obésité infantile.
 
Les risques d’avoir un enfant en surpoids ou obèse sont accrus si le père, même avant la conception, mange trop gras, trop sucré ou trop salé.
 
« Les carences ou les excès en certains vitamines ou minéraux peuvent avoir des conséquences et, à l’arrivée, ce seront des pathologies qui vont s’exprimer non pas dès la naissance, mais à l’âge adulte », mentionne la chercheuse du Centre d’assistance à la procréation à Bondy, Rachel Levy.
 
Déjà cette semaine, une étude disait également que la malbouffe affectait la fertilité des jeunes hommes, les rendant moins susceptibles de devenir pères plus tard.