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Un couple avec enfants sur quatre divorce

L’Institut de la statistique du Québec vient de faire paraître un rapport sur la situation familiale actuelle des jeunes familles, rapporte La Presse.

D’après l’échantillon de 1 500 enfants suivis jusqu’à l’âge de 6 ans par l’Institut, les jeunes couples se font et se défont rapidement.

Ainsi, il semble que plus du quart des enfants ont vu leurs parents se séparer ou reformer une union lorsqu’ils font leur entrée à la maternelle. Quinze pour cent ont connu cette situation deux fois et cinq pour cent, une troisième fois aussi.

Parmi ces derniers, 66 % vivent avec leur mère, alors que le tiers sont en garde partagée et que 3 % à peine vivent avec leur père.

Les couples se reforment par la suite, les femmes vivant l’expérience de la famille monoparentale pendant environ 16 mois et les hommes pendant 7 mois.

L’intérêt de cette étude réside finalement dans le fait qu’elle apporte certaines nuances quant à la famille d’aujourd’hui.

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Pourquoi P. Diddy refuse-t-il le mariage?

P. Diddy est le père de six enfants issus de relations avec trois femmes différentes. Selon Female First, il lui est pourtant impossible d’expliquer pourquoi il ne s’est jamais engagé.

La vedette dit même que les trois ex-conjointes en question auraient « mérité de l’épouser. »

Diddy a rencontré ces trois femmes, Kim Porter, Misa Hylton-Brim et Sarah Chapman, à la même période de sa vie. Il soutient toutefois ne pas les avoir fréquentées en même temps.

L’artiste serait tout simplement passé de l’une à l’autre, au fil de ses déceptions amoureuses.

Le moment ne serait jamais venu pour un mariage, selon lui. Il mentionne aussi la mort de son père comme un facteur déterminant de sa peur de l’engagement.

Ces complications dans sa vie personnelle ne l’empêchent pas de prendre sa paternité au sérieux. Les six enfants de P. Diddy sont âgés de 4 à 19 ans.

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Les filles provenant de foyers démunis ont des enfants plus jeunes

Une étude vient de démontrer que ces jeunes filles seraient poussées à avoir des enfants plus tôt dans leur vie que celles ayant grandi au sein d’une famille plus stable.

Selon Mail Online, des psychologues de l’Université de Newcastle ont pu tirer certaines conclusions en étudiant le cas de 4 553 femmes qui étaient toutes nées durant la même semaine de mars 1958.

Ainsi, il semble qu’une enfant qui est séparée de sa mère durant les premières années de sa vie fonderait une famille deux ans plus tôt en moyenne qu’une fille ayant grandi dans un milieu stable.

Plus précisément, le Dr Daniel Nettle, qui a dirigé cette étude, a pu statuer qu’une séparation de 6 à 24 mois durant les 5 premières années de vie avait l’impact cité.

Une tendance semblable a été observée si le père est absent durant ces mêmes années. Dans ce cas, les jeunes femmes ont des enfants un an plus tôt en moyenne.

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De plus en plus de pères au foyer

Un sondage conduit par une firme d’assurances a été mené auprès d’environ 1 000 Britanniques, nous apprend Mail Online.

De ce nombre, dans 22 % des ménages, c’est la mère qui travaille et pourvoit aux besoins de la famille, tandis que le père s’occupe des enfants et des tâches domestiques.

D’après les résultats, on pourrait maintenant évaluer à 200 000 le nombre de pères britanniques qui demeurent à la maison.

Parmi les personnes sondées, pas moins de 86 % des hommes se sentaient à l’aise à la pensée que leur conjointe soit celle qui détient l’unique salaire de la maisonnée.

De plus, il semble que 44 % d’entre eux seraient très heureux de demeurer à la maison avec les enfants.

Ainsi, le nombre de pères au foyer aurait augmenté d’environ 80 % depuis les 15 dernières années. Parallèlement, le nombre de mères à la maison a diminué.

Par contre, le salaire moyen d’un homme demeure plus élevé que celui d’une femme.

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Les risques de transmission du diabète de père en fille selon l’état de santé

Parue dans Nature, l’étude nous apprend que les parents atteints de diabète qui sont en surpoids et qui ont une alimentation riche en gras transmettraient plus facilement le diabète.

En fait, ces facteurs causeraient une intolérance au glucose et une résistance à l’insuline chez leurs enfants.

De plus, il semble que les pères ayant une alimentation déficiente mettraient au monde des filles ayant des cellules anormales qui produisent l’insuline.

Ainsi, des facteurs non génétiques seraient en cause dans l’apparition du diabète de type 2.

Pour arriver à ces conclusions, des rats en surpoids, en conséquence d’une alimentation à taux élevés de gras, ont été accouplés avec des femelles normales.

La progéniture femelle présentait des déficiences, en grandissant, en ce qui concerne la tolérance au glucose et la production d’insuline.

Les chercheurs ajoutent que l’augmentation de l’obésité dans toutes les tranches d’âge et chez les deux sexes est reliée à cette émergence hâtive du diabète de type 2.

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Un père absent peut être un facteur d’une puberté précoce chez les filles

Les chercheurs ont découvert un fait plutôt curieux concernant la puberté des jeunes filles.
 
Dans une famille aisée (avec un revenu de 50 000 $ ou plus), un père absent peut être un facteur de puberté précoce chez une jeune fille. Étrangement, ce phénomène ne s’observe pas chez les familles à faible revenu.
 
Selon le Journal of Adolescent Health, les chercheurs ont étudié 444 jeunes filles de 6 à 8 ans. 85 % ont dit que leur père biologique ne vivait pas avec elles. Après deux ans d’étude, la plupart avaient développé des seins et leur puberté était beaucoup plus précoce que chez les autres.
 
