Les personnes qui dépassent le cap des 100 ans ont sans doute de bons gènes qu’elles refilent à leur progéniture, qui risque de vivre plus longtemps et en santé, selon la Dre Emily R. Adams de l’Université de Boston.
La Dre Adams a travaillé avec 600 personnes âgées américaines et a découvert que celles dont un des parents avait été centenaire avaient plusieurs avantages au niveau de leur état de santé. En effet, ces sujets étaient 80 % moins à risque de souffrir de diabète, de maladies cardiovasculaires et d’infarctus que les autres participants à la recherche.
« Ces résultats démontrent qu’il y a peut-être une raison physiologique pour expliquer la longévité au sein d’une famille », a noté la chercheuse.