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Ebola : la période de quarantaine remise en question

Selon le Dr Charles Haas, 21 jours d’isolement pour ceux qui ont été en contact avec des individus atteints du virus Ebola seraient insuffisants. Cette mesure, prise pour éviter la propagation, devra être revue à la hausse, rapporte Haas.

Dans l’étude publiée dans Plos Currents: Outbreaks, et rapportée par eurekalert.org, le Dr Haas explique qu’il base sa théorie sur les précédentes épidémies du virus en Afrique, soit au Zaïre en 1976 et en Ouganda en 2000, ainsi que sur les 9 mois prévisionnels de celle en vigueur.

Au terme de son analyse, il conçoit que vu le peu de variation des précédentes épidémies, l’Organisation mondiale de la santé a jugé que de 2 à 21 jours d’incubation constituaient la ligne directrice à suivre. Or, cette fois-ci, le virus se comporte différemment.

Il existe donc jusqu’à 12 % de risques qu’une personne puisse être infectée même après 21 jours sans symptômes. Haas, qui n’en est pas à sa première analyse épidémiologique, énonce qu’il faut se demander ce qui coûtera le moins cher. Relâcher des gens qui peuvent en contaminer d’autres ou les retenir un peu plus longuement.

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Le tamoxifène serait plus efficace sur une période de dix ans

Le tamoxifène est un traitement bien connu contre le cancer du sein, et ses bienfaits sont reconnus par l’ensemble de la communauté scientifique.

Voilà que l’on apprend, via santelog.com, que le traitement serait bien plus efficace lorsqu’utilisé sur une période de dix ans, au lieu des cinq années de traitement normalement offertes.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente édition de Lancet, la même publication qui avait précédemment confirmé les effets du tamoxifène sur une période de cinq ans.

Cette fois, des chercheurs de l’Université Oxford (en collaboration avec d’autres instituts de recherche) ont analysé les dossiers de deux groupes de patientes. Le premier groupe a été traité au tamoxifène durant cinq ans, et le deuxième pendant dix ans.

On a recensé un nombre évident de cas en moins de récidives et de décès pour le groupe des « dix ans », contrairement à ceux des « cinq ans ».

D’autres études sont à prévoir sur le sujet, mais les chercheurs pensent pouvoir affirmer dès maintenant que les femmes, notamment celles diagnostiquées très tôt, devraient être traitées au tamoxifène durant une décennie, même après la disparition prétendue de la maladie.

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Faciliter la période des devoirs à la maison

D’abord, souvenez-vous que le temps accordé aux devoirs devrait être de 10 à 15 minutes par niveau scolaire. Si l’enfant revient avec trop de devoirs, parlez à son enseignant.

Aussi, si votre enfant a de la difficulté avec un temps de verbe ou un problème de math, écrivez un mot à son professeur, pour qu’il sache que votre enfant a eu besoin de beaucoup d’aide de votre part.

Certains enfants ont besoin de bouger après l’école. Accordez – lui une heure avant de commencer les devoirs. Il n’en sera que plus disposé à se mettre au travail après s’être aéré l’esprit.

Vous pourriez également établir une routine. Planifiez un moment où vous n’êtes pas pressé, assez tôt durant la soirée, pour vous asseoir avec lui et faire les devoirs. Installez-vous à un endroit confortable où il sera tranquille pour travailler.

Afin de faciliter les devoirs, vous pouvez diviser le travail à faire. Par exemple, faites les mathématiques avant le souper, puis le français après le repas. Fixez des objectifs à court terme. Faites la première moitié du devoir, prenez une courte pause, et revenez compléter le devoir.

Finalement, rappelez-lui qu’il pourra s’amuser ou regarder la télévision une fois ses devoirs terminés.

Rappelons que d’avoir appris à lire et à écrire à votre enfant avant l’école peut lui donner un coup de main. En fait, plus de 90 % des parents croient que c’est une priorité.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net