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Bonheur de l’enfant : l’importance de la vie de famille

Selon Medical News Today, une récente étude aurait démontré que le degré de bonheur que la mère retire de son couple a une grande influence sur celui de l’enfant, plus que celui du père.

Après avoir suivi 40 000 familles du Royaume-Uni, des chercheurs ont en effet remarqué que les enfants, une fois âgés de 10 à 15 ans, accordaient plus d’importance à la façon dont leur mère vivait son couple dans leur perception de la vie de famille.
 
En fait, si 60 % de tous les enfants sondés étaient parfaitement heureux de leur vie de famille, ce taux chutait à 55 % lorsque leur mère n’était pas heureuse.
 
Chez ceux qui trouvaient satisfaction dans leur vie de famille, la mère était heureuse dans 73 % des cas.
 
La recherche en question, Understanding Society Research, avait pour but premier d’explorer les relations des gens mariés et en union de fait, ainsi que celles entre parents et enfants.

Finalement, en tentant d’établir un profil type de l’enfant heureux moyen, il semble que ceux qui vivent le plus dans le bonheur sont ceux qui habitent avec deux parents, de familles non reconstituées, qui ont peu de disputes, qui prennent au moins trois repas en famille par semaine et dont la mère est heureuse dans son couple.

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La méthode Bonapace

Selon une récente étude, la méthode Bonapace, une technique d’accouchement différente de la manière habituelle, diminuerait de 50 % les douleurs de la femme lors du travail. 

Cette méthode canadienne, dont des formations sont offertes au CHUM Saint-Luc, est basée sur la participation du père. De plus, elle réduirait le recours à des interventions médicales.
 
Provenant de plusieurs années de recherche universitaire et d’expérimentations pratiques, cette technique est basée sur les principes de neurophysiologie de la douleur.
 
En résumé, la méthode Bonapace est fondée sur la maîtrise de la pensée dans la perception de la douleur, sur la théorie du portillon (un massage qui réduit la douleur) et sur le contrôle inhibiteur diffus nociceptif.
 
Ce troisième élément est en fait de créer une autre zone de douleur (par des massages, encore une fois) pour entraîner la libération d’endorphine, réduisant ainsi la douleur.

Pour en savoir plus sur la méthode de Julie Bonapace, visitez le www.bonapace.com.

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Le postpartum, pour les papas aussi

Nous savons déjà que la mère peut présenter de réels signes de dépression après son accouchement. Or, il semble que le phénomène du postpartum touche aussi le nouveau papa.

C’est ce qu’a remarqué une équipe de l’Université du Michigan en étudiant le cas de 1 746 pères d’enfants âgés de 1 an nés entre 1998 et 2000. Environ 7 % de ces papas étaient dépressifs, à différents degrés.

Il semble que les pédiatres pourraient jouer un rôle important dans la résolution de ce problème, car parmi les pères dépressifs, 77 % en avaient parlé au médecin de leur enfant durant la dernière année.

D’autre part, on a pu remarquer quelques liens avec l’attention que portait un père à son enfant et les punitions qu’il pouvait lui infliger avec l’apparition de symptômes dépressifs. Par exemple, 41 % des dépressifs avaient donné une fessée à leur enfant, comparativement à 13 % pour les autres.

Il semble que le plus grand rôle joué par les pères d’aujourd’hui les rapproche ainsi des problèmes que peuvent vivre les nouvelles mamans. Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans Pediatrics.

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Les mères s’occupent deux fois plus des enfants

Encore aujourd’hui, ce sont les mères qui consacrent le plus de temps à s’occuper des enfants. C’est ce que révèle une étude européenne menée par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique).

Il semble donc qu’une mère passe en moyenne 1 h 40 chaque jour à s’occuper de ses enfants, tandis qu’un père n’y accorde que 42 minutes de son temps. La différence est donc assez marquée.
 
Ces chiffres ne changent pas pour autant si les parents occupent ou non un emploi. En effet, un père qui travaille passera en moyenne 40 minutes chaque jour avec ses enfants, contre 51 minutes pour un papa à la maison.

