Étiquette : perte de poids

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Certains aliments sont ciblés pour la réussite d’un régime amaigrissant

On apprend dans le Times of India qu’un régime alimentaire ne devrait pas être fait en fonction d’une privation de nourriture, mais bien d’un choix éclairé d’aliments. 

En fait, les choix alimentaires devraient être faits pour empêcher l’interruption du processus de digestion.

Ainsi, on recommande de consommer des légumes, bien sûr, en raison des vitamines qu’ils contiennent, mais aussi pour combler les besoins en minéraux de l’organisme mis au régime.

Plus précisément, les petits fruits auraient des propriétés semblables, en plus d’avoir un possible effet direct sur la perte de poids. Parallèlement, pour maîtriser la prise de poids, les fibres sont citées comme étant le meilleur choix.

Comme nous en avons beaucoup parlé récemment, il semble que l’absorption de produits laitiers aurait un effet bénéfique sur la perte de poids. Le yogourt fait donc partie de cette liste d’aliments à privilégier.

Finalement, c’est avec surprise que nous voyons les noix dans cette même liste. La raison est que si elles sont riches en calories et en gras, le type de gras qu’elles contiennent est bon pour la santé cardiaque.

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Les petites filles déjà préoccupées par la minceur à trois ans

Une récente étude de l’Université de Pepperdine à Malibu, aux États-Unis, nous apprend que les petites filles sont déjà préoccupées par la minceur à un âge aussi jeune que trois ans.

Pour en arriver à ces conclusions, l’auteure de cette étude, Jennifer Harriger, a présenté à 55 fillettes 3 personnages auxquels elles devaient associer un adjectif. Physiquement, il y avait un personnage gros, un de taille moyenne et un mince.

Des qualificatifs négatifs étaient attribués à une échelle de 3,1 mots au personnage dit « gros ». Les mots en question étaient stupide, bruyant, moche, etc. Le personnage dit « mince » n’a reçu que 1,2 mot négatif en moyenne.

À l’opposé, des qualificatifs positifs aussi éloquents que gentil, intelligent, beau et amical étaient accordés selon un taux de 2,7 au personnage mince, contre 1,2 au personnage corpulent.

Finalement, les petites filles disaient en majorité vouloir jouer avec le personnage mince. Il est donc évident que la publicité actuelle leur apprend qu’avoir un surplus de poids est mauvais.

Tristement, l’obsession de la minceur et de la perte de poids de la société actuelle semble affecter jusqu’aux plus jeunes filles.

 

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Le lait, bon pour la ligne

Une étude de deux ans menée par l’Université Ben Gourion, soutenue par le ministère de la Santé d’Israël, a prouvé ce lien direct, nous apprend Maxisciences.

Des gens de 45 à 60 ans en surpoids, des hommes et des femmes, ont donc été suivis. Les 300 personnes devaient suivre un régime : méditerranéen, allégé en lipides ou allégé en glucides.

Il ressort de cette surprenante étude que ceux qui avaient perdu le plus de poids étaient ceux qui consommaient le plus de produits laitiers, et ce, tous régimes confondus.

En moyenne, ceux dont l’alimentation comprenait plus de lait et ses dérivés avaient perdu 6 kilos, comparativement à 3,5 pour les autres.

La dose ici reconnue est de 585 mg de calcium par jour. Précisément, elle fixerait la vitamine D et influencerait positivement le processus d’amaigrissement.

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Un médicament illégal découvert au Canada

Santé Canada a découvert qu’une compagnie en Nouvelle-Écosse, la Nutrition First, vendait un produit illégal au Canada.
 
Cette entreprise faisait le commerce du West Pharm Therma Lean Fat Burner Energizer, un produit qui favorise la perte de poids, par le biais de son site internet.
 
Le problème est que ce médicament contient de l’éphédrine interdite au Canada et de la caféine. Ces deux éléments pris ensemble peuvent avoir des conséquences indésirables, voire mortelles dans certains cas. Les personnes ayant des maladies cardiovasculaires, de l’hypertension et du diabète sont le plus à risques.
 
Parmi les symptômes que peut provoquer la prise de ce produit mélangeant l’éphédrine et la caféine, il y a des tremblements, des étourdissements, des maux de tête, de l’arythmie cardiaque, des convulsions, une psychose, une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral.
 
Les personnes qui en auraient consommé et qui sont inquiètes doivent consulter un médecin.
 
Santé Canada a averti la compagnie de cesser de vendre et de promouvoir le produit en question. Nutrition First a fermé son site internet. En ce moment, Santé Canada et l’Agence de services frontaliers canadiens travaillent ensemble afin de contrer des importations possibles.
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Les fruits et légumes plus efficaces pour une perte de poids durable

Selon une étude québécoise, manger plus de fruits et légumes serait plus efficace dans un processus de perte de poids à long terme que de couper les aliments gras.

À court terme, couper les aliments gras, comme les croustilles, les sucreries et les pâtisseries, favorise la perte de poids, mais les effets seraient moins durables. À priori, manger plus de fruits et légumes ne favorise pas la perte de poids, mais en manger plus réduit notre consommation d’autres aliments plus caloriques, selon la coordonnatrice du projet de recherche, Annie Lapointe.

L’étude, qui s’est échelonnée sur six mois, a été réalisée auprès de 68 femmes ménopausées ayant un excès de poids. 33 d’entre elles ont été incitées à manger moins d’aliments gras et les 35 autres ont mangé plus de fruits et légumes.

Au cours de l’étude, les femmes ont suivi 3 cours de groupe sur la cuisine et l’alimentation. Elles ont également eu 10 rencontres privées avec une nutritionniste.

