La fête des Pères arrive à grands pas (le 16 juin!) et on le sait, trouver le cadeau parfait n’est pas toujours facile! Voici donc quelques suggestions qui devraient vous inspirer!
Pour l’occasion, la compagnie montréalaise Nouveau Rivage propose un chandail qui célèbre les papas! Pour les papa cool et les papa poule! Vous y trouverez aussi les bols « papa d’amour » pour des déjeuners en famille tout en douceur…
View this post on InstagramL’illustratrice montréalaise Lucile L* propose des portraits personnalisés de votre petite famille! Quel cadeau est plus touchant que cette délicate attention?
View this post on InstagramSi vous n’avez pas encore entendu parler de la boutique Bouchée bée dans Hochelaga, allez vite la découvrir! Marie propose une magnifique sélection d’objets déco et plein d’idées cadeaux pour la fête des pères!
View this post on InstagramUne sortie en amoureux pour aller voir le concert de Bryan Adams le 2 juillet à l’occasion du Festival de Jazz de Montréal ou la talentueuse Charlotte Cardin en concert gratuit le 27 juin! (Idée valable pour plein de concerts qui ont lieu cet été partout au Québec!)
View this post on InstagramOn les a invités au party pour notre 40e! We invited them to our 40th! ?? ##FIJM #mtljazzfest
Des moments en famille! Un déjeuner au lit avec des crêpes déjeuner, un dessin des enfants pour leur papa d’amour, des câlins, des bisous à n’en plus finir! On implique les enfants dans la préparation et on laisse la magie opérer! Bonne fête les papas!
View this post on InstagramLa responsabilité : Lorsque l’enfant arrive, un papa n’a pas le choix de devenir responsable, puisqu’il a maintenant, littéralement, plusieurs bouches à nourrir.
L’amour de la lecture : Avoir des enfants qui adorent lire peut inspirer certains pères à laisser de côté la télé ou l’ordinateur et se remettre à lire en format papier!
Le désintéressement : Même si les papas doivent souvent laisser tomber certaines choses qu’ils aimaient faire avant et composer avec peu de temps pour soi, cela vaut la peine pour pouvoir profiter de la vie de ses petits chéris.
La gentillesse : Avoir un enfant qui se préoccupe toujours du bien-être des autres peut vraiment inspirer à vouloir faire le bien autour de soi.
La magie de l’enfance : Leur regard neuf sur les choses, leur imagination, leurs petits mots drôles… Quel bonheur!
L’absence de ressentiment : Les enfants ne sont habituellement pas rancuniers. Même si vous leur avez (involontairement) fait de la peine, ils ne vous en tiendront jamais rigueur. Un excellent exemple à suivre!
La compétition : Il ne faut pas les rendre compétitifs à tout prix, mais leur apprendre comment « le jeu » fonctionne pourra les aider de plusieurs manières, plus tard.
L’intégrité : C’est l’une des valeurs les plus importantes, et celle-ci ne s’apprend que par l’exemple. Alors, tenez vos promesses, excusez-vous lorsque c’est nécessaire, soyez honnêtes, et acceptez les conséquences de vos actions avec le plus de grâce possible.
Les petites réparations : Savoir comment se servir d’outils, et pouvoir effectuer toute une variété de travaux dans la maison, ça n’a pas de prix de nos jours.
L’argent : Vous pourriez donner une petite allocation en échange de corvées ou de tâches, et en profiter pour leur apprendre comment le système monétaire fonctionne, comment économiser, dépenser judicieusement, attendre d’avoir assez d’argent avant de s’acheter ce dont ils ont envie.
L’amour des animaux : Savoir comment s’occuper d’un animal, ça apprend la compassion, l’affection, la responsabilité et aussi, malheureusement, comment vivre avec le deuil.
Une nouvelle étude portant sur 43 pères et leurs filles met en lumière les événements les plus significatifs qui définissent leur relation.
Les activités, notamment le sport, ont été l’élément le plus souvent rapporté par les participants, autant les pères que les enfants.
Du point de vue des filles, les activités sportives étaient souvent mentionnées comme une chance de devenir le centre de l’attention de leur père. Les filles appréciaient aussi le fait que leur père était un « compagnon de jeu » privilégié pour apprendre à compétitionner, à prendre des risques et à s’affirmer.
Les pères, quant à eux, aimaient que le sport leur permette de développer une relation avec leur fille que celle-ci n’avait pas avec sa mère ou ses frères et sœurs. Les papas ont également souvent mentionné que cette activité partagée leur donnait l’occasion de « parler de tout et de rien ».
« Les activités partagées correspondent au style “masculin” du développement d’une relation et un lien de proximité qu’on appelle “être proches dans l’action”, contrairement au style “féminin”, qu’on appelle “être proches dans le dialogue,” » a expliqué l’auteur de l’étude, le professeur de communications Mark Morman, selon Medical News Today.
Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of Human Communication.
1. Sortir de sa zone de confort : Vous n’êtes probablement jamais allé faire des commissions seul avec un bébé avant de devenir père, mais c’est tout à fait faisable. Vous pouvez y arriver!
2. Accepter d’être plutôt seul : Si vous amenez votre bébé à une activité ou au parc, il y aura probablement beaucoup plus de mamans présentes.
3. Trouver un « ami papa » : Les mamans le font tout le temps, c’est-à-dire essayer de se rapprocher d’une autre femme qui a des enfants à peu près du même âge. C’est un match parfait!
4. Accepter de ne pas être maman : Même les papas les plus impliqués ne peuvent pas remplacer une maman durant les premiers mois de vie.
5. Poser des questions : N’ayez pas peur de le dire si vous ne savez pas quoi faire, peu importe la situation. Quelqu’un pourra vous aider.
