Deux études parues dans les Archives of Internal Medicine, mentionnent que les personnes âgées qui vivent seules ont plus de 40 % de risques de mourir que les autres.
Lors des évaluations de santé des patients de plus de 60 ans, on recommande donc aux médecins de tenir compte de la solitude des personnes afin de mieux détecter le déclin fonctionnel et la perte d’autonomie.
Pendant plus de six ans on a suivi 1604 personnes de plus de 60 ans. 59 % étaient des femmes, 18 % vivaient seules et 43 % disaient se sentir seules.
Dans la première étude, on a d’abord noté une augmentation considérable des risques de mobilité réduite, de déclin fonctionnel et de décès chez les personnes coincées dans la solitude.
Des facteurs qui sont en plus aggravés selon l’intégration sociale, le mode de vie et la santé physique et mentale.
Chez les aînés, donc, la solitude peut être un facteur prédicateur de déclin et de décès.
La deuxième étude, quant à elle, n’a fait que confirmer les premiers résultats.