La puberté se vit différemment pour chaque enfant, et il semble que la vitesse de celle-ci influence l’apparition de certains problèmes de comportement. Des chercheurs américains ont démontré ce lien après avoir suivi 364 garçons et 373 filles.
On avait déjà fait la lumière quant à de possibles conséquences d’une puberté plus hâtive, mais peu d’études ont porté jusqu’ici sur son rythme.
Il semble donc, comme nous le lisons dans Developmental Psychology, que plus la période de puberté d’un enfant se déroulera rapidement, plus il sera enclin à souffrir d’anxiété et de dépression.
De plus, les enfants étant très sensibles à la vitesse à laquelle les autres traversent leur puberté, cela peut contribuer à l’apparition de problèmes tels que la dépression.