On a aussi pu remarquer, dans cette étude, que les hommes étaient plus souvent responsables de l’aspect ludique et didactique de l’éducation de leurs enfants, alors que les femmes avaient plus tendance à voir à la surveillance et aux soins accordés à leur progéniture.

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Les enfants de Jackson vivent leur deuil

Selon les confidences de Jackie Jackson à People, les enfants de son frère vivent leur deuil sans oublier leur papa.

Il semble que même si Michael Jackson a perdu la vie il y a un an et demi, Paris, Prince Michael et Blanket ressentent encore sa présence autour d’eux, et ce, chaque jour.

Aux dires de Jackie, ils ne laissent pas partir le souvenir de leur père facilement : « Ils ont des photos [de lui] dans la chambre. Ils parlent de lui tout le temps. Ils me demandent des histoires à son sujet. »

Malgré tout, la sœur du défunt chanteur affirme que les enfants vont bien. Il semble d’ailleurs qu’ils aient des intérêts pour le monde du spectacle. Prince Michael voudrait devenir réalisateur, alors que Paris rêverait de devenir une actrice.

Pour l’instant, les héritiers Jackson font la promotion de la collection J5 lancée par l’un des frères Jackson.

Ainsi, Prince Michael portait fièrement un chandail à l’effigie du mythique groupe Jackson 5 lors d’un match des Lakers de Los Angeles. Les enfants du Roi de la pop trouveraient bien amusant de voir leur père et leurs oncles à leur âge.

La famille Jackson est motivée à faire connaître les Jackson 5 aux prochaines générations. Il semble qu’ils possèdent des centaines de photographies dont ils souhaitent faire bon usage.

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Mort d’un enfant : qu’advient-il des parents?

On peut lire sur Medical News Today que des chercheurs de l’Université de York ont fait paraître un livre sur le deuil des parents dont un enfant est décédé, Parenting After the Death of a Child: A Practitioner’s Guide.

Après avoir rencontré des parents qui avaient vécu un tel événement et qui ont au moins un autre enfant, les chercheurs ont noté deux défis à relever pour eux.

Bien entendu, la perte de l’enfant comme telle est une souffrance difficile à traverser. D’autre part, il y a les inquiétudes quant à l’enfant survivant, ainsi que la peine que celui-ci vit lui-même.

En général, on a remarqué que les pères avaient plus souvent tendance à se lancer rapidement dans le travail et le quotidien pour s’en sortir.

Les mères semblaient plus intuitives et près de leurs sentiments. Elles vivent aussi dans la peur constante de perdre leur autre enfant. Globalement, les gens qui vivent ce grand drame en viennent à acquérir un plus grand sens d’eux-mêmes et de la famille.

Le but du présent ouvrage est donc de soutenir les familles endeuillées et de leur fournir des outils pour bien accompagner l’enfant survivant.

On espère aussi pouvoir mieux prévenir les problèmes de santé mentale qui peuvent être entraînés par la mort d’un enfant, comme le choc post-traumatique, l’anxiété et la dépression.

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Le tabagisme, de mère en fille?

Il semble que les filles fumeuses sont statistiquement reliées à une mère qui fume aussi la cigarette, et la même chose est observable chez les garçons par rapport à leur père. Ce lien n’existerait pas en croisant les parents toutefois. 

C’est la principale observation à laquelle sont arrivés des chercheurs espagnols après avoir analysé des données s’étalant de 1994 à 2002.

Ils ont choisi ces données de sondages anglais puisqu’elles fournissaient des détails sur les produits consommés à la maison, dont la cigarette.

Des familles avec père et mère ainsi que des familles monoparentales ne comprenant que la mère constituaient les deux types de l’étude en question.

Les chercheurs ont ainsi pu étudier la transmission du tabagisme entre les générations. En général, un garçon a 24 % de risques de fumer si ses deux parents sont fumeurs, contre 12 % si aucun de ses parents ne fume. Les probabilités sont semblables chez les filles avec 23 % et 12 %.