En moyenne aux États-Unis, les jeunes filles atteignent la puberté vers l’âge de 12 ans, mais de récentes études nomment des cas à l’âge de 7 ou 8 ans. On croit que cela est notamment dû à des problèmes émotionnels, à l’indice de masse corporelle, à l’utilisation de certaines substances et à une activité sexuelle qui débute beaucoup plus tôt.
 
Ces filles précoces sont exposées à plus de risques de cancer du sein ou des organes reproducteurs à l’âge adulte.
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Lindsay Lohan admet avoir été irresponsable

Peu de temps avant d’entamer sa sentence de prison le mois dernier, Lindsay Lohan a accordé une entrevue au Vanity Fair, avouant avoir été irresponsable. Elle mentionne que son enfance, son père absent et ses mauvais choix ont fait en sorte qu’elle s’est égarée.
 
« J’ai été irresponsable », dit-elle. Elle confie qu’elle prenait un certain plaisir à faire la manchette constamment. Toutefois, elle nie tous les torts qu’on lui reproche.
 
« Je n’ai jamais abusé de médicaments d’ordonnance, jamais de ma vie, je n’en ai pas eu envie. J’ai admis les choses que j’ai faites. J’étais jeune, curieuse et d’autres personnes le faisaient, mais je vois ce qui s’est passé dans ma vie à cause de cela », confiait Lohan.
 
La starlette dit avoir complètement perdu le contrôle et la structure de sa vie. Une des raisons à cela est son père qui a toujours été absent : « Je pense que si quelqu’un doit être examiné médicalement, c’est lui ».
 
Maintenant, Lohan dit vouloir reprendre sa vie en main. « Je veux que ma carrière revienne au sommet. Je sais que je suis une bonne actrice et c’est ma passion depuis que je suis enfant. Je veux avoir le respect que j’avais quand je faisais de grands films », conclut-elle.
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Une hormone influence l’interaction des parents avec leurs enfants

De nombreuses études avaient jusqu’à maintenant démontré que l’hormone de l’amour et de la confiance, l’ocytocine, agissait sur les femmes, les hommes et les enfants.
Cette fois, une étude rapportée par le Biological Psychiatry mentionne que cette hormone influence les comportements propres à chacun des parents envers leurs enfants.
 
Pour cette recherche, on a étudié 160 nouveaux parents dont c’était un premier enfant. On les a évalués après six semaines et après six mois.
 
On constate une augmentation de l’ocytocine, ce qui définirait le style d’interaction spécifique de chacun avec l’enfant. Ainsi, chez la mère, cette hormone la rend plus aimante et elle regarde plus tendrement son enfant, alors que chez le père, l’ocytocine rend son contact plus stimulant, encourageant à l’exploration.
 
À la lumière de ces observations, il est donc très important que les deux parents puissent interagir avec l’enfant dès la naissance.
 
« Ces différences peuvent refléter l’impact des attentes culturelles quant aux rôles spécifiques des parents, mais elles peuvent également indiquer les effets des circuits distincts de l’ocytocine dans les cerveaux masculin et féminin », explique le Dr John Krystal.
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Une bonne relation avec le père favorise la stabilité émotionnelle

Habituellement, ce genre d’étude se penche plutôt sur la relation mère-enfant, mais cette fois après avoir interrogé 900 hommes et femmes maintenant âgées de 25 à 74 ans, les chercheurs constatent que la relation avec le père affecte la santé mentale, une fois adulte.

Pour l’étude, on a demandé aux personnes pendant huit jours de décrire leur détresse psychologique, voir si elles étaient déprimées, nerveuses ou tristes. On leur a demandé de rapporter les événements stressants de leur journée, également. Tout en les questionnant sur leur relation avec leurs parents durant leur enfance, explique le Telegraph.

La majorité a décrit leur relation avec leur mère comme étant meilleure que celle avec leur père; étonnamment, plus d’hommes ont fait cette affirmation. Parmi ces personnes, on a noté 3 % moins de détresse que ceux ayant une mauvaise relation avec leur mère.

Toutefois, pour la relation avec le père, on observe que l’impact se fait plus tard, une fois adulte. Ceux ayant conservé des souvenirs d’enfance agréables avec leur père étaient moins émotifs face aux événements stressants de leur quotidien.

Cela démontre combien la relation avec le père est aussi importante. Dans les dernières années, le rôle du père a beaucoup changé, et nous savons qu’ils ont une façon unique d’interagir avec leurs enfants.

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Les pères sont plus présents aujourd’hui

D’après un sondage effectué pour l’hebdomadaire chrétien Pèlerin, près de 60 % des Français estiment que les pères participent plus à l’éducation de leurs enfants aujourd’hui qu’il y a une trentaine d’années.
 
Étrangement, les femmes sont plus convaincues de cette affirmation (67 %), alors que 45 % des hommes le croient.
 
40 % des répondants au sondage estiment qu’il est plus difficile maintenant d’assumer son rôle de père, alors que 43 % mentionnent que ce rôle n’est pas plus difficile ou plus facile qu’avant.
 
Plus des trois quarts des personnes croient également que l’amour et le réconfort ne doivent pas seulement être prodigués par la mère et que l’autorité ne doit pas venir seulement du père.
 
De nos jours, la grande majorité des gens pensent que l’éducation des enfants doit se faire de façon partagée entre les deux parents, tout comme les deux doivent jouer avec leurs enfants, déterminer mutuellement les règles et les punitions ainsi que s’occuper de donner le biberon et changer les couches.