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De pire en pire au Québec pour la musique francophone.

Déjà que la province du Québec, comme bien d’autres endroits dans le monde, doit faire face à une économie musicale en pleine mutation qui enregistre des baisses dans la plupart de ces secteurs d’activités, voilà que les derniers chiffres, publiés hier par l’Observatoire de la culture et des communications du Québec (OCCQ), ont clairement démontré que la chanson francophone ne cessait de perdre du terrain face à la musique anglophone, qui lui gruge d’ailleurs des parts dans cette tarte actuelle déjà amincie du marché de la musique.

Autant au niveau des spectacles en salle que des ventes de disques eux-mêmes, le recul enregistré par la chanson francophone commence à sérieusement inquiéter certains bonzes du milieu. « Ça devient très préoccupant parce qu’on peut maintenant parler de tendance. On voit que ça s’installe depuis au moins deux ans. Pour longtemps, je ne sais pas… », a dit Solange Drouin, présidente de l’ADISQ.

L’achalandage aux spectacles de chanson francophone a baissé de 13,5 % depuis 2 ans, alors que celle aux concerts de musique anglaise est en hausse de 11,9 % pour la même période. Cette dernière a même montré une augmentation de 33 % depuis 2005. Dans les arts de la scène, la chanson francophone n’a plus que les spectacles de danse, qui attirent moins de spectateurs qu’elle.

Est-ce que les Québécois laissent tomber leurs artistes? On pourrait le croire en notant le vif succès remporté par les albums de Sylvain Cossette et de Lost Fingers, deux albums enregistrés par des Québécois qui ne contiennent pourtant que des reprises de vieux succès de langue anglaise.

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Un gène pour expliquer la calvitie

La recherche menée par la Dre Yumiko Saga, de l’Institut national de génétique du Japon, l’amène à conclure que la mutation du gène Sox21 pourrait expliquer la calvitie.

La chercheuse en est arrivée à cette conclusion en travaillant avec des souris dont le gène avait été modifié et qui commençaient à perdre leurs poils sur le crâne, jusqu’à devenir chauves, 15 jours après la mutation.

Alors que, normalement, d’autres poils remplacent ceux qui sont tombés, les souris sans gène Sox21 restaient chauves plus longtemps et les nouvelles pousses de cheveux tombaient tout aussi rapidement.

« Il est parfaitement possible que ce gène soit aussi la cause de la perte de cheveux chez les humains », a mentionné la Dre Saga.

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Du gras de bébé pour maigrir?

Une nouvelle étude, publiée cette semaine dans le New England Journal of Medicine, révèlerait la présence du gras de bébé, dites graisse brune, chez les adultes, en proportion différente.

Cette graisse, qui permet au bébé de brûler de l’énergie pour produire de la chaleur, pourrait rendre disponible à l’adulte la perspective de perdre du poids plus facilement, en plus de régulariser le diabète et de combattre l’obésité, selon cette même étude.

Cette recherche, réalisée par le Dr Ronald Kahn de la faculté de médecine de l’Université de Harvard et basée sur 1972 répondants, a également permis au chercheur de constater que cette « bonne graisse » se retrouve en plus grande quantité chez les jeunes adultes que les plus âgés.

Ce serait la stimulation de la formation de cette graisse brune qui permettrait de régulariser le métabolisme du glucose et, de ce fait, aider l’être humain dans son combat contre le diabète et l’obésité, de conclure le chercheur.

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Un gène pour perdre de poids

Des chercheurs de l’Institut de cardiologie de l’Université d’Ottawa (ICUO) ont découvert un gène qui pourrait favoriser la perte de poids. La mutation d’une séquence d’ADN stimule le gène ACSL5, ce qui facilite une perte de poids accélérée. 

Alors que quelques recherches avaient associé le gène ACSL5 à l’amaigrissement, cette recherche, qui explique le mécanisme derrière l’activation de ce gène, laisse entrevoir une meilleure compréhension de la perte de kilos.

« La perte de poids, en particulier chez les individus qui suivent un régime hypocalorique, dépend de nombreux facteurs; le rôle majeur de la constitution génétique a longtemps été soupçonné. Nous découvrons que les gènes qui nous font prendre du poids ne sont pas les mêmes que ceux qui nous font maigrir. À présent, nous pouvons pointer du doigt la façon dont ce gène qui facilite la perte de poids est activé », a fait savoir l’auteur principal, le Dr Alexandre Stewart.

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Les gènes derrière la calvitie

Le généticien Brent Richards de l’Université McGill, à Montréal, a participé à une vaste étude menée dans plusieurs pays afin de mieux comprendre la calvitie.

On y apprend que le risque de perdre ses cheveux est multiplié par sept lorsque les hommes de race blanche présentent deux variantes génétiques sur le chromosome 20, ce qui provoque la calvitie androgénétique.

Ce type de calvitie, héréditaire dans 80 % des cas, se caractérise par une perte de cheveux initiale au niveau des tempes jusqu’à ce que la lisière des cheveux s’éloigne graduellement du front.

« Le traitement de la calvitie androgénétique nécessitera davantage de recherches. Toutefois, il va sans dire que la première étape vers la découverte d’un traitement, dans la plupart des cas, consiste tout d’abord à déterminer la cause du problème », a souligné le Dr Richards.

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Maigrir grâce au vigabatrine

Des chercheurs américains, oeuvrant pour le Brookhaven National Laboratory, ont découvert des vertus amaigrissantes au vigabatrine, un médicament utilisé pour combattre l’accoutumance à la cocaïne et à la méthamphétamine.

Menée auprès de rats génétiquement modifiés pour être obèses, cette étude démontre que les rongeurs ayant reçu du vigabatrine ont perdu jusqu’à 19 % de leur poids.
 
«Ces résultats paraissent démontrer que le vigabatrine induit un état de satiété chez ces animaux», a souligné la Dre Amy DeMarco, principale auteure de ces recherches.
Ces conclusions laissent supposer que le vigabatrine pourrait produire le même état de satiété chez les humains et ainsi mener vers un traitement de l’obésité.

En ce moment, on effectue avec le vigabatrine des essais cliniques de phase 2 contre l’accoutumance à la cocaïne et à la méthamphétamine autorisés par la Food and Drug Administration.

 
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Une solution à la calvitie

Des chercheurs britanniques associés au fabricant Intercytex proposent une nouvelle méthode révolutionnaire pour les personnes qui souffrent de calvitie : la greffe de cellules folliculaires.

Celle-ci consiste à prélever des cellules capillaires saines chez le patient, les multiplier et ensuite les greffer là où les cheveux sont tombés.

De nouvelles pousses de cheveux ont été observées 6 mois après la greffe chez 11 des 19 sujets qui ont participé aux essais cliniques.

En attendant le déploiement à grande échelle de l’implantation de cellules folliculaires, Intercytex souhaite maintenant travailler sur le raffinement de l’apparence des nouveaux cheveux.