6. Impliquer vos enfants : Essayez de les incorporer à votre routine et à vos activités; ça fera d’une pierre deux coups!
Pour l’étude menée en Norvège, les données provenant de 31 663 enfants ont été étudiées. L’état de santé mentale des pères a été évalué à 17 ou 18 semaines de grossesse, puis le développement émotionnel et comportemental de l’enfant a été mesuré à 36 mois.
Les chercheurs ont découvert un lien entre la détresse psychologique paternelle, particulièrement l’anxiété et la dépression, et des problèmes émotionnels, comportementaux et de fonctionnement chez leurs enfants à 3 ans.
Ce lien est resté significatif, même après que les chercheurs aient ajusté les données pour tenir compte de facteurs externes comme l’âge, l’éducation, l’état civil, l’activité physique, la consommation d’alcool, le tabagisme et la santé mentale de la mère.
« Différents mécanismes possibles pourraient expliquer cette association, incluant un effet génétique prénatal de la détresse psychologique du père, un effet sur la santé mentale de la mère, qui se transmet à l’enfant, ou encore un lien de causalité entre la santé prénatale et la santé postnatale », a expliqué l’auteure, Anne Lise Kvalevaag, selon Science Daily.
Peu importe l’âge de l’enfant au moment de sa mort, ce pourcentage resterait le même pour les mères. En fait, ce chiffre ne serait pas non plus altéré par le revenu familial, l’éducation de la mère, la taille de la famille ou la cause de la mort de l’enfant.
Des études faites il y a quelque temps au Danemark avaient démontré que les parents, tant les pères que les mères, avaient plus de risques, suivant la mortalité de leur enfant, d’être hospitalisés pour la première fois pour un désordre psychiatrique que les autres parents.
Toutefois, les femmes étaient encore une fois plus susceptibles de se retrouver dans une telle situation que les hommes.
Rappelons que selon une étude publiée dans la revue The Lancet, les deux tiers des 8,8 millions de décès d’enfants de moins de cinq ans sont causés par une maladie infectieuse comme la pneumonie, la diarrhée ou le paludisme.
Cependant, près de la moitié de ces décès se produisent dans les pays en développement.
Les scientifiques de la Northwestern University ont regardé la longueur des télomères — des parties de l’ADN qui protègent les extrémités des chromosomes de la détérioration — chez plusieurs Philippins.
Des télomères plus longs, associés avec un ralentissement du vieillissement, ont été trouvés chez les gens dont les pères ou les grands-pères ont fondé plus tardivement leur famille.
« Si nos récents ancêtres ont attendu d’être à un âge plus avancé avant de concevoir, peut-être pour des raisons culturelles, ça ferait du sens pour notre corps de se préparer pour quelque chose de semblable en investissant plus de ressources pour maintenir le fonctionnement du corps à un âge plus avancé », soutient Christopher Kuzawa, coauteur et professeur en anthropologie.
Toutefois, cela ne veut pas dire que les hommes devraient attendre trop longtemps avant de fonder une famille. Des recherches effectuées dans le passé ont démontré que les pères plus vieux sont plus susceptibles de transmettre des mutations génétiques à leurs enfants.
Aussi, rappelons qu’il est potentiellement dangereux pour les mères d’avoir une grossesse tardive. Les mères de 40 ans et plus sont au moins 3 fois plus susceptibles d’avoir des complications à la suite de leur accouchement.
Les enfants ayant un père dépressif sont plus susceptibles d’avoir des problèmes affectifs ou comportementaux, selon une nouvelle étude.
La plupart des recherches antérieures ont porté sur des mères déprimées, ont expliqué les chercheurs de la NYU School of Medicine.
Cette étude, publiée en ligne dans le Maternal and Child Health Journal, a suivi des ménages américains. Les résultats ont montré qu’environ 25 % des enfants dont la mère et le père avaient montré des signes de dépression ont eu des problèmes émotionnels ou comportementaux.
Ces résultats mettent en lumière « la nécessité urgente de reconnaître le rôle des pères dans la vie des enfants et des familles », a expliqué l’auteur de l’étude, le Dr Michael Weitzman.Le meilleur prédicateur de la dépression chez les pères est le chômage. Les papas sans emploi étaient 6,5 fois plus susceptibles d’être déprimés.Les pères jouent un rôle très important dans la vie des enfants et des familles. « Ils sont trop souvent oubliés dans nos efforts pour aider les enfants », mentionne l’un des chercheurs.C’est ce que révèle une nouvelle étude publiée dans le numéro de décembre de l’American Sociological Review.
En termes de quantité, en plus de travailler à l’extérieur comme leurs conjoints, les mères consacrent 48,3 heures par semaine aux tâches ménagères et au soin des enfants, comparativement à 38,9 pour les pères, selon ce que révèle l’étude.
52,7 % de tous les épisodes multitâches à domicile impliquent le ménage pour les femmes, comparativement à 42,2 % pour les hommes. Pour l’éducation des enfants, on obtient 35,5 % chez les mères contre 27,9 % chez les pères.
Ces derniers sont portés à sélectionner naturellement des activités moins lourdes émotionnellement, telles que s’occuper du paysagement, de l’entretien de la voiture ou parler à une tierce personne. La mère, habituellement, se changera peu les idées avec ses tâches ménagères et l’éducation des enfants.
Les chercheurs croient aussi que le multitâche est une expérience plus négative pour les mères que pour les pères, car les activités des mères sont plus sensibles au jugement et aux critiques d’autrui.
Selon les auteurs de l’étude, la clé du bien-être émotionnel de la mère se trouve dans le comportement des pères. Les employeurs de la gent masculine devraient également donner un coup de main en encourageant les pères à s’impliquer davantage au sein de leurs familles.