Au sein des familles monoparentales, la mère semble transmettre l’habitude du tabagisme sans regard au sexe de ses enfants : chez les garçons, 32 % sont devenus fumeurs, tandis que chez les filles, 28 % fumaient.

La lutte anti-tabac devrait donc tenir compte du milieu où évoluent les enfants et les adolescents. Les détails de la présente étude sont parus dernièrement dans l’Oxford Bulletin of Economics and Statistics.

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Conflits entre parents : à qui la faute?

Les couples se porteraient-ils mieux lorsque maman s’occupe principalement des enfants? C’est un peu ce que semblent dire les résultats très surprenants d’une récente étude de l’Université de l’Ohio.

Parue dans le Developmental Psychology, cette recherche comprenait 112 couples, pour la plupart mariés, qui avaient un enfant de 4 ans.

On a tout d’abord remarqué que si le père participait à la vie de son enfant en lui donnant de l’attention et en jouant avec lui, le couple était fort et basé sur une véritable collaboration parentale.

Or, on a aussi relevé que lorsque le père prenait soin plus sérieusement de l’enfant, qu’il donnait le bain et lui préparait des repas, par exemple, les parents avaient plus tendance à se faire des reproches et étaient moins portés à se soutenir.

L’un des auteurs de l’étude, Sarah Scoppe-Sullivan, précise toutefois que ces résultats se doivent d’être interprétés comme il faut.

Selon elle, cela ne veut absolument pas dire que le père ne doit pas participer davantage à l’éducation de son enfant. Cela signifie simplement que toutes les formules ne sont pas bonnes pour tout le monde.

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Enfant et télé : les parents à la rescousse

Il semble que le surpoids et l’obésité peuvent être évités chez l’enfant si la mère et le père proposent des activités sportives au lieu de le laisser devant la télévision.

Cette influence serait tout aussi efficace si les parents posent des actions positives quant à l’alimentation de leur progéniture.

Précisément, le temps d’écoute de la télévision pourrait diminuer de près d’une heure par jour.

Ce sont là les conclusions d’une récente étude publiée dans le Medicine & Science in Sports & Exercise.

Il s’agit d’une recherche menée conjointement par les universités de Wollongong and Newcastle en Australie. Elle a porté sur 165 enfants âgés de 5 à 9 ans et faisant tous de l’embonpoint.

Dans l’ensemble, après 6 mois, les participants regardaient en moyenne la télé 55 minutes. Après 1 an, la moyenne était de 39 minutes.

Ce qui apparaît comme le plus durable et efficace est bien l’activité physique. On ne peut donc que constater encore une fois l’influence du parent sur le comportement de son enfant.

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Les mères dorment moins que les pères

Une récente étude de l’Université du Michigan a démontré que les femmes se lèvent deux fois et demie plus souvent la nuit que les hommes pour s’occuper des enfants.

Parue dans Social Forces, la recherche en question a porté sur les données concernant près de 20 000 parents sur le marché du travail de 2003 à 2007.

Ainsi, parmi les familles de deux travailleurs ayant un enfant de moins d’un an, la mère a plus souvent tendance à se lever la nuit pour prendre soin du bébé. La proportion est de 32 % chez les femmes contre 11 % chez les hommes.

Une fois que l’enfant a d’un à deux ans, les chiffres changent. Ainsi, la mère a un sommeil interrompu dans 10 % des cas. Pour le père, le taux demeure bas, soit deux pour cent.

Les taux baissent une fois de plus lorsque l’enfant a de trois à cinq ans. Il semble alors que les femmes se lèvent la nuit dans une proportion de trois pour cent, contre un pour cent chez les hommes.

De plus, la différence demeure malgré le statut de chaque parent. Ainsi, dans le cas où la femme est la principale source de revenus du couple, elle se lève tout de même la nuit dans 28 % des cas. Si le père a un tel rôle, il se réveille la nuit pour s’occuper de l’enfant dans quatre pour cent des cas seulement.

Les femmes semblent donc faire face à un autre facteur influant sur l’avancée de leur carrière par rapport aux hommes.