À la fin des six mois, les femmes ayant mangé moins de gras avaient perdu 3,5 kg alors que les autres avaient perdu 1,6 kg. Par contre, 6 à 12 mois après l’étude, la différence était très significative entre les deux groupes. Les femmes qui avaient mangé moins de gras avaient repris plus de poids que celles qui avaient mangé plus de fruits et légumes.

L’idéal est donc de combiner les deux méthodes. En mangeant plus de fruits et légumes, la faim se fera moins sentir, la consommation de gras sera moins grande et la perte de poids sera favorisée.

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Un médicament contre le diabète favorise la perte de poids

Un nouveau médicament, le Victoza, administré pour combattre le diabète de type 2, aiderait les obèses à perdre du poids.

Autorisé depuis juin dernier en Europe, ce médicament vient de faire l’objet d’une étude à l’Université de Copenhague, selon le magazine The Lancet.

On a étudié 135 hommes et 429 femmes répartis en trois groupes. Un premier recevait différents dosages de liraglutine, l’actif principal du Victoza, le deuxième groupe recevait l’orlistat, composant du médicament pour traiter l’obésité appelé Xenical, et le dernier groupe recevait un placebo.

Les participants devaient aussi suivre un régime et faire de l’exercice quotidiennement. Après cinq mois, les personnes du premier groupe avaient perdu plus de poids, soit jusqu’à 5 % de leur poids initial pour ceux qui avaient reçu une plus forte dose.

Les chercheurs mentionnent toutefois que les personnes ne devront pas uniquement se fier au médicament pour perdre du poids. Son effet est possible s’il est jumelé à un régime et un programme d’exercices.

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Les bénéfices des substituts de repas

Selon une étude réalisée par l’Université du Kentucky et parue dans l’édition du mois d’août du Journal of the American Dietetic Association, les substituts de repas, dans le cadre d’un programme supervisé médicalement, facilitent réellement la perte de poids, rapporte Science Daily.

Les substituts de repas sont des produits de la Health Management Resources Corporation (HMR), une société nationale privée spécialisée dans la perte et la gestion du poids.

Lors de cette étude, des patients, supervisés médicalement, avaient une consommation de nourriture qui se résumait à des substituts de repas, comme des cocktails, des entrées et des barres nutritives. En 19 semaines, ces patients ont perdu un peu plus de poids que les patients ayant suivi un régime plus sain de 18 semaines.

Dr James W. Anderson, coauteur de cette étude, a déclaré : « Cette étude démontre une perte de 16,4 % du poids initial chez le groupe supervisé médicalement et une perte de 15,8 % du poids initial chez le groupe ayant un régime plus sain, les deux étant au-dessus de la valeur standard que le système de santé considère comme une réussite quand on remarque également une meilleure santé. »

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Perte de poids et arthrose au genou

Des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université de Boston concluent que l’arthrose ne diminuera pas, même si la personne a entrepris un régime amaigrissant.

2 600 sujets étant à risque de souffrir de douleurs au genou à cause de leur surplus de poids ou de blessures antérieures au genou ont participé à cette étude. Chacun d’entre eux a passé un test de densité osseuse et une radiographie.

30 mois plus tard, les chercheurs concluent que l’obésité augmente le risque d’arthrose, mais que ce surplus de poids ne joue pas un rôle dans la progression de la maladie.

« Notre incapacité à démontrer que l’obésité détermine la progression de l’arthrose nous amène à conclure que la perte de poids ne joue pas un rôle significatif dans le développement de la maladie », soulignent les auteurs.

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Le calcium pour maigrir

Une étude menée par le chercheur Angelo Tremblay, de la Faculté de médecine de l’Université Laval, l’amène à conclure que la consommation accrue de calcium aiderait à perdre quelques kilos.

M. Tremblay a travaillé pendant 15 semaines avec un groupe de femmes obèses qui consommaient quotidiennement deux suppléments de 1 200 mg de calcium, en plus de suivre un régime réduit en calories.

Au bout du programme, ces participantes avaient perdu environ 6 kilos, comparativement aux sujets à qui les chercheurs donnaient un placebo.

« Notre hypothèse est que le cerveau est en mesure de percevoir une carence en calcium et qu’il cherche à la compenser en stimulant la prise alimentaire, ce qui, bien sûr, ne favorise pas le succès d’un régime amaigrissant. Un apport suffisant en calcium aurait pour effet de prévenir cette hausse du désir de manger », a conclu le scientifique.

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Vaincre l’obésité grâce à un courant électrique

Carol Poe, 60 ans, est la deuxième personne aux États-Unis à participer à une étude clinique, menée par des chercheurs de l’Université West Virginia, afin de perdre du poids.

Après avoir essayé sans succès toutes les méthodes, du régime à la chirurgie bariatrique, Mme Poe a subi des stimulations au cerveau afin de mieux maîtriser son sentiment de satiété.

Selon le neurologue Julian Bailes, qui mène les travaux, la patiente est la candidate idéale pour ce genre d’intervention avec un poids de 104 kilos.

« C’est une première que de générer de légères pulsations électriques dans un groupe de neurones du système nerveux central et d’observer ensuite que cela peut modifier le comportement humain, y compris celui qui gère l’appétit incontrôlable », a souligné M. Bailes.

Ce type de chirurgie cérébrale, approuvée par la Food and Drug Administration, vise à mieux contrôler l’appétit chez les patients, qui réduisent progressivement leurs calories ingérées quotidiennement. À titre d’exemple, Mme Poe a perdu 3 livres depuis son intervention survenue en février